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Le Cycle de Terremer tome 4 sur 5

Patrick Dusoulier (Traducteur)
EAN : 9782221097038
240 pages
Robert Laffont (23/05/2005)
4.1/5   113 notes
Résumé :
Aulne le sorcier fait chaque nuit le même rêve terrifiant qui le conduit le long du muret de pierres sèches qui borde le pays des morts. Et, alors qu'il espère y retrouver sa femme défunte, les morts viennent à lui. A l'ouest de Terremer, les dragons incendient maisons et récoltes, mettant fin à la trêve qu'ils observaient depuis le retour du roi Lebannen. C'est un temps de changements. Mais Ged, l'Archimage, ayant abandonné ses pouvoirs, Tenar son épouse, le roi Le... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Suite et fin du Cycle de Terremer.

Aulne est un jeune sorcier qui n'a qu'un don, il est raccommodeur. Il ne dort plus… chaque nuit, il rêve. Il se trouve au pied du mur de la contrée aride. Ce mur sépare le monde des vivants du monde des morts.
Il se rend sur l'île de Gont pour y rencontrer l'Archimage qui l'envoi en Havnor où il pourra rencontrer le roi qui devrait pouvoir l'aider…

Livre un peu confus. Beaucoup d'événements et de personnages s'entrechoquent.

J'avoue que mon intérêt s'est émoussé au fil des tomes. le premier était tellement épique… même la fin de celui-ci sent bon le feel-good. Pourtant ça n'est pas le genre de livre.

Chacun saura faire son opinion à la lecture…
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Et voilà ! Avec ce livre s'achève un cycle qui m'aura accompagné un peu plus d'un an, qui m'aura apporté beaucoup de joie et un peu de déception, mais que je referme avec la tristesse tendre d'un adieu dont j'imagine qu'il sera définitif.

Cette fin est une réussite. le roman coche de nombreuses cases qui libèrent chez moi les hormones de plaisir.

D'abord, voir se rencontrer ou se retrouver nombre des héros dont on a partagé des tranches de vie dans les épisodes passés : une forme de Communauté de l'Anneau s'établit ici, afin de trouver des réponses enfin définitives. Les personnages se mêlent avec douceur aux anciens, que ce soit le sorcier qui répare les choses cassées et cherche de l'aide pour se libérer des ses rêves, ou la princesse kargue prisonnière de la tradition d'un peuple religieux à l'excès et qui trouve le courage de communiquer avec les Îliens qu'elle est censée haïr.

Ensuite le roman est choral. Les personnalités diverses nous offrent de nombreux angles de vue d'une situation difficile. Ainsi on ne sombre pas dans l'unicité de pensée qui m'a parfois ennuyée, dans Tehanu notamment.

Et le roman est rythmé. le temps de l'action et équilibre parfaitement celui des réflexions. Bien que les situations soient « difficiles », comme je l'ai dit, on ne tombe pas dans une simple lutte de puissance. Il y a certes conflit et difficultés de communication, mais il y a aussi collaboration et mise en commun de savoirs. Cela m'a fait l'effet d'une bouffée d'air rafraichissante qui nettoie les sombres pensées : il y a de l'espoir pour les hommes… et pour les dragons.

Enfin, Ursula le Guin tente d'interroger la construction de son univers – en particulier son déprimant lieu où vont les hommes quand ils meurent –, afin d'en dévoiler la vraie nature. Et elle réussit avec brio. D'autres s'y sont essayés avec moins de succès (à mon avis) ; je pense à Estelle Faye et sa trilogie de la voie des oracles où elle détruit tout ce qu'elle a construit, et à Philip José Farmer et ses réflexions à n'en plus finir à la fin du Fleuve de d'Éternité. Je me demande si l'autrice a construit cela ou si, comme elle le dit si souvent, les événements se sont imposés à elle, ont suivi leur cours propre.

J'ai dit que la quête s'achevait. Ce n'est pas tout à fait vrai car l'intégrale contient quelques nouvelles supplémentaires. Quelques miettes qui volent sur le vent d'ailleurs. Je vais les suivre et, peut-être, croiserai-je les dragons.
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Quel beau cycle de Terremer !

