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Aya de Yopougon - BD tome 1 sur 8
EAN : 9782070573110
112 pages
Gallimard (17/11/2005)
4.1/5   1264 notes
Résumé :
Côte d'Ivoire, 1978. Aya, dix-neuf ans, vit à Yopougon, un quartier populaire d'Abidjan. Ça sent le début des vacances mais très vite les choses vont commencer à se gâter… "Dans les années 1970, la vie était douce en Côte d’Ivoire. Il y avait du travail, les hôpitaux étaient équipés et l’école était obligatoire. J’ai eu la chance de connaître cette époque insouciante, où les jeunes n’avaient pas à choisir leur camp trop vite, et ne se préoccupaient que de la vie cou... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (180) Voir plus Ajouter une critique
4,1

sur 1264 notes
Côte d'Ivoire, 1978. Aya, dix-neuf ans, vit à Yopougon, un quartier populaire d'Abidjan. Freshnie, elle vit sous l'oeil protecteur de ses parents, entourée de ses amies Bintou et Adjoua. Elle rêve de pouvoir faire de grandes études pour devenir médecin, afin d'échapper à la fameuse série C : Coiffure, Couture, Chasse au mari. Au grand désespoir de son père qui souhaite la voir se marier à Moussa, le digne héritier d'une entreprise productrice de Koutouckou. Ça sent le début des vacances scolaires. Ses amies comptent bien en profiter pour décaler, gazer, faire behou et draguer de beaux jeunes hommes. Pour cela, elles ont des combines pour déjouer la surveillance de leurs parents, dêh !. Un soir de fête, au maquis où sont allées décaler Adjoua, Bintou et son ami Moussa, cette dernière va tomber sous le charme de Mamadou, le plus grand séducteur du village...

Quel plaisir de lire un tel album, aussi subtil, instructif et divertissant ! On est plongé dans cette Afrique chaude et accueillante dès les premières pages.
Beaucoup de sujets sont évoqués ici tels que l'omniprésence de la famille, le travail, les jeunes, les études, la liberté, la sexualité, la condition féminine...
Ici, toute une galerie de personnages prend une place importante, des parents en passant par les cousins ou neveux. Ils sont gais, pleins de vie et savoureux. L'album est empli d'espoir, d'humour, de rêves, d'insouciance mais également de destins brisés.
Clément Oubrerie a illustré avec simplicité mais avec un tel charme cet album que ses traits et ses couleurs sont incontournables. Les dessins, épurés et pertinents, reflètent à merveille ce pays. Les traits sont fins et délicats.
Quant aux couleurs, elles sont si chaudes, colorées et vivantes, avec toute une palette incroyable de planches ton sur ton, que l'on se sent sous le soleil ivoirien.
J'ai beaucoup apprécié l'utilisation du patois local, ainsi que le lexique, la recette du gnamankoudji et de la sauce arachide ainsi que l'explication pour nouer un pagne.
Un dépaysement total, rafraîchissant, enrichissant et exaltant !

