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EAN : 9782234060975
464 pages
Stock (18/08/2010)
3.12/5   65 notes
Résumé :

Est-il vrai que le « ou » exprime la lourdeur comme le pense Victor Hugo et que le « r » évoque l’écoulement de l’eau comme l’affirme Platon ? Quelle est la durée moyenne de vie d’un mot ? Pourrait-on écrire un roman français en utilisant exclusivement des mots d’origine étrangère ? Pourquoi les grands singes utilisent-ils trois cris différents pour prévenir d’un danger ?

Une foule d’interrogations secondaires apparaissent autour de la questio... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (15) Voir plus Ajouter une critique
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Depuis Paris-Athènes , Vassilis Alexakis a habitué son lecteur à ses allers retours entre les deux capitales , l' a converti à sa passion pour les langues( sango , langue maternelle , dialectes ) et les mots qui voyagent, sorte de fil rouge. Ce roman le premier mot fait donc écho aux précédents .
La narratrice revient à Paris pour les obsèques de son frère Miltiadis, professeur de littérature comparée , à la Sorbonne , confiant que: « Ce n' est jamais une seule personne qui meurt .»
En compagnie d' Audrey (assistante de vie de Miltiadis) , elle s' intéresse à la langue des signes dont elle apprend quelques signes .Après avoir traversé la douloureuse épreuve de la perte d' un être cher, aidée par Aliki ( l' épouse), elle vide l' appartement , trie , remue les souvenirs, s' arrête sur des photos , fait défiler leurs moments privilégiés . Une question la taraude : l' âge limite pour s' approprier une langue. Elle reprend avec zéle la quête de son frère : trouver le premier mot . Ses investigations vont la conduire vers des scientifiques , des spécialistes dans le langage des bébés , en paléontologie , des auteurs de thèses, une bibliothécaire . Elle nous résume les diverses théories , énumère les diverses hypothèses , études . le premier mot est il né d' un drame ? Porte il le souvenir d' une séparation cruelle ? Quels furent les mobiles de la parole ? Raconter une histoire ?

L' auteur explore les mystères de l' origine des langues ( indo européennes) , souligne la difficulté des linguistes « invités à prouver l' impossible .» Il met en exergue la dette du français avec les nombreux emprunts au grec : hypercompétitif , nosocomial , nannos , par exemple . C' est un plaisir d' apprendre que l' éminente hélléniste Jacqueline de Romilly est consultée pour forger des termes technologiques . Il décline moult champs lexicaux (feu) , opère des rapprochements , comme autour du mot papillon . Nourri par ses études , il se livre au name dropping , citant des figures de références dans le domaine des langues Piaget , Chomsky . Il nous livre l' amusante supposition de Brisset selon laquelle on descendrait de la grenouille . Il nous rappelle que dans l' apprentissage d' une langue le rôle de l' hémisphère droit ou gauche du cerveau . le lecteur a tout loisir de
méditer l' assertion : « les mots comprennent mieux nos peines que nos joies », de mémoriser des mots « constructions aberrantes » pour Miltiadis , de glaner une pléthore d' informations comme l' origine de la comptine : Am stram gram , de bateau-mouche , du citoyen lambda .
Grâce au carnet de voyage que Miltiadis tenait en été , on navigue d' île en île et apprend à quoi ont servi les marbres de Délos , qui naquit à Lesbos ou à Samos , que Santorin est réputé pour son vin , Tinos pour son ail .Avec la narratrice , on déambule dans Paris à la recherche d' un morceau de bois , on rend visite à la Seine « qui véhicule une belle sérénité » , longe les quais , mais préfère son nom grec :Sikouanas . On suit ses pensées labyrinthiques : le mot Les Tuileries la renvoie à tuile , puis à keramos .
A la fin du roman , la narratrice honore la promesse faite à son frère de se rendre à Callithéa , sur les lieux de leur enfance , convoquant les parents disparus . Son second devoir de mémoire est de lui dresser un bref compte rendu de ses recherches et peut-être de lui dévoiler le premier mot . Elle lui exprime toute sa gratitude d' avoir appris autant de choses , de l' avoir guidée vers d' autres horizons . Elle lui suggère de poursuivre Ad aeternam sa conversation avec lui , donc de ne jamais trouver le dernier mot .
Ce roman construit à la manière d' une mini enquête policière , constitue un bel hymne aux langues , aux civilisations et leurs coutumes , rites religieux et aux poètes grecs( Cavafy, Seferis)
Il est destiné aux amoureux de la Grèce , des mots ( les enfants de la nuit) , aux férus de linguistique , d' éthymologie . L' auteur nous fait partager sa vaste érudition , sa curiosité , son goût pour les langues et aussi le football et le sudoku , avec humour(les ascenseurs grecs n' ont pas encore appris à parler!) et enthousiasme . On notera la façon dont il vilipende la politique et les discours du président français et les grèves . Il met en scène des personnages secondaires attachants ( Natalia , Théano, Zoê, Monica …) L' amour (invincible au combat ) relie certains d' entre eux . Vassilis Alexakis signe un ouvrage dense , savoureux, foisonnant de digressions , d' anecdotes .
Une manière de nous prouver que le grec n' a pas perdu de son lustre !
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La lecture du Premier mot d'Alexis Vassilis ne m'a pas enjoué. Ce roman est « un deux en un », c'est là, peut-être, son principal défaut.