«Le vent d'ailleurs» c'est ma première lecture commune, avec Bernacho, en ce début d'année. C'est le dernier livre, c'est assez incroyable, que je sois passée au travers, car c'est tout un programme :
- Les sorciers de Terremer, en 1968
- Les tombeaux d'Atuan, en 1971
- L'Ultime Rivage, en 1972
- Tenahu, en 1990
- Les contes de Terremer, en 2003
- le vent d'ailleurs, en 2005



Attraction, Mystérieux, Incertitude

Dès le début de ma lecture, je me suis sentie fébrile, car je sais que c'est la conclusion, qu'elle nous offre. Je remarque qu'on y retrouve la même plume magicienne, que j'affectionne de cette auteure. Je m'aperçois qu'elle reprend aussi les mêmes lignes : son sens moral, son côté humour et son imagination débordante. À elle seule, elle nous crée un monde où elle fait place à de la fraternité, à des voyages et aux aventures, mais elle n'oublie pas l'autre côté : le bien, le mal et la mort.
Je suis vraiment enchantée car je retrouve mes personnages préférés et je crois qu'elle reste fidèle à ce qu'ils sont. C'est une lecture assez plaisante, même si elle devient parfois complexe. On doit faire des liens, car elle retourne souvent dans le passé. de plus, elle fait référence à d'autres livres également. À mon avis, c'est important de suivre l'ordre chronologique, si on veut comprendre le sens du contexte.



C'est ainsi, qu'à chaque fois, je suis toujours émerveillée par son immense talent et combien je ressens de l'admiration pour elle avec son cycle de Terremer. Encore une fois, elle nous le démontre très bien.



Le livre «Le vent d'ailleurs» est basé sur des thèmes qui lui tiennent à coeur tels que l'identité, les quêtes et la frontière. On y rencontre des sujets comme la famille, la politique et la guerre. Effectivement, on assiste un peu à des nouveaux personnages et à des retrouvailles.
Ce qui retient beaucoup mon attention, c'est qu'elle laisse la place à des femmes, à la différence, et on aperçoit un peu plus Tenahu, avec sa soeur.



Au fil des pages, je considère que c'est une histoire qui est intéressante à lire et qui capte ton attention. le livre est bien construit, les chapitres sont bien divisés, c'est un petit roman, qui se lit vite. J'observe aussitôt qu'elle garde un bon rythme dans son écriture, elle maintient bien son intrigue, et elle transmet bien la chaleur de ses personnages. Elle est assez fidèle, à l'atmosphère qu'elle retranscrit, et elle reproduit bien les lieux, qu'on reconnaît.
Je soulève cependant quelques points qui m'agacent. Je m'aperçois qu'on voit trop de personnages secondaires, dont je ne me souviens pas vraiment. Quand tu avances, vers le milieu, je souligne qu'il peut y avoir un peu de temps mort. Et vers la fin, elle nous laisse un peu sur notre imaginaire.



Je me sens très émotive, car c'est tout un univers, qui se termine, lorsque je finis la dernière page. Je découvre tout un monde de fantaisie, qui peuple des animaux, où vivent des créatures étranges ainsi que des dragons qui parlent. Comment ne pas rêver après tout de mage, de sorcière et de magie ?
En plus de tout cela, je n'oublierai pas de sitôt ses héros fantastiques tels que Ged, Tenar et Tenahu. Ursula le Guin te fait voyager dans un endroit où tu ne soupçonnes même pas. C'est à la fois merveilleux et dangereux de parcourir, ses contrées et tu possèdes également des cartes pour te guider en début du livre.



C'est difficile d'exprimer ce que je ressens, ce que je peux dire, c'est que je passe d'excellents moments à travers cette saga. Je déclare à juste titre, qu'Ursula le Guin est une grande dame de la littérature. Elle possède l'art de nous faire rêver, et nous faire évader. Qui osera ?
Et voilà, c'est maintenant le moment, où je dois remercier Bernacho, avec lequel j'ai partagé toutes ses lectures. Je lui dis merci, car c'est un beau partage et du temps effectivement que l'on s'accorde. C'est une richesse d'aimer lire et surtout d'avoir rencontrer mon compagnon, qui me communique toujours sa passion et son amour pour les livres.

Et juste pour faire rêver un peu plus…

«Sous le vent d'ailleurs, l'ouest au-delà de l'ouest. Croyez-vous que nous autres dragons ne volons que dans les vents de ce monde ?»