Aya de Yopougon, tchoko-tchaka, lisez-le, dêh !
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Ecrites par Marguerite Abouet dans le savoureux Français populaire et imagé de son quartier d'Abidjan, les aventures d'Aya et de ses copines adolescentes sont incroyablement bien rendues par le dessin nerveux et précis, les couleurs tranchées et évocatrices de Clément Oubrerie. L'effet de dépaysement est immédiat et total et cependant on est très vite en immersion totale elle aussi en compagnie de ces fines jeunes femmes qui avancent à pas hésitants ou imprudents vers leur destin de matrone ou de femme indépendante dans la Côte d'Ivoire post coloniale. On a une idée des souvenirs de Marguerite Abouet en suivant l'héroïne qui lui ressemble le plus.La sage Aya, un peu à distance des phénomènes néo pubertaires qui agitent ses amies, observe et critique sans prendre de gants la situation des femmes africaines, décrit par son observation de courtes situations quotidiennes le comportement veule des maris et des pères.
Elle n'a pas sa langue dans sa poche pour évoquer le savoir qui libère,et qui fournit la clé de l'avenir , pour se défendre contre le harcèlement verbal et sexuel incessant des hommes, mais on sent aussi sa tendresse pour les filles qui vont "gazer" dans les "maquis" avec les "genitos" qui aiment la belle sape, les airs populaires africains , les grosses bagnoles et les belles filles .Hélas la nuit africaine, qui tombe implacablement autour de 18 heures sans abaisser le moins du monde la température de l'air ni les ardeurs sexuelles, cette nuit épaisse et lourde qui gomme les contours du paysage et les visages des soupirants, cette nuit trompeuse et complice, qui facilite les étreintes, va produire l'événement fatal: une des copines est "enceintée", et donc toute la famille des deux jeunes protagonistes de l'affaire va jouer son rôle..jusqu'au dénouement comique-et provisoire.
C'est bien un petit chef d'oeuvre que je tiens entre mes mains, et j'éprouve un un plaisir qui se prolongera puisque j'ai pu trouver simultanément les trois premiers épisodes de cette saga ouest africaine des années 70.
un seul regret concernant l'édition folio, qui est une très bonne affaire: les caractères sont un peu trop petits même pour mes yeux écarquillés de plaisir.
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Qui dit vacances dit lecture. Oui, c'est de moi et elle est libre de droits donc vous pourrez vous la péter auprès de vos amis lors du prochain apéro estival. Bref, avec cette chaleur je me suis dit qu'un petit voyage en Afrique était une bonne idée. Et puis une bande dessinée ne se refuse jamais. Oui, elle est encore de moi. Mais celle-là pas touche, y a des droits d'auteur dessus.

Comme souvent quand le trait est brouillon et grossier, j'ai du mal à apprécier l'expérience graphique mais c'est le jeu des partis pris osés : le verdict est à double tranchant. Manque de pot, je fais partie de ceux pour qui le visuel importe, et pas qu'un peu, du coup je ne suis jamais vraiment rentré dans l'histoire surtout qu'il est parfois difficile de s'y retrouver dans les personnages, la faute à un coup de crayon très (trop ?) simpliste.

Malgré tout, l'histoire se lit agréablement, les personnages sont attachants et la découverte de l'Afrique à travers le prisme familial en immersion dans le quotidien routinier d'adolescents est une idée originale et bienvenue. Hélas, le manque d'enjeux majeurs se fait parfois ressentir si l'on n'est pas happé par le récit ou sensible à l'univers dépeint.

Mais trêve de bavardages, il est bientôt l'heure de l'apéro (c'est sacré hein). L'essai peut aisément être transformé si vous n'accordez pas une importance capitale aux dessins. Par ailleurs, les plus jeunes lectrices trouveront dans l'histoire un écho à leur train-train journalier et mesdames apprécieront très certainement la lecture via la corde nostalgique et/ou filiale. du reste, si vous êtes attiré(e) par l'exotisme de l'Afrique n'hésitez pas non plus à tenter l'expérience.

Hop, hop, hop, j'oubliais. Pour les mâles alphas (comme moi #smiley cool#) qui ne jurent que par leur marteau et leur perfo, préférez plutôt un DC Comics. Ouaip, j'suis dark.

Je vous souhaite de bonnes vacances mes petites antilopes du Kazakhstan.
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Abidjan, quartier de Yopougon, 1978. de jour comme de nuit, les rues débordent de vie : gamins, poules, hommes d'affaires, cousins, marchands, ménagères, frimeurs, fêtards enivrés et amoureux tourbillonnent, se croisent et se bousculent. Et surtout, il y a des filles, à l'aube de l'âge adulte, qui ont soif de liberté et qui ne manquent pas d'idées pour se jouer de leurs envahissants patriarches.

« Oui, tu fais comme si tu pouvais aller loin dans les études.
- Oui Kêh ! Je ne veux pas finir en séries « C », moi.
- C'est quoi « séries C », même ?
- Coiffure, couture et chasse au mari.
- Ah ! Ah ! Ah ! »

Les dialogues sont savoureux, l'histoire prenante comme un sitcom. On s'attache aux personnages qui dansent, flirtent, s'entraident, se brouillent pour mieux se réconcilier. Tout cela est raconté, avec un mélange désarmant d'humour et de lucidité, par Aya – dix-neuf ans de clairvoyance, de charme et de volonté à tracer sa route comme elle l'entend. Tout en respectant les choix différents que font ses deux meilleures amies.

