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EAN : 9782367401829
333 pages
Scrineo (28/08/2014)
2.4/5   42 notes
Résumé :
Louise n’est pas une petite fille comme les autres.
Electro-sensible, sa condition la rend allergique à toutes les ondes électromagnétiques. Pas d’internet, pas de téléphone, de télévision, ni même d’ascenseur… Louise est condamnée à vivre loin de toute la modernité de notre époque. Pour préserver sa santé et lui permettre de vivre une vie normale, son père Stan, agent littéraire, et sa mère peintre, décident de partir et d’acheter une propriété à la campag... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (28) Voir plus Ajouter une critique
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Je me suis demandé qui était l'héroïne de ce roman. Louise, comme le laisse à penser le quatrième de couverture ? Shanoé, qui donne son prénom au roman ? J'ai envie de dire non dans les deux cas, et de dire que le véritable héros est Gronk. Reste à savoir ce qui l'anime, lui le seul adjuvant de Louise, celui qui lui sera fidèle jusqu'au bout, qui est son confident, prêt à tout pour elle. Ne jamais sous-estimer un ours en peluche.
Le roman, construit en deux parties, est bâti sur un retour en arrière : un agent d'assurance inspecte un château qui a été victime de la tempête Sofia. A la demande du maître des lieux, il est chargé d'écrire le récit de ce qui s'est passé à Ruet. L'auteur respecte ainsi un des codes du fantastique : enchâsser le récit dans un autre, pour créer un effet de réel. Il fait aussi allusion à des articles, ancrant ainsi le récit dans une réalité que le lecteur/destinataire est censé connaître.
La construction du récit est complexe, audacieuse. Des fragments du journal que tient Louise sont insérés entre les chapitres. D'ailleurs, est-ce vraiment un journal ? Non, il s'agit d'un autre récit, qui renvoie à une époque pas aussi lointaine qu'il paraît de prime abord. Louise invente-t-elle ? Si oui, elle a une imagination aussi fertile que morbide. Si non, qui peut écrire à travers elle ? Des coïncidences, entre le récit de Louise et des référents dans le récit principal (tableau, grange...) amènent le lecteur à y croire, même si, après tout, les coïncidences existent - rien ne ressemblent plus à une vieille grange qu'une autre vieille grange.
Ce récit secondaire, mis en valeur par la présentation en italique, est particulièrement sombre, violent, cruel. Certaines scènes m'ont semblé insoutenables. Elles montrent la crédulité, la peur de la différence, l'obscurantisme. En les lisant, je me suis demandée à partir de quel âge un adolescent pouvait lire ce livre. Pour ma part, je le déconseillerai avant quatorze ans, et tant pis si je suis considérée comme trop sensible. Il ne s'agit pas seulement de moi, mais de jeunes lecteurs seuls face à une situation inattendue.
Un peu comme Louise. Elle est seule, face à sa maladie dont finalement on ne parle pas tant que cela dans ce roman. Il est difficile de lui donner un âge. Elle se comporte comme une enfant, mais très rarement. Elle doit entrer au collège, pourtant, par sa maturité, elle est plus proche d'une lycéenne. le regarde que portent les hommes sur elle est ambigu, malsain, ai-je envie de préciser. Il est dit que son attitude est « indécente », mais l'indécence est dans le regard des hommes, non dans sa pose. Ses parents semblent faire tout ce qui est bon pour leur fille - en apparence, bien sûr. le père se lamente parce que vingt-sept kilomètres le sépare de son lieu de travail. Il n'hésite pas à se comporter comme un ado en crise face à sa fille malade. Autant vous dire que je n'ai aucune compassion pour cet adulescent, pas plus que pour Virginie, sa femme, plus préoccupée par son art que par sa fille, qui n'hésite pas à comparer sa mère à une sorcière. Comme Shanoé, finalement.
Pourquoi celle-ci a-t-elle "choisi" Louise pour lui transmettre son histoire ? Au nom de quelle malédiction, qui traverse les siècles et semblent toucher les descendants des premiers protagonistes ? Que s'est-il réellement passé au château de Ruet, dans le passé et dans le présent ? L'auteur ne tranche pas, c'est le propre du genre fantastique, cependant beaucoup trop de zones d'ombres demeure. Qu'a réellement vu Delphine, la jeune actrice qui s'est donnée la mort après son passage au château ? Où furent enterrées Shanoé et la comtesse Geneviève de Ruet ? Certes, l'imaginaire du lecteur est alors particulièrement sollicité mais le manque de réponse m'a rendue insatisfaite.
Shanoé est un livre parfait pour les amateurs de littérature fantastique.
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Louise étant EHS (électro hypersensible), sa famille est obligée de déménager dans une zone blanche, au château du Ruet. Même si sa mère s'habitue peu à peu à la situation, son père vit mal le fait de ne plus être connecté au monde extérieur. Quant à Louise, des événements étranges semblent la toucher, la connectant au passé sombre de ce lieu et principalement à l'histoire tragique de Shanoé, une égyptienne convaincue de sorcellerie des siècles auparavant...
Il plane dans ce roman une atmosphère étrange et mystérieuse qui m'a assez déroutée.
J'ai apprécié l'idée originale d'aborder le phénomène de l'EHS, cela m'a vraiment intéressée mais j'ai trouvé que le côté fantastique de l'histoire mettait un peu de temps à prendre du sens. J'aurai sans doute aimé comprendre ce qui lie les deux jeunes filles : pourquoi Louise est-elle l'héritière de l'histoire de Shanoé ?
Malgré tout, je ne regrette pas cette lecture qui parle de transmission à travers les âges.
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J'ai mis très peu de temps à lire Shanoé, mais je ne l'ai finalement pas vraiment apprécié. C'était une lecture très particulière, à la fois passionnante et prenante, qui m'a donné envie d'enchaîner les chapitres, et pourtant très frustrante parce que jamais claire et souvent ambiguë, qui m'a laissé un goût d'inachevé. J'ai d'ailleurs eu beaucoup de mal à écrire cet avis sur le roman, tant il est à part, tant dans sa construction que dans son histoire. Je ressors donc un peu frustrée et mitigée de cette lecture, mais je remercie tout de même les éditions Scrinéo ainsi que Babelio pour l'envoi de ce partenariat.