Le Premier mot est à la fois drame familial, la perte d'un être cher emporté par une maladie soudaine et incurable, et une tentative d'essai sur la linguistique. Comme souvent, mélanger deux formes de récit est un exercice difficile que peu de romanciers maîtrisent. Mon ressenti à la fin de cette lecture me fait conclure que Vassilis n'y est pas parvenu.

De façon très subjective, je pense que l'auteur n'a pas assez approfondi le caractère familial et psychologique du roman. Quand, par ailleurs, il se livre dans une réflexion décousue sur l'évolution des langues, vivantes ou mortes, nationales ou régionales, tout en se demandant comment et pourquoi l'Homme s'est distingué des êtres vivants en développant la capacité de la parole.

Ces deux formes associées, le drame et l'essai, donnent une lecture désorientée. Les propos des personnages sont décousus. La narratrice, en se souvenant de son frère, voire en parlant avec son fantôme de leurs souvenirs, aborde avec ceux qui l'entourent des sujets portant sur la zone du cerveau mémorisant la langue maternelle, en passant par le devenir du livonien en Lettonie, pour finalement s'achever par des piques envers le Président de la république française de l'époque du récit, Nicolas Sarkozy !?

Alors de tout cela, avec beaucoup de déception, je n'ai rien à retenir. L'aspect inachevé et superficiel de ce roman ne m'a pas permis de l'apprécier.
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Alexakis n'a de cesse d'exposer dans ce livre, une idée parfois exagérément fraternelle, selon laquelle toutes les langues ont quelque chose à se dire, à apprendre les unes des autres, sans hiérarchie, primauté ou antériorité. La narratrice a beau chercher le premier mot qui fut prononcé jadis par l'homme, en mémoire de son frère disparu, elle ne le trouve pas vraiment. Sans doute se laisse-t-elle bercer par le brassage des nombreuses théories que lui exposent tous ceux qu'elle rencontre au cours de sa quête, et sans doute n'a-t-elle nulle envie d'en valider une plus qu'une autre. Chaque mot originel que lui délivrent successivement les éminents savants - linguiste, paléontologue, psychiatre, neurochirurgien - nourrit un univers imaginaire, enfantin, naturel, émotionnel ; quelle folie ce serait de vouloir réduire tout cela à un seul mot, toute l'histoire de l'homme ! Ses nombreuses rencontres forgent aussi l'expérience même de ce qu'est la langue, de façon plus forte encore quand elle est le sujet même de la rencontre. Français, grec, langue des signes même, toute langue sait se faire comprendre à qui veut écouter. Toutes les rencontres sont prétextes à triturer les mots, à des connexions infinies vers d'autres lieux, d'autres hommes.
Alexakis tourne et retourne aussi la question de l'héritage de la culture et la langue grecque. Peut-être pour conjurer la désolation présente de son pays. On peut lire Homère ou les philosophes pour un autre son de cloche, mais Alexakis ramène à un sentiment grec contemporain qui n'oublie pas la fierté et là d'où il vient. A l'aide d'un personnage impertinent de théâtre d'ombres, Karaghiozis, il questionne sans cesse la diversité grecque que nous connaissons mal (Macédoine, Alexandre, Homère, les îles), et la rend ainsi un peu moins classique.
Mais le vrai coeur du livre, c'est le chant incessant du frère disparu. Comme si toute cette quête, toute cette énergie dépensée à vivre, à parler, à chercher à aimer, n'était qu'une façon un peu moins banale qu'une autre de « faire son deuil ». Alexakis convoque avec tendresse de délicats fantômes, des souvenirs d'enfance, des arbres magiques, des poupées traditionnelles, des bateaux pour que la transmission ait lieu, et que la vie de l'un n'emporte pas celle de l'autre.
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“Les premiers mots ont été Am Stram Gram et ils ne veulent absolument rien dire.”

