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EAN : 9782012152243
250 pages
Hachette Livre BNF (01/04/2013)
2.5/5   2 notes
Résumé :
Les nombreuses superstitions qui régnaient dans la Nouvelle-Angleterre, avant la guerre de l’indépendance, ont survécu dans beaucoup de contrées. Malgré le progrès de la civilisation, elles maintiennent leur empire sur l’inculte population des frontières
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
[Roman audio, lu par René Depasse pour litteratureaudio.com]
Ce roman qui peut être divisé en trois histoires distinctes, ne forme pas vraiment un ensemble cohérent car seule une des trois histoires est vraiment digne d'intérêt. On dirait trois nouvelles que l'auteur n'aurait pas su vendre telles quelles et qu'il aurait rassemblées maladroitement pour fournir une seule pièce.

J'ai trouvé l'écriture faible pour l'époque à laquelle ce roman appartient et les personnages plein de promesses d'avèrent mal dégrossis et peu mémorables.
Enfin, et c'est le plus triste, j'ai trouvé que ce livre manquait cruellement d'atmosphère et de paysages. Alors que cela pouvait être justement la pierre d'angle de ce récit, l'auteur y a accordé trop peu d'importance et du coup, l'ensemble retombe comme un soufflé trop cuit. Dommage.

La lecture par R. Depasse est fidèle à elle-même et aux standards du site litteratureaudio.com que je vous recommande pour ses enregistrements de qualité.
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Citations et extraits (2) Ajouter une citation
En définition, l’Oncle Jerry était plutôt craint qu’aimé : cependant comme habituellement il disait ce qu’il pensait, il faisait ce qu’il disait, on ajoutait foi à ses paroles. D’autre part il n’inquiétait personne pour opinion politiques ou religieuses, laissant chacun libre comme il voulait l’être lui même : il resta donc en bon termes avec les « Amis » qui lui pardonnèrent ses deux ou trois mariages, et le traitant toujours comme l’un des leurs, continuèrent de l’appeler "Jérémiah".
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Oui ; mais croyez-moi, ce n’est pas une agréable besogne de suivre avec des raquettes un grand moose : avec son trot allongé, il prend toujours l’avance ; si on n’a pas de petits chiens légers pour le harceler, on est exposé à courir après lui plusieurs jours, plusieurs longs jours, sans l’atteindre.
– De petits chiens ? Pourquoi pas des gros ?
– Parce que les roquets l’inquiète en lui mordant les jambes ; ils tournent autour de lui sans casser la croûte de glace, car leur poids n’est pas assez fort pour cela : le moose est ainsi retardé dans sa fuite, le chasseur a le temps d’arriver. Au contraire, les gros chiens ont la mauvaise habitude de lui sauter à la gorge ou au mufle ; l’animal les éventre d’un coup de pied de devant, et passe son chemin.
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