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Critique de nymeria


Plébiscité par le grand George R. R. Martin en personne, je ne pouvais pas faire l'impasse sur cette lecture ! Et je dois dire que je comprends son engouement, le premier tome de cette tétralogie se révélant fort sympathique et novateur.

L'histoire commence dans un vieux temple où l'on fait suivre un entraînement rigoureux à de jeunes garçons, dans l'espoir de les transformer en « poètes ». Ici, rien à voir avec la poésie en elle-même, les poètes étant des espèces de magiciens qui donnent « vie » à leurs sentiments pour créer de toute pièce des êtres puissants, qui seront ensuite utilisés dans les sphères de pouvoir. Cette manière de personnifier ses sentiments m'a un peu rappelé les invoqueurs et leurs chimères dans la saga FF (pour ceux qui connaissent le jeu). Ces êtres ainsi créés sont appelés « andats » et peuvent avoir des fonctions différentes : agir sur les récoltes, sur le temps, etc. Les retombées sont donc principalement économiques et les cités qui possèdent des poètes personnels sont les plus opulentes et les plus prospères. En ressort une lutte de pouvoir et un jeu d'intrigues politiques et économiques particulièrement complexes. Heshai, le poète de Saraykeht, est un vieux soûlard qui a bien du mal à contrôler son andat, Stérile. Celui-ci qui se sent prisonnier de son « maître » cherche à se libérer de ses chaînes et fomente un complot pour précipiter sa chute...
Lien : http://avideslectures.over-b..
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