Louise est électrosensible, EHS même, soit électro-hypersensible, ce qui signifie qu'elle ne supporte aucune onde quelle qu'elle soit. À notre époque, elle n'est en sécurité nulle part et elle vit un calvaire chaque jour. Avec sa mère, artiste, et son père, agent de stars, Louise emménage dans le château du Ruet, un château en pleine « zone blanche » où, inexplicablement, rien ne fonctionne. Dans l'enceinte du château, pas de wifi, pas de réseau, et pour la première fois depuis des années, Louise peut enfin respirer sans craindre de saigner du nez ou de s'évanouir. Mais dans ce château isolé avec un lourd passé, la sensibilité de Louise va attirer des ondes d'un autre genre...


Je suis un peu passée à côté de l'histoire et j'avoue n'avoir pas compris quel en était le fil conducteur, ni même qui en était le personnage principal. Car voilà : Shanoé est le prénom d'une jeune égyptienne ayant vécu bien avant notre époque. Et l'on rencontre Shanoé à travers des lignes écrites dans une police imitant l'écriture manuscrite, posées sur des pages à carreaux, comme celles d'un cahier. Ces lignes, que l'on découvre à chaque fin de chapitres, sont sombres, tranchantes, écrites à la première personne. Plus on avance, plus les scènes décrites sont noires, effrayantes et perturbantes. Mais Shanoé n'est pas l'héroïne de l'histoire, elle n'est pas vraiment là...


Alors est-ce Louise, l'héroïne ? Je ne saurais vous dire. C'est par elle qu'on découvre le château et son histoire, c'est à cause d'elle que tous les autres protagonistes s'y retrouvent... Mais elle est vraiment absente. Non pas dans le sens où elle n'apparaît pas dans le récit, mais j'ai trouvé son personnage peu travaillé, peu nuancé et finalement peu intéressant. Louise semble n'être qu'une excuse pour placer le lieux de l'action. Ses parents m'ont semblé bien plus présents et consistants mais malheureusement, je les ai trouvé très antipathiques. Sa mère se prend pour un de ces artistes maudits qui peignent des tableaux qui ne veulent rien dire et elle néglige sa fille pour privilégier son art, alors que son père a la mentalité d'un adolescent capricieux et, s'il s'est donné bonne conscience en mettant sa fille à l'abri, il ne peut s'empêcher de lui en vouloir de l'éloigner du bling bling de son travail.


J'ai donc eu beaucoup de mal à m'identifier et à m'attacher aux personnages, étant finalement plus intéressée par les rares passages concernant Shanoé, attendant patiemment l'explication sur le lien qui l'unissait à Louise. Mais tout reste flou jusqu'à une fin qui tombe comme un cheveu sur la soupe, offrant une action très fouillis, rapide et sans queue ni tête qui nous laisse complétement en dehors de l'action. le lecteur est abandonné à ses conclusions, et aucune question ne trouve de réponse.


C'est un de ces romans très ouverts qui vous laissent à vos propres conclusions, qui vous donnent un peu trop le choix entre réaliste et fantastique. Personnellement, ça m'a déçu, même si je suis loin d'être contre une fin ouverte, ici j'ai trouvé que c'était un peu trop juste et assez mal géré. Je ne n'étais pas dans l'état d'esprit dont je ressors habituellement de ce genre de lecture, à continuer à réfléchir, à me poser des questions, à prendre plaisir à envisager une fin ou une autre. Ici, j'ai l'impression de ne pas avoir terminé le livre ou d'avoir sauté des pages.