Pour terminer, j'ai une question qui me vient à l'esprit :

«Est-ce que les personnages ont trouvé leurs voies ? Est-ce qu'ils vont suivre leur coeur qui leur dictera ?»

Siabelle

PS : C'est une lecture commune ensemble depuis le début, alors vous avez deux versions : à la fois masculine et féminine. N'oubliez pas, d'aller faire un tour, sur Bernacho, avec sa vision à lui. !
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Le vent d'ailleurs est le dernier tome de la série Terremer d'Ursula le Guin.
J'avoue que j'étais assez impatiente de retourner dans ce monde si magique décrit et créé par dame Ursula.

C'est vrai que j'ai retrouvé avec beaucoup de plaisir certains personnages comme Ged bien sûr, Tennar , l'attachante Tehanu et aussi Lebannen.
C'est avec Ged que débute l'histoire. Un jeune sorcier, Aulne, vient le rejoindre. Il semble atteint d'une bien curieuse et inquiétante particularité. Bien que désormais privé de ses pouvoirs, Ged va faire de son mieux pour lui venir en aide pour finir par l'envoyer rejoindre le roi Lebannen où se trouvent déjà Tenar et Tehanu.

L'histoire se lit avec gourmandise, on se délecte à la lecture du délicieux style de madame Ursula.
C'est vrai que j'aime beaucoup le style d'Ursula, ses descriptions sont magnifiques et empreintes de poésie. Les personnages sont travaillés et certains sont, je l'avoue terriblement attachants.
Je suis partagée entre deux sentiments à l'issue de cette lecture. Je suis évidemment ravie de l'avoir terminée et en même temps triste car cette fois ci, pas de tome suivant. C'est fini et bien fini. le voyage dans ce monde merveilleux de Terremer est terminé.

Heureusement, il me reste encore plein de livres de cette auteure à découvrir…Après tout, je n'ai pas encore terminé le cycle de Hain…

Challenege Poul Anderson/ Ursula le Guin
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Le vent d'ailleurs, les oies connaissent bien cela, un vent de changement, de départ, un vent mystique qui souffle sur la vie, gonfle ailes ou voiles, et tourne les pages du tome ultime de Terremer. Un vent qui transforme le Monde, et ramène à un point de départ, pour la fin d'un Cycle, trente-cinq ans après le premier mot.

Ce tome referme ce qui avait été ouvert dans Tehanu et poursuivi dans la nouvelle Libellule (Dragonfly). Tout Terremer doit impérativement être lu dans l'ordre, c'est important. Et ici, à la fin, chaque personnage reçoit sa résolution. Tout comme le Royaume. Et les dragons aussi. La seule chose réellement déprimante de Terremer disparaît. Tout retourne dans le Tout. Et on sait aussi que c'est la fin parce que l'on sait que tout continue comme avant.

Beaucoup de personnages, ceux qu'on connaissait déjà, et des nouveaux, afin que tout Terremer soit présent symboliquement lors de cette transformation, ce retour, mais qui ne font finalement pas grand chose, d'abord parce qu'il sont nombreux à se partager les pages disponibles, ensuite parce que le roman est encore plus, j'ai envie de dire, "wuwei", que d'habitude, plus dans la compréhension que dans l'action, plus dans la transformation intérieure que dans l'exercice d'une volonté, plus dans la prise de conscience des choses à faire que dans leur déclenchement. La question et sa réponse s'imposent d'elles-mêmes à tous ces sages un peu inutiles.

Mais je l'ai trouvée un peu forcée, cette intrigue, un peu artificielle, confuse aussi, et je n'ai même pas compris tout seul tous ses enjeux (heureusement, je l'ai lu en compagnie de Siabelle, ça permet de confonter nos impressions). Mais ces ultimes retrouvailles...

