Petite déception avec ce livre. D'habitude j'aime les livres de cette collection, mais là mauvaise pioche pour plusieurs raisons : d'abord, il est le 3ème tome d'une d'une série de 4, je conseille donc d'avoir lu les autres avant de commencer celui-ci. Les 100 premières pages m'ont vraiment posé souci, l'auteure passe beaucoup de temps à expliquer les personnages et leurs liens entre eux, et c'est loin d'être clair. Ensuite, j'avais vraiment l'impression de tourner en rond, beaucoup de redites et de répétitions, bref j'ai failli laisser tomber à ce moment-là. Mais j'ai persévéré et je suis quand même arrivée à la fin, malheureusement toujours pas convaincue par l'intrigue, trop tirée par les cheveux, les réactions des personnages sont complètement farfelues et je ne me suis à aucun moment sentie prise par l'ambiance que l'auteur a voulu distiller. Dommage ! Je ne pense pas lire les autres tomes de cette série.
Commenter  J’apprécie         10
Note 6/10
Difficile de faire une chronique sur ce livre car d'un côté j'ai aimé les décors, l'ambiance très Nature writing ou on passe du Connecticut au Texas avec ces grandes plaines sous un soleil ardent.
On suit ici Kara Galway, jeune avocate, qui vient de perdre son meilleur ami, Mike Parisi, le gouverneur du Connecticut. C'est donc Allyson Stockwell, la très bonne amie de Kara, qui lui succède et à partir de la tout prend une tournure différente.
Alysson reçoit des appels anonymes, ses deux enfants disparaissent de leur camp d'été et se réfugient chez Kara. Ils semblent effrayés et refusent de parler à quiconque et pourtant tout porte à croire qu'ils savent quelque chose qui pourrait mettre leur vie et peut être celle de leur mère en danger.
Commenter  J’apprécie         00
Ça partait comme un polar/thriller mais on tombe très vite dans le pathétique roman à l'eau de rose avec des histoires entre Kara la prude et Sam le taxas ranger beau fort et musclé. L'histoire est abracadabrante et on se perd dans tous les (trop) nombreux personnages. Je n'ai pas aimé du tout.
Commenter  J’apprécie         00
Elle parlerait d’« affection », et non d’amour. Lorsqu’elle évoquait ses quatre maris, elle ne disait jamais qu’elle les avait aimés, mais qu’elle avait eu beaucoup d’affection pour eux. Pete savait qu’elle avait eu également quelques amants, malgré ses grands airs. Car elle prétendait que les désirs charnels et la sexualité en général ne pouvaient être appréciés que par les classes sociales inférieures.
Il est assez fréquent de voir des enfants fuguer. Il suffit qu’ils n’aiment pas la nourriture, qu’ils se soient disputés avec leurs petits camarades, ou qu’ils aient envie de revoir leur famille...
— Si vous vous aimez, le reste finira par s’arranger.
— C’est toi qui me dis ça, alors que chaque fois qu’un homme tombe amoureux de toi, tu prends tes jambes à ton cou !
Du déni et du faux-semblant. Il est si difficile pour un enfant d’appréhender la mort...
La plupart des gens ne tiennent pas les promesses qu’ils font aux enfants.