Il y avait pourtant beaucoup de bonnes choses, dans ce roman ! La maladie de Louise et sa sensibilité exacerbée, le lieu de l'action et son passé trouble, l'histoire de Shanoé, le coté fantastique que celle-ci apportait et son lien avec Louise... Et pourtant, j'ai l'impression que tout a été abandonné en cours de route. Et c'est ce que je retiens du roman, ce gout d'inachevé.


Aussi, est-ce bien un roman adressé à la jeunesse ? Louise ne réagit pas comme une jeune fille de son age, les questions posées et la façon dont est géré le récit me semblent bien loin de ce qui s'adresse habituellement à la jeunesse et je ne suis pas sure que ce lectorat y trouve son compte. de plus, certaines scènes décrites par Shanoé pourrait vraiment perturber de jeunes lecteurs.


Vous l'aurez compris, Shanoé est loin d'avoir été un coup de coeur. J'aimerais cependant découvrir Lorris Murail autrement, j'ai apprécié son style et j'ai bien envie de retenter le coup avec d'autres écrits de l'auteur. Et je remercie encore une fois Babelio et les éditions Scrinéo pour ce partenariat !

Lien : http://allison-line.blogspot..
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Le résumé m'a énormément attiré ! Une jeune fille qui est électrosensible, à se demander si ça existe ! du coup, le mélange avec le surnaturel m'a encore plus plu. Un livre que je suis contente d'avoir découvert !

Le résumé en dit assez sur le livre donc je ne ferais pas résumé personnel pour ne pas en dévoiler plus que nécessaire.
Au début je me suis demandée quel était le rapport avec le titre du livre, Shanoé ? Mais au fil de la lecture j'ai compris.
Dans la première partie du roman, on a deux histoires, mais les deux histoires se rejoignent. Au début c'est assez difficile car on ne connaît pas encore bien l'histoire mais à force, j'ai trouvé que l'autre histoire apporte un grand plus. On a des informations très intéressantes sur le château de Ruet mais aussi sur les anciens propriétaires le Comte et la Comtesse.

Le thème du roman est très intéressant, l'électrosensibilité. Je me suis mise plusieurs fois à la place de Stan, le père de Louise. Vivre sans rien d'électrique doit être vraiment dur ! D'ailleurs, nous on reçoit tous les jours et constamment des ondes. Je pense que ce n'est pas bon pour notre corps, ce livre remets en cause notre mode de vie actuel. On devrait faire des journées sans ondes, notre corps irait mieux je pense !

J'ai bien aimé découvrir le château ! Je trouve les châteaux très beaux et j'adore ça. Certes, je n'aimerais pas que la fin du roman arrive… D'ailleurs, je trouve que ça va très vite et j'avoue avoir été perdue… C'est un livre fantastique jeunesse et à plusieurs reprises je me suis demandée si les jeunes comprendraient certains passages.
J'ai trouvé certains passages assez long, l'auteur utilise très peu les dialogues, tout est racontait, du coup quelques longueurs. Mais, j'ai trouvé aussi que les descriptions étaient très précises, du coup, on imaginait très bien les scènes, les décors.

Très dur de s'accrocher aux personnages, car on a le point de vue de plusieurs personnages. Mais, c'est très facile de se mettre à leur place.
J'avoue que j'ai été perdue par le côté fantastique de l'histoire. Notamment vers la fin, j'ai ralenti mon rythme de lecture et j'ai du bien m'accrocher pour comprendre.

En conclusion, un livre intéressant ! L'intrigue est prenante, on veut découvrir la fin très vite. On ressent bien ce que ressentent les personnages, le style de l'auteur n'est pas simple, beaucoup de descriptions et peu de dialogue, quelques longueurs mais le reste fait que le livre est très intéressant.
Lien : http://livres-films-series.b..
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Louise souffre d'une maladie peu connue, elle est électro-sensible. Elle ne peut approcher une onde sans en ressentir une vive douleur. Destinée à vivre loin de toute la technologie et modernité actuelle, ses parents décident de quitter la ville et ses ondes mortelles pour vivre en pleine campagne, à Ruet, dans un château qui, étrangement, ne laisse passer aucunes ondes. L'on ne capte rien, ni téléphone, ni internet… rien. Si la vie au château – au début – représente un nouveau souffle pour la petite famille et notamment pour Louise qui se voit recouvrir la santé au fil des pages, les lieux recèlent aussi quelque chose d'inquiétant. Une menace latente et dévorante croît. D'étranges cadavres surgissent du passé et Louise change… Elle devient Shanoé… Mais qui est Shanoé ? Et quel drame a-t-elle vécue pour que son esprit hante le château de Ruet depuis plusieurs siècles ?