- Mme le Guin, tous ces personnages que vous avez réussi à nous faire aimer autant... comment faites-vous ?
- Je ne commence jamais un roman avant que les personnages soient bien vivants dans ma tête, mon p'tit Bernacho, ça peut prendre des années.
- Mais Tenar, c'est un peu vous ? Tout cette deuxième partie du cycle est vue à travers elle.
- Hum.
- Et ce chaton, vous n'êtes pas un peu gag... enfin je veux dire que vous aimez les chats, ça se voit... enfin... de quoi se sentir un peu jaloux... quand on est une oie.
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Citations et extraits (18) Voir plus Ajouter une citation
Tenar et Tenahu bavardèrent un peu, se montrant du doigt des navires, qui passaient sur une île.
- C'est merveilleux. J'avais oublié comme j'adore être sur le voilier dit Tenar.
- J'aime bien à condition d'oublier l'eau, dit Tehanu. C'est comme si je volais.
- Ah, vous les dragons, dit Tenar.
Elle avait parlé d'un ton léger, mais elle ne l'avait pas dit à la légère. C'était la première fois qu'elle disait quelque chose de ce genre à sa fille. Elle sentait que Tehanu avait tourné la tête pour la regarder de son oeil valide. Le coeur de Tenar cognait dans sa poitrine.
- L'eau et le feu, dit-elle.
Tehuna ne dit rien. Mais sa main, sa fine main brune, pas la griffe,, se posa sur la main de Tenar et la serra fort.
- Je ne sais ce que je suis, mère, chuchota-t-elle de sa voix qui était rarement plus qu'une murmure.
- Moi je sais, dit Tenar.
Elle essayait de réconforter sa mère, de la rassurer, mais il y avait de l'envie dans sa voix, de la jalousie et un profond désir.
- Attends, attends un peu et tu sauras, répondit sa mère, qui avait du mal à parler. Tu sauras c e que tu dois faire... ce que tu es... quand le moment sera venu.
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Aulne sentait que, comme lui, elle n'était pas ici par choix mais parce qu'elle avait renoncé à choisir, contrainte de suivre une route qu'elle ne comprenait pas. Leurs routes à tous les deux se rejoignaient peut-être, du moins pour un temps. Cette idée lui donna du courage. Sachant seulement qu'il y avait quelque chose qu'il devait faire, quelque chose de commencé qu'il fallait terminer, il sentait que quelle que fût cette chose, elle serait mieux faite avec elle que sans elle. Tenahu était peut-être attirée vers lui à cause d'une même solitude.
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- Ce qu'il vous reste à faire, princesse, c'est d'apprendre comment vous faire aimer de lui. Que pouvez-vous faire d'autre ?
Seserakh haussa les épaules tristement.
- Ce serait pratique si vous pouviez comprendre ce qu'il fait.
- Bagabba-bagabba. Voilà le bruit qu'ils font tous.
- C'est aussi l'effet que nous leur faisons. Allons, princesse, comment peut-il vous aimer si tout ce que vous pouvez lui dire est bagabba-bagabba ? Regardez, et elle leva une main et la désigna avec l'autre, et prononça le mot en kargue d'abord, puis en hardique.
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- Je crois, dit Tehanu de sa douce voix étrange, que quand je mourrai, je pourrais rendre le souffle qui m'a permis de vivre. Je pourrai rendre au monde tout ce que je n'ai pas fait. Tout ce que j'aurais pu être et que je n'ai pas été capable d'être. Tous les choix que je n'ai pas faits. Toutes les choses que j'ai perdues et gâchées. Je pourrai les rendre au monde. Pour les vies qui n'ont pas encore été vécues. Ce sera mon cadeau au monde, en échange du cadeau qu'il m'a fait de la vie que j'ai vécue, de l'amour que j'ai éprouvé, de l'air que j'ai respiré.
Elle leva les yeux vers les étoiles et soupira.
- Pas avant longtemps, murmura-t-elle.
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Eh bien, dit lentement Épervier, il est parfois des passions qui, au plus fort de leur printemps, rencontrent un destin funeste, la mort. Et parce qu'elles finissent en beauté, les harpistes en font des chansons et les poètes des contes : l'amour qui échappe au poids des ans. Tel était l'amour entre le jeune roi et Elfarranne. Tel était ton amour, Hara. Il n'était pas plus grand que celui de Morred, mais le sien était-il plus grand que le tien ?
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Videos de Ursula K. Le Guin (10) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Ursula K. Le Guin
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Réflexion sur le genre et féminisme, écologie, inégalités sociales, ce sont autant de préoccupations qui se dessinent subtilement dans l'oeuvre monde de cette touche-à-tout
En compagnie de ses invités, Catherine Dufour, écrivaine de science-fiction et Jérôme Vincent, directeur éditorial des éditions ActuSF, Antoine Beauchamp vous propose de découvrir cette immense autrice qui fut un temps pressentie pour le prix Nobel de littérature.
Photo de la vignette : Dan Tuffs/Getty Images
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