Marguerite Abouet, qui s'est inspirée de ses souvenirs de jeunesse à Abidjan, nous livre un témoignage coloré d'un quartier populaire et d'une époque. On s'y croirait. J'ai beaucoup aimé aussi le trait vivant et expressif, porté par une palette de chaudes couleurs. Clément Oubrerie insuffle aux personnages comme aux décors une touche d'ironie toujours empreinte de tendresse qui répond parfaitement aux mots de l'autrice. Ensemble, ils produisent une BD joyeuse et divertissante dont je ne suis pas surprise qu'elle ait connu un tel succès, dans le monde francophone et bien au-delà !
Lien : https://ileauxtresors.blog/2..
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Il est 19h à « Yop city ». Bon d'accord, c'est Yopougan mais ça fait plus américain que quartier populaire d'Abidjan en Côte d'Ivoire, non ?

Tout le monde est assis autour d'Ignace devant la télé pour regarder chaque soir la première grande campagne de pub en 1978. C'est une pub pour la bière Solibra, « une bière qui donne des forces. Et Ignace, cadre chez Solibra il y croit et il est drôlement fière. Alors il boit sa p'tite bière… avec tout le quartier autour de lui.
Aya, elle ne croit pas du tout que la bière donne des vitamines. Aya c'est belle plante, jolie silhouette gracile et beau port de tête, les cheveux tirés en arrière avec deux grandes créoles aux oreilles. Mais attention, pas question de comploter comme ses deux meilleures amies Adjouna et Bintou pour aller danser en cachette au « Ça va chauffer ». Il faut dire qu'elle a du caractère et elle ne veut pas finir en séries « c » coiffure, couture et chasse au mari, si vous voyez ce qu'elle veut dire ! Non elle veut devenir médecin, mais pour cela il faudra convaincre Ignace qui pense que les études, c'est pour les garçons et qu'elle ferait bien d'épouser Moussa le fils de son patron !
Connaissez-vous « l'hôtel aux mille étoiles » ? Il est insolite et il sera le théâtre d'un rebondissement dans ce premier épisode.
Mine de rien, mine de crayon, on se croirait en Afrique en regardant évoluer les couples de tous âges, le rythme est excellent, les dialogues truculents nous plongent dans une ambiance colorée, loin des clichés habituels sur l'Afrique.
Marguerite Abouet, l'auteure et Clément Oubrerie l'illustrateur, ont bien du talent et j'ai déjà hâte de retrouver Aya dans le prochain tome.

