AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782070488063
Gallimard (22/01/1981)
3.93/5   53 notes
Résumé :
C'était mon pépère à moi et il espérait terminer sa vie tranquillement, à taquiner le goujon et bêcher son jardin sur les bords du Cher. Une bande de salopards en rupture de Communauté en décida autrement et je me suis mis en piste. Sur laquelle j'ai trouvé du beau monde : un fils-à-papa plutôt répugnant, ledit papa pas ragoûtant et toute une cohorte de rats à gerber. Pépère, si tu me voyais !


Que lire après Pour venger pépèreVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
3,93

sur 53 notes
5
9 avis
4
3 avis
3
0 avis
2
1 avis
1
0 avis
Au mauvais endroit, au mauvais moment. Enfin, l'endroit n'est pas vraiment mauvais puisqu'il s'agit d'un bistrot. Mais le moment est franchement dégueulasse. Alors qu'il se roule une cigarette accoudé au zinc, Pépère, un retraité de soixante-dix ans, tombe nez à nez avec trois braqueurs en cavale. Pépère a du caractère, il jette son briquet au visage du bandit qui lui réclame ses clefs de voiture. Ca lui vaut une belle rafale de mitraillette sur tout le corps. Voilà Pépère rectifié, la clope au bec, sans avoir pu vider son verre de blanc. Son petit-fils, Pascal Delcroix, avocat au Barreau de Tours, jure de le venger. Delcroix aimait beaucoup son pépé qui avait trois hobbies : la pêche, le jardinage et Georges Marchais (tout le monde n'a pas eu la chance d'avoir des grands-parents communistes). L'identité des trois hommes est connue. Leur chef, Christian Jouax, est un ancien militant gauchiste qui a pris la tête d'une communauté hippie. L'homme et ses complices sont introuvables et ont des relations haut placées mais Delcroix est déterminé et ne reculera pas. La chasse à l'homme en terre tourangelle peut débuter. Que les notabilités putrides se méfient, ça va défourailler !

Amateur/trice d'argot et de calembours, ce roman est fait pour toi : « je suis velu, j'ai vu, j'ai vaincu », les culturistes et leurs « haltères égaux » ou, pour rester dans la métaphore sportive : « on est pneu de chose ». Vous y apprendrez que les ouesternes sont des films de coboilles et qu'il est blême mon achélème. A.D.G. place de petits hommages à ses maîtres : Aymé, J. Perret, Céline et glisse des références littéraires de haute tenue. Autre hommage, appuyé cette fois-ci, à la Touraine, cadre de ce polar mi urbain, mi champêtre. J'ai adoré les personnages de feu Pépère et de SergueÏ Djerbitskine aka Machin, journaliste flegmatique et ivrogne forcené. J'ai aimé la gouaille du roman, ses gauloiseries, sa touche provinciale et ses personnages hauts en couleur mais pour paraphraser un auteur de la même époque (une espèce de demi manche), des passages m'ont empêché « de tirer du roman un plaisir entier ». Certaines phrases relèvent du pamphlet et sont de trop dans le roman ; dans un polar, l'allusion est toujours plus pertinente que la diatribe. Mais je refuse de terminer cette critique par une remarque ripolinée de bienpensance. J'ajoute donc que la dernière scène le long du Cher est diablement bien foutue. Comme quoi, un auteur sulfureux peut se montrer subtil et touchant.
Commenter  J’apprécie          290
« Pour venger pépère », c'est le titre plus que le nom de l'auteur qui m'a donné envie de livre cet ouvrage.

D'ailleurs, je ne connaissais pas l'auteur qui se nomme, en réalité, Alain Dreux Gallou, né Alain Fournier.

Alain Fournier, un nom difficile à porter pour qui n'a pas écrit « le Grand Meaulnes ».

Et A.D.G. n'a pas écrit « le Grand Meaulnes », mais « le Grand Môme », un pied de nez à un nom qu'il a eu du mal à porter au point de lui préférer des initiales.

A.D.G. est un auteur que je ne m'attendais pas à lire et encore moins à aimer (pour les mêmes raisons qui me retiennent de lire les « S.A.S. » de Gérard de Villiers). Car, si j'ai l'habitude de lire des romans « de gare » d'auteurs ancrés plutôt à gauche (Frédéric Dard, J.B. Pouy, J.P. Manchette, Didier Daeninckx...) j'ai toujours une réticence, stupide, je vous l'accorde, à m'intéresser aux mêmes genres d'ouvrages écrits par des auteurs très ancrés à droite (notamment parce que ce genre de roman est l'occasion de faire passer beaucoup d'idées politiques et d'opinions sur la société).