J'ai innocemment voulu commencer mon année avec ce livre à cause de son titre. Quelle poésie, me disais-je, que d'entamer l'année avec le Premier Mot.
Ce fut ma première erreur.

“Chaque mot est une histoire.”

Une quatrième traîtresse.
Ma seconde erreur a été de faire confiance à la quatrième de couverture. En effet, ce livre est une de ces malheureuses oeuvres qui ont été cruellement desservies par leur présentation. Très essentiellement parce que cette quatrième de couverture n'est pas une présentation. Pas comme elle le devrait en tout cas. Une quatrième de couverture se doit, à mon sens en tout cas, de poser un point de départ à l'histoire, de faire monter un suspens dans la tête du futur lecteur pour lui donner envie de lire l'histoire, et, quand il ouvre effectivement le livre, c'est de là que tout part : ces quelques mots au dos du livre deviennent un socle, une ligne de départ. Dans notre cas, la quatrième de couverture raconte les deux premiers tiers du livre. Oui. Tant que ça. Moi qui m'attendais à une quête aux dimensions presque épique, incroyable - découvrir le premier mot tout de même, cela a de quoi faire rêver ! - je me suis trouvée à attendre que le frère meurt pour que la narratrice se décide enfin à partir à l'aventure. (Que de cynisme !)

“La mort est une patience.”

Une relation fraternelle bancale.
Les choses partaient plutôt bien pourtant. Dès les premiers mots, on est plongé dans cette relation très intime, très tendre qu'une petite soeur entretient avec son grand frère. Mais, s'il paraît curieux et délicat dans les premières pages, ce frère prend vite une tournure plus sombre. Plus d'une fois, j'ai été dérangée par les échanges entre le frère et la soeur. Si elle lui est soumise et lui voue une admiration totale, à la limite de la dépendance (elle dira même : “mais je ne voulais pas m'éloigner, pas même un instant de mon frère”), lui semble souvent agacé par sa présence, par ses questions. J'ai eu parfois l'impression que les deux protagonistes ne s'aimaient pas du tout de la même façon, que leur relation, si très tendre par instant, pouvait aisément se montrer toxique. (La narratrice dira même qu'elle a voulu, dans son enfance, devenir aussi forte que son frère pour pouvoir le punir de la battre.) C'en est à tel point qu'à la fin du livre, on en sait bien plus sur ce frère disparu que sur celle qui le raconte.
Mais ceci est un choix sur les relations entre personnages. Intéressant, même si parfois très perturbant.

“Le point d'interrogation français ressemble à un point d'exclamation voûté. Je suis un point d'exclamation qui a vieilli.”

Une narratrice dans les nuages.
Lors d'une réminiscence sur son passé (qui sont ô combien nombreuses !) la narratrice évoque sa capacité à se souvenir des choses “par coeur et dans le désordre”. Ce qui résume assez bien la construction du livre. Tout, absolument tout tourne autour du frère disparu. La narratrice passe un temps considérable (les deux premiers tiers du livre du coup), à se perdre dans ses souvenirs, chaque détail de son quotidien lui rappelant un échange, un détail, une anecdote. le temps lui-même ne semble plus avoir d'emprise sur sa réalité puisqu'une pensée peut durer des pages et un instant, simultanément.
Pour le coup j'ai été intéressé par cette approche du deuil comme un voleur de réalité, comme une obsession de chaque instant. Mais c'est un peu long, un peu trop obsessionnel à force. le rythme en devient vite brisé, cahotant même.