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critiques presse (3)
BullesEtOnomatopees
17 juillet 2013
La sortie du long-métrage est une occasion en or de découvrir Aya de Yopougon, le soap de Yop City. C’est plein de peps, de nostalgie, de maquis et d’humour.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Lecturejeune
01 juin 2006
Lecture jeune, n°118 - En 1978, en Côte d’Ivoire, plus précisément à Yopougon dans la banlieue d’Abidjan, tous les soirs à 19 heures, la famille et les amis d’Aya se réunissent pour visionner la campagne télévisée qui vante les mérites de la bière Solibra. Pour cette première rencontre avec les habitants de Yop City — « pour faire comme dans film américain » —, les présentations sont faites par notre guide, la jeune Aya. Ici la vie est douce, les filles sont belles et vont « gazer » — pas d’inquiétude, un petit lexique en fin d’ouvrage nous éclaire : « sortir, s’éclater en boîte ou ailleurs » — au Ça va chauffer pour rencontrer des « génitos » — « jeune homme qui a de l’argent à gaspiller » —. Aya, bonne copine, gère les amourettes, et les problèmes qui en découlent, de Binetou et Adjoua. Quant à elle, pas question de s’en laisser compter : elle travaille et veut devenir médecin. Contrairement à ses amies elle ne veut pas finir en « série C » : coiffure, couture et chasse au mari ! Cette douce chronique de l’adolescence est pleine de fraîcheur, d’humour et de tendresse. La langue est belle et vivante. Le récit, qui multiplie les intrigues — amoureuses évidemment ! — et les rebondissements, est captivant. Enfin l’illustration, déployant une gamme de couleurs séduisantes, parvient à créer des atmosphères : tons acidulés de la maison très ostentatoire de la famille de Moussa, rouge et mauve des nuits d’Abidjan, bleu profond des lieux de rencontres secrets… Le cadrage et le découpage font la part belle au mouvement, soutiennent le rythme effréné de l’histoire et nous amènent à suivre les aventures d’Aya de façon très cinématographique. n Hélène Sagnet
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Lecturejeune
01 juin 2006
Lecture jeune, n°118 - Dans la Côte d’Ivoire d’avant la crise, les jeunes gens mènent une vie joyeuse et insouciante. L’heure est aux sorties et à la drague, première étape dans la quête du prince charmant. Pour sa première BD, parfaitement maîtrisée, la franco-ivoirienne Marguerite Abouet s’est inspirée de ses propres souvenirs. Elle livre dans une langue savoureuse mâtinée d’argot ivoirien un récit rythmé et réjouissant comme un (très) bon sitcom. Clément Abouet, optant pour un trait fin et des couleurs chaudes, traduit toute la vivacité et le tempérament de personnages dont on appréciera la drôlerie et le franc-parler. Vivement la suite ! n Gaëlle Glin
Lire la critique sur le site : Lecturejeune
Citations et extraits (38) Voir plus Ajouter une citation
Le lendemain, nous nous retrouvions chez Bintou, pour une de nos discussions interminables...
- Ton vieux n'a même pas vu que tu étais sortie ?
- Non, comme il était saoul, tu vois quoi !
- Il nous surveille trop. Il est pire qu'un policier.
- Oui, il abuse, il est trop sévère...
- Au moins, le policier, il reste à son poste, alors que ton père, il est toujours dehors à faire la fête.
- Et votre soirée, hier, c'était bien ?
- Trop chic !
- Oui... et le génito de Bintou a assuré : on pouvait manger et boire à gogo.
- Aya, t'as raté quelque chose.
- Je sais, mais j'avais trop de devoirs !
- Eh, Aya ! C'est toujours toi qui as des devoirs.
- Oui. Tu fais comme si tu pouvais aller loin dans les études.
- Oui kêh ! Je ne veux pas finir en série "C", moi.
- C'est quoi "séries C", même ?
- Coiffure, couture et chasse au mari.
- Ah ! Ah ! Ah !
- Eh Aya ! Tu fais rire dêh. En tout cas, moi j'aime les séries C. Je me vois déjà dans mon grand salon de coiffure acheté par mon mari...
- Et moi donc, dans mon magasin de couture, où toutes les plus grandes femmes d'Abidjan viendront se faire coudre leurs habits... (pp. 17-18)
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- Je connais 2 filles, Bintou et Adjoua, elles sont dans ton quartier.
- Ce sont mes copines. C'est donc toi le fameux Moussa !
- Elles t'ont parlé de moi, hein ? Je sais, elles font toutes ça.
- Je vois, tu es tellement irrésistible.
- C'est drôle qu'elles ne m'aient pas parlé de toi.
- C'est parce que je ne veux pas qu'elles parlent de moi à n'importe qui.
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- Je veux être médecin.
- ?!?
- Quel cin ?
- Tu as bien entendu Papa, médecin.
- Mais pour quoi faire ?
- Pour soigner les gens, Papa.
- Va d'abord jusqu'au bac, après on verra.
- Et si après le bac, je veux continuer ?
- Ah, tu me fatigues, Aya, les longues études sont faites pour les hommes.
- Tu trouveras un mari riche qui s'occupera de toi. D'ailleurs, on est invités chez mon patron, et je veux que tu voies son fils.
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- C'est avec Bintou qui est nulle comme toi que tu vas aller faire des exercices ?
- De quoi je me mêle ?
- Dis plutôt que tu vas chercher les garçons.
- Tais-toi, avec ta grosse bouche on dirait cul de vache.
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"Arrête de m'embrouiller avec ton français !
Tu crois quoi ? que c'est toi seule qui as la cervelle de tout le quartier pour parler gros français compliqué ? "
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