Mais, parce que MON « pépère » était un personnage particulier dans ma vie, au point d'en devenir un également dans mes histoires, parce que, mon grand-père, c'était, pour moi, pépère, le titre m'a forcé à me plonger dans les mots d'A.D.G.

Et alors ? Qu'en dire ? Que je remercie MON « pépère » de m'avoir fait m'intéresser à celui d'A.D.G. tant j'ai adoré le style, la plume, l'histoire et les personnages.
Tout d'abord, si le scénario du roman ne brille pas par son originalité, un homme cherchant à venger la mort d'un proche, ici son grand-père, il n'en est pas moins très touchant à travers tous les passages ou le personnage principal égrène ce qu'aurait dû faire son « pépère » aux moments où lui cherche ses meurtriers.

Mais, ce qui fait avant tout le charme du roman, c'est indéniablement la plume de l'auteur, un savant mélange de néologisme (par création, détournement ou francisation de mots anglais), d'argot, de jeux de mots et d'assonance.

Qui travaille ses mots et joue avec ne peut que m'intéresser. Mais de m'intéresser à me plaire, il y a un fossé qui s'appelle le Talent et de talent, A.D.G. n'en manquait pas. N'en manquait, car il est depuis mort en 2004 à 56 ans d'un cancer.

Mais le travail des mots ne fait pas tout à une histoire, il faut aussi des personnages forts et attachants. Et c'est le cas avec le personnage principal de ce roman, Pascal Delcroix, avocat, et son personnage subalterne, le journaliste Serguie Djerbitskine, alias Machin, car son nom est trop difficile à prononcer. Ces deux personnages reviendront dans d'autres romans, échangeant le premier et second rôle.
Alors que Delcroix se prépare à aller à la pêche avec son grand-père, ce dernier est abattu par des braqueurs de banque en fuite. Delcroix ne peut laisser ce crime impuni et se promet de « venger pépère ». S'en suit alors une quête du trio d'assassin ou, plutôt, de l'assassin et de ses deux hommes de main, quête qui le mènera à bousculer des gens de la Haute et à faire tomber des hommes protégés.

C'est donc à la chasse à Jouax, le tueur, un gauchiste (les auteurs précités en auraient fait un nazillon), que le lecteur assiste. Mais loin d'une chasse sans répit, celle-ci s'opère entre verres de vin, charcuterie et petites pépées, car, les personnages d'A.D.G. sont avant tout des hédonistes et, même la haine et le désir de vengeance n'empêche pas de se torcher la gueule, de se remplir la panse et se vider les douilles puisque l'usage d'armes à feu est fortement préconisé.

Si l'on excepte le méchant « Gaucho » et l'homosexuel qui est forcément pédophile, les opinions de l'auteur ne parasitent heureusement pas le roman (pas plus, me direz-vous que les méchants nazillons et les truands en col blanc des ouvrages des auteurs que je lis habituellement).

Le penchant pour le travail des mots et l'humour sont un point commun entre, par exemple, F. Dard, J.B. Pouy et A.D.G. mais, là où l'érudition de Pouy et ses références culturelles peuvent être un frein pour certains lecteurs, A.D.G. tout comme F. Dard, n'oeuvrent que pour les mots et par les mots. Bien évidemment, le frein, dans les deux cas, est, pour le lecteur obtu, de se braquer contre des mots inconnus ou méconnus, construits pour l'occasion ou ressortis des placards sans les avoir époussetés.

Mais, c'est justement ce qui me plait au plus haut point, tant dans mes lectures que dans mon écriture, d'utiliser des mots que l'on a oubliés dans un coin de notre langue, de notre cerveau, de notre poubelle. Pour moi, tous les mots méritent de prendre l'air de temps en temps, et c'est apparemment l'opinion, également, d'A.D.G. même si l'on sent très vite (et encore plus après la lecture de trois romans), que l'auteur a un mot fétiche « Prébende » (je n'ai jamais lu autant de fois ce mot que dans les livres d'A.D.G., d'ailleurs je ne me souviens pas l'avoir lu avant la lecture de ce roman).

Au final, avec une histoire touchante grâce à cet amour de l'avocat pour son grand-père et sa quête de vengeance, une véritable plume avec un sens réel de la tournure de phrase et du calembour, et un format assez court, « Pour venger pépère » s'avère être la quintessence du roman de gare dans le sens le plus mélioratif du terme (car non, le roman de gare n'est pas superficiel, surtout par quand il est issu de la plume d'un tel auteur.)