Lorris Murail retrace habilement l'histoire de Shanoé que nous suivons à travers la petite Louise qui dans un état second raconte cette histoire sur un cahier. J'avoue que ce dédoublement de personnalité fait assez froid dans le dos. Tout comme certains endroits du château qui donnent carrément la chair de poule, sachant d'autant plus que grâce au cahier de Louise, le lecteur sait ce qu'il s'est passé dans ces lieux. Seuls les résidents et les visiteurs du château l'ignorent…

Le plus dérangeant peut-être dans ce roman c'est probablement l'héroïne en elle-même qui vit toute cette histoire de manière très détachée. Comme si elle n'était qu'une poupée, une sorte d'éponge. Ses parents vivent également toutes ces suites d'événements de manière étrange, l'un est accaparé par son travail et son désir de retourner vivre à la civilisation et l'autre par sa peinture. Ils se rendent bien compte que Louise n'est pas « normale » qu'il se passe quelque chose, que le château n'est pas sain pour elle, que l'endroit est « hanté » et pourtant, ils continuent leur vie comme si tout était normal. Inutile de vous dire que moi j'aurai pris ma fille sous le bras et éléctro-sensible ou pas, j'aurai quitté ce lieu sans attendre !!!!

Petit point négatif tout de même : La fin m'a paru assez brouillon, pas dans les explications mais plutôt dans l'action. Nous avons droit à un final digne d'un grand film hollywoodien un peu long et démentiel je dois dire, j'étais impatiente de connaitre le dénouement qui – à mon sens – tardait à arriver.

L'épilogue lui, génial, a tout bonnement fini de m'effrayer.

En bref : J'ai pris un plaisir inattendu et très particulier à la lecture de ce roman qui ne ressemble à aucun autre. Je m'attendais à un roman jeunesse, à une histoire un peu inquiétante certes, mais pas aux vrais frissons ! Amateurs de fantastique et de surnaturel, précipitez-vous sur ce livre peu commun, Shanoé est fait pour vous !
Lien : http://www.a-lu-cine.fr/shan..
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critiques presse (1)
HistoiresSansFin
20 janvier 2015
Si Flaubert ou Maupassant avaient vécu à l'ère d'Internet, ils auraient sans doute raconté l'histoire de Shanoé. Voilà un roman qui s'inscrit dans la grande tradition du fantastique, mise au goût du jour par Lorris Murail. Tout y est réuni pour nous angoisser à souhait : les sous-sols glacés du château, un voisin que seule Louise semble voir, une tempête meurtrière et, surtout, le sombre récit de Shanoé.
Lire la critique sur le site : HistoiresSansFin
Citations et extraits (5) Ajouter une citation
Voilà que la créature s'agitait au fond de son sinistre tombeau de poussières et de déchets minuscules, voilà qu'elle cherchait ses pièces dépareillées, ses fragments épars, sa tête volée, sa chair corrompue, sa vie éteinte. Voilà que Louise sentait peser sur son épaule l'ombre d'une ombre et qu'une étrangère se mêlait à elle, aussi brune qu'elle était blonde.
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- Mais on me reconnaîtra ?
- Ceux qui savent voir te reconnaîtront. Et peut-être, en même temps, auront-ils le sentiment de te découvrir. Parce qu'il y aura ce quelque chose qui est en toi et qui n'apparaît pas. C'est-à-dire que je l'aurai dégagé, comme le parfum qui s'échappe d'une fleur...
- Tu es une sorcière, alors ?
Virginie faillit lâcher son couteau.
- Pas du tout. Une artiste. Tais-toi un peu maintenant.
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A en croire son père, autrefois (quand elle était normale), la vie de la famille Wilmot relevait du rêve enchanté. Les fleurs tombaient du ciel et les souris chantaient des chansons. Quelque chose comme ça. Louise n'avait guère en mémoire qu'un quatre pièces un brin étriqué et les allers-retours quotidiens entre la maison et l'école primaire. Rien d'horrible, mais pas de quoi sauter au plafond non plus.
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Voilà que Louise sentait peser sur son épaule l'ombre d'une ombre et qu'une étrangère se mêlait à elle, aussi brune qu'elle était blonde. Voilà qu'elle comprenait où elle se trouvait, à la source de l'histoire. De son histoire.
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Il éprouvait une curieuse appréhension à la perpective dee saisir de nouveau l'anse métallique de la lampe. Oui, comme s'il craignait de ne plus pouvoir s'en détacher. Le froid. Virginie, elle, se réchauffaient les mains contre le verre faisant paraitre toujours plus ténue la lueur qui s'y nichait. Elle jeta un coup d' oeil vers le fond de la cuve. Et vit au sein de décombres opaques et filamenteux...un crane.
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