Olympia Alberti/5
5 notes
Résumé :
Mars 1767. Une jeune femme, Sara Banzet, transcrit dans un cahier l'enseignement qu'elle donne à des enfants du Ban-de-la-Roche, vallée vosgienne isolée, où l'on a encore récemment brûlé des «sorcières». Son maître à penser, le pasteur Oberlin, lui a enseigné une pédagogie toute vivante, faite d'expériences, de collections de roches et d'objets divers, d'études de la nature. Sara, nous dit Olympia Alberti, «ajoutait ce qu'elle savait du vent, de la farine, du touche... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (3)
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Petite histoire qui nous plonge au XVIIIè siècle, dans le quotidien d'une "conductrice de la tendre enfance". A l'époque, point de pédagogie Freinet ou Montessori... et pourtant ! Avec beaucoup de douceur, d'humilité et d'intuition, Sara accompagne ses petits élèves à la découverte des choses simples et essentielles de la vie, mais aussi d'eux-mêmes.
Ainsi, le contraste avec la dure réalité de cette époque est frappant, et les principes de Sara se heurtent souvent à la violence quotidienne.
Le sujet avait tout pour me plaire, travaillant moi-même dans une école maternelle alternative. Je regrette cependant que ce livre soit si court, et me laisse un goût d'inachevé. J'aurais aimé que l'on en sache davantage sur Sara et les enfants, et que l'on puisse passer un peu plus de temps en leur compagnie. Un peu frustrée donc, mais contente d'avoir pu découvrir le quotidien d'une "institutrice" à cette époque, grâce à l'éditeur le Verger, que je remercie pour ce livre reçu dans le cadre d'une opération Masse Critique.
Ainsi, le contraste avec la dure réalité de cette époque est frappant, et les principes de Sara se heurtent souvent à la violence quotidienne.
Le sujet avait tout pour me plaire, travaillant moi-même dans une école maternelle alternative. Je regrette cependant que ce livre soit si court, et me laisse un goût d'inachevé. J'aurais aimé que l'on en sache davantage sur Sara et les enfants, et que l'on puisse passer un peu plus de temps en leur compagnie. Un peu frustrée donc, mais contente d'avoir pu découvrir le quotidien d'une "institutrice" à cette époque, grâce à l'éditeur le Verger, que je remercie pour ce livre reçu dans le cadre d'une opération Masse Critique.
Livre présenté comme le journal de Sara, conductrice de la tendre enfance du XVIIIème siècle qui nous décrit sa façon un peu candide de la pédagogie à travers son expérience auprès de ses jeunes enfants. Ma foi, ce livre m'a paru quelque peu ennuyeux peut-être parce qu'il n'est pas assez approfondi et c'est ce moment-là que je me suis dit qu'heureusement qu'il est court. Mais si l'histoire avait été plus détaillée, la longueur ne m'aurait pas gênée.
XVIIIe siècle, Sara est une femme ayant vécue et travaillée chez un pasteur qui lui a montré les rouages de la pédagogie en lui apprenant ce qu'il savait. A son tour, elle décide de transmettre son savoir à ces enfants qui ont tout à découvrir. Une dizaine d'enfants ont suivi ses leçons.
On suit le journal de Sara sur une année. Elle y dit sa joie de voir ces enfants s'ouvrir à la connaissance, créer des liens d'amitié forts entre eux. Mais aussi son inquiétude face à certains comportements. Elle s'en remet régulièrement à Dieu. Ce qui nous montre bien l'importance de la religion dans la société du XVIIIe siècle.
Je n'ai pas réussi à savoir si cette histoire est vraie ou non, mais ce n'est pas le plus important.
C'est un livre court, sans intrigue véritable mais qui peut rejoindre tout ceux qui ont un rôle auprès des enfants.
Lien : http://laptitesourisduweb.bl..
On suit le journal de Sara sur une année. Elle y dit sa joie de voir ces enfants s'ouvrir à la connaissance, créer des liens d'amitié forts entre eux. Mais aussi son inquiétude face à certains comportements. Elle s'en remet régulièrement à Dieu. Ce qui nous montre bien l'importance de la religion dans la société du XVIIIe siècle.
Je n'ai pas réussi à savoir si cette histoire est vraie ou non, mais ce n'est pas le plus important.
C'est un livre court, sans intrigue véritable mais qui peut rejoindre tout ceux qui ont un rôle auprès des enfants.
Lien : http://laptitesourisduweb.bl..
Citations et extraits (1)
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Toujours je veux aimer et comprendre. C’est quand j’aime que je comprends le mieux, le plus loin, très loin où je ne vais pas, d’habitude.
J’ai remarqué l’importance des mots, la joie qui fait sa lampe dans mes jours et mes rêves. Quand j’en découvre un nouveau, je ne suis pas loin de la tendre enfance – comme devant un fruit de printemps, l’odeur de la galette, un émoi, un oiseau, ou une surprise.
J’ai remarqué l’importance des mots, la joie qui fait sa lampe dans mes jours et mes rêves. Quand j’en découvre un nouveau, je ne suis pas loin de la tendre enfance – comme devant un fruit de printemps, l’odeur de la galette, un émoi, un oiseau, ou une surprise.
Videos de Olympia Alberti (6)
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