Si vous ne connaissez pas encore l'auteur ou le roman, sautez dessus !
Commenter  J’apprécie          196
Paul delcroix avocat au barreau de tour,
aime beaucoup son pépè de 70 ans.
qui passe sa retraite à pêche 🎣 le goujon et bêché son jardin.
mais voila que trois braquers veulent lui prendre les clefs de sa voiture 🚗 alors,
qu'il boit son verre de blanc ou troquer.
mais comme il est pas d,accord, il font le buter. les braqueurs sont connus, mais la police et pas chaude pour les arrêtaient.
alors Paul delcroix va se transformé en justicier. une histoire plutôt violente mais plaisante.😆
Commenter  J’apprécie          220
A.D.G....
Alain Fournier est né à TOURS en 1947. Alain Fournier? Non, pas celui-là.
M. et Mme Fournier n'avaient pas lu le Grand Meaulnes et prénommérent leur fils Alain en toute simplicité. J'ai connu aussi un Marcel Proust boucher-charcutier et un André Breton employé au Crédit Agricole. Mais Alain voulait écrire. Il se forgea donc un pseudonyme, Alain Dreux-Gallou, qu'il abrégea finalement en A.D.G.
A.D.G. a rendu hommage à son homonyme dans son livre le Grand Môme.

Il fut un des fleurons de ce qu'on appela au tournant des années soixante le Nouveau Polar, comme il y eut les Nouveaux Philosophes, la Nouvelle Cuisine; il y fit entendre une voix différente; alors que la plupart des auteurs de cette mouvance étaient résolument à gauche, post- soixante huit oblige, A.D.G. était franchement à droite
Pour venger Pepère inaugure un cycle consacré à Pascal Delcroix, avocat au barreau de Tours, aussi réactionnaire que son auteur, Don Quichotte flanqué de son Sancho Pansa, Serguie Djerbitskine, dit Machin, journaliste à La Nouvelle République.
La quatrième de couverture d'un autre roman de la série indique que le personnage de Machin serait l'alias de Serge de Beketch. Peut-être mais A..D.G. y a sans doute aussi mis beaucoup de lui-même. Voir le surprenant J'ai déjà donné, conclusion quasi -posthume de la série, parue au début des années 2000
Le grand-père de Pascal est assassiné par "une bande de salopards en rupture de communauté" (je cite; je vous avez bien dit qu'il était réactionnaire). Pascal part à leur poursuite et en trucide certains Il a bien raison!
C'est court, bien écrit dans un style à la Boudard, souvent drôle, plaisant à lire.
J'ai une histoire particuliaère avec ce livre: il est partu et je l'ai lu à peuprès au moment où je m'installais en Touraine pour des raisons professionnelles; il m'a accompagné; et il donne finalement une assez bonne image de la région, aujourd'hui un peu nostalgique pour moi.
C'est bien sûr une oeuvre mineure, mais qui a sa place dans mon panthéon personnel
Il y a bientôt vingt ans qu'il nous a quitté; il tient compagnie à jean Raspail au paradis des Chouans et des Zouaves Pontificaux
Commenter  J’apprécie          105
A.D.G. (initiales du pseudonymes Alain Dreux Gallou derrière lequel se dissimulait Alain Fournier né en 1947, décédé en 2004) – "Pour venger pépère" – Gallimard / Folio-policier, 2000 (ISBN 978-2-07-041202-4)
– réédition du roman publié en 1980.

C'est probablement l'un des plus réussi parmi les neuf romans d'ADG centrés autour du trio réunissant le truculent "Djerbitskine dit Machin" (apparu en 1977 dans "le grand môme"), son avocat Pascal Delcroix, et Moune qui justement apparaît dans ces pages. Bel hommage au grand-père...

L'intrigue est bien menée, l'écriture assume la filiation avec Céline, certes, mais aussi Frédérique Dard : le duo Delcroix/Machin rappelle irrépressiblement San-A/Berrurier.

En relisant, en ce début de l'an de dis-grâce 2021, ce classique publié en 1980, on ne peut qu'être frappé par les fréquentes allusions qui y sont faites (répétons-le, en 1980 !) aux turpitudes pédophiles d'une certaine classe politico-médiatico-intellectuelle que notre génération a bien connu, car elle tenait le haut du pavé.

On se rappelle cette livraison du quotidien "Le Monde" datée du 26 janvier 1977, dans laquelle fut publiée une pétition de soutien aux pédophiles, signées par 69 "personnalités" ou "intellectuels" de la gauche caviar, parmi lesquels bien évidemment Jack Lang (l'idole cultureuse de cette fange), mais aussi Bernard Kouchner (père du gamin violé par le Duhamel), Guy Hocquenghem (prônant à cette époque carrément la dépénalisation de toute pédophilie), Aragon, Ponge, Barthes, Beauvoir, les Deleuze, Glucksmann, Guattari, Solers, etc.
Les mêmes, avec d'autres portant leur nombre à 80, récidivent dans la livraison de ce même quotidien publiée le 23 mai 1977, réclamant la pure et simple dépénalisation des relations sexuelles entre adultes et enfants. Il va de soi que le quotidien "Libération" appuie ces prises de parole visant à "lever un tabou" réactionnaire (c'est encore aujourd'hui un véritable mantra de cette caste). C'est l'époque aussi des grandes envolées autour de Gabriel Matzneff, Tony Duvert (qui se voit attribuer le Prix Médicis en 1973 pour un roman faisant ouvertement l'apologie de la pédophilie) et autres sagouins de même acabit.

Ceci me rappelle une fois de plus les émissions "Apostrophes" consacrées à Cohn-Bendit (23 avril 1982) et Matzneff (12 septembre 1975, avec la violente intervention de Denise Bombardier laissant le Pivot bouche bée) : à cette époque, dans ces cercles-là, ça faisait bien de brandir ce genre de "brise-tabou" pour "épater le bourgeois" comme le dit piteusement et hypocritement le Cohn-Bendit, pour se défendre par la suite.
Il fallut l'affaire Dutroux (vers 1990) pour que cette caste de la bien-pensance commence à réaliser l'ampleur de son imbécillité : qu'à cela ne tienne, elles et ils roulent toujours pour la drogue, et la possibilité pour les jeunes mineurs de changer de sexe !
Rien n'ébranle leur nombrilisme, qui ne se situe même plus à leur nombril mais est descendu à leur entre-jambes.

Et c'est précisément ce que ce roman met en lumière, dès 1980. Que l'on ne vienne plus nous faire le coup du "on ne savait pas", tout était sur la place publique...
En ce mois de février 2021, cette même nomenklatura qui approuvait la pédophilie s'apprête discrètement à légaliser la drogue, enjolivée sous l'appellation "cannabis récréatif"...

"Pour venger pépère" est sans conteste l'un des meilleurs romans d'A.D.G.


Commenter  J’apprécie          51

Citations et extraits (13) Voir plus Ajouter une citation
Au physique, Machin ne fait pas sain : le visage bouffi et bouffé par les verres, l'œil humide comme un cul de bouteille, tout en lui évoque la boisson, librement acceptée et joyeusement assumée. Au moral, c'est pire. Droit ainsi qu'un tire-bouchon, parfaitement indifférent au siècle et à tout ce qu'il véhicule, sereinement oublieux des convenances et béatement installé dans une intempérance où la nonchalance le dispute à la paresse, il est nonobstant le meilleur des hommes et "coule" comme une gorgée de Turquant.
Commenter  J’apprécie          160
 Gérard Cétieux était aussi le fondateur, avec un animateur de télé connu dont l'intérêt pour les petits garçons n'était un secret pour personne, d'une association qui entendait prôner le droit qu'ils auraient de librement disposer de leur sphincter autrement que pour des besoins naturels. On y était également pour la dépénalisation de l'usage de la drogue, on militait pour que les chers anges puissent porter le pet contre leurs parents devant les tribunaux s'ils s'estimaient brimés.
Bref, en règle générale, on y préconisait le monde à l'envers.
Commenter  J’apprécie          70
Personnellement, je suis plutôt ravi quand un sportif se casse quelque chose ; il y a tellement d'activités plus saines, comme boire, fumer, jouer au poker, etc.
Commenter  J’apprécie          160
Je suis un assassin, madame, dis-je avec urbanité. Le plus grand des assassins ; je tue le temps…
Commenter  J’apprécie          220
— Au fait, dis-je perfidement, ton rédac-chef te cherche. Si tu rentrais...
— Je dois remettre le papier de fond pour cette nuit onze heures, dit-il en commandant d'un geste auguste de soiffard une énième fillette. Je me concentre en attendant onze heures moins dix.
Commenter  J’apprécie          70

Video de A. D. G. (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de  A. D. G.
En quête de bons livres à lire ? Découvrez l?actualité de Babelio et les livres du moment en vidéo.
Mars, c'est le Mois du polar sur Babelio. Au programme de cette vidéo : une rencontre avec Polars_urbains, un Babelionaute passionné de polars urbains et africains, le programme de Quais du polar (du 29 au 31 mars 2019 à Lyon), avec des rencontres Babelio, des quiz, et de nombreux auteurs présents, et retrouvez tous nos contenus éditoriaux sur le genre, dont un Top 10 vidéo des polars nordiques, des interviews d'auteurs et éditeurs, un article sur 5 livres qui ressuscitent le mythique Sherlock Holmes, etc.
0:23 Reportage : rencontre avec le Babelionaute Polars_urbains chez lui
Son compte Babelio : https://www.babelio.com/monprofil.php?id_user=482604 Son site sur le polar urbain : http://www.polarsurbains.com/ Son site sur le polar africain : http://www.polars-africains.com/
Auteurs et livres cités : Pierre Rival, 'Ezra Pound en enfer' : https://www.babelio.com/livres/Rival-Ezra-Pound-en-enfer/1108671 Charles Exbrayat : https://www.babelio.com/auteur/Charles-Exbrayat/12086 San Antonio : https://www.babelio.com/auteur/Frederic-Dard/7187 Agatha Christie : https://www.babelio.com/auteur/Agatha-Christie/3638 Jean-Patrick Manchette : https://www.babelio.com/auteur/Jean-Patrick-Manchette/7455 ADG : https://www.babelio.com/auteur/-A-D-G/65945 Thierry Jonquet : https://www.babelio.com/auteur/Thierry-Jonquet/6526 Georges Simenon : https://www.babelio.com/auteur/Georges-Simenon/6804 Léo Malet : https://www.babelio.com/auteur/Leo-Malet/7089 Henning Mankell : https://www.babelio.com/auteur/Henning-Mankell/2995 Ian Rankin : https://www.babelio.com/auteur/Ian-Rankin/4776 Fred Vargas : https://www.babelio.com/auteur/Fred-Vargas/3212 Léo Malet, 'Brouillard au pont de Tolbiac', roman : https://www.babelio.com/livres/Malet-Brouillard-au-pont-de-Tolbiac/158854 et la BD avec Tardi : https://www.babelio.com/livres/Tardi-Nestor-Burma-BDtome-1--Brouillard-au-pont-de-T/662328 Michel Carly, 'Maigret : traversées de Paris' : https://www.babelio.com/livres/Carly-Maigret--Traversee-de-Paris/108638 Nii Ayikwei Parkes, 'Notre quelque part' : https://www.babelio.com/livres/Parkes-Notre-quelque-part/565660 Zep et Bertail, 'Paris 2119' : https://www.babelio.com/livres/Zep-Paris-2119-Version-Luxe/1113986
7:13 Festival Quais du polar 2019 Le programme de Babelio : https://babelio.wordpress.com/2019/03/19/quais-du-polar-2019-un-vent-nordique-souffle-sur-lyon/ Tout le programme : https://www.quaisdupolar.com/ Notre vidéo sur Quais du Polar 2018 : https://www.youtube.com/watch?v=G_dbQ2uSf8Q Le Top 10 Babelio des polars nordiques : https://www.youtube.com/watch?v=UW8yb_kYh-g
Les livres : Kristina Ohlsson, 'Les Otages du Paradis' : https://www.babelio.com/livres/Ohlsson-Les-otages-du-Paradis/1050832 Hjorth et Rosenfeldt, 'La Fille muette' : https://www.babelio.com/livres/Hjorth-Dark-secrets-tome-4--La-fille-muette/1073457 Joseph Knox, 'Sirènes' : https://www.babelio.com/livres/Knox-Sirenes/1078904 Roslund et Hellström, '3 secondes' : https://www.babelio.com/livres/Ro
+ Lire la suite
autres livres classés : romans policiers et polarsVoir plus
Les plus populaires : Polar et thriller Voir plus


Lecteurs (131) Voir plus



Quiz Voir plus

Retrouvez le bon adjectif dans le titre - (6 - polars et thrillers )

Roger-Jon Ellory : " **** le silence"

seul
profond
terrible
intense

20 questions
2831 lecteurs ont répondu
Thèmes : littérature , thriller , romans policiers et polarsCréer un quiz sur ce livre

{* *}