“A travers la langue que nous parlons résonnent les voix de peuples qui se sont éteints il y a des milliers d'années.”

Un essai qui s'ignore.
Je pense très sincèrement que l'auteur a fait une erreur en voulant écrire un roman. Il me paraît clair qu'il avait un nombre très conséquent d'idées théoriques quant aux origines du langage. En fait, il y a dans ce livre bien davantage de théories que de mises en scène. Or qu'est un roman si ce n'est une histoire ? Et qu'est une histoire sinon un mouvement ?
Il n'y a que très peu de mouvement dans ce livre. Tout tourne autour de dialogues entre un nombre de protagonistes bien trop élevé à mon sens pour une oeuvre aussi courte (ce qui est un vrai problème quand on ne les décrit presque pas et qu'on s'amuse à les réintroduire au petit bonheur la chance d'un coin de rue).
Et ces dialogues, parlons-en ! Ne sont-ils donc que prétexte à parler théorie et à rebondir (parfois de manière franchement forcée) d'une hypothèse à une autre ? Oui. Absolument. Je n'ai pas eu l'impression un seul instant de suivre une véritable conversation entre deux personnes. Ou alors sont-ce les académiciens qui ne parlent vraiment que théories et hypothèses à longueur de temps ? Toujours est-il que, pour un livre qui se veut roman, ceci ne fonctionne pas. Je n'aurais pas été plus choquée si des morceaux entiers de dialogues avaient été inscrits dans des encarts avec source à l'appui, telles des citations issues de revues célèbres.
(Ceci dit, j'en ai appris énormément sur la Grèce et ses grands noms, ainsi que sur la linguistique et les étymologies des mots.)

Le premier mot a été l'épilogue d'un très long silence.”

Des théories intéressantes.
Si le livre met très longtemps à s'y mettre, il finit par aborder des théories intéressantes sur les origines (et les raisons) du langage.
Tant de questions fascinantes à peine effleurées pourtant, à peine approfondies. Et c'est tellement dommage, car combien d'implications chacune d'entre elles aurait-elle pu avoir ?

Lien : https://les-defis-de-lecture..
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La promesse du titre et de la quatrième de couverture n'est tenue partiellement qu'à partir de la page 260 environ ; elle ne l'est entièrement que dans les 100 dernières. Je m'attendais sans doute à une sorte de journal de recherche, même avec toutes les digressions et la prose fragmentaire qui caractérisent l'auteur et que j'avais tellement aimées dans Les Mots étrangers, et aussi, dans une certaine mesure, dans La langue maternelle. Hélas, de cette recherche et de ses résultats, je doute que j'aie beaucoup appris et que je retienne assez, même si la chute énigmatique est plutôt bien menée.

Ayant plus ou moins - selon l'humeur - accepté en cours de lecture cette frustration, j'ai trouvé cependant dans le roman d'autres stylèmes que j'aime chez l'auteur :
- la capacité de créer des personnages et des situations très réalistes et complexes par le simple pointillé ;
- le goût intarissable pour les mots étrangers, pour l'apprentissage des langues, pour les questions de linguistique abordés comme autant de thèmes romanesques ;
- le lien fort et toujours plus essentiel (dans ces trois romans) entre une quête glottologique et un deuil ;
- la profondeur la plus métaphysique, mais toute en légèreté sublime, du rapport existentiel et poïétique entre migrance et expression et identité, c'est-à-dire, dans le fond, l'exploration de son identité composite et de son écriture en rhizome chez l'auteur de littérature migrante.

Par surcroît, et à vocation attendrissante : les personnages d'Audrey et de la Roumaine SDF, ainsi que les bateaux de la narratrice.
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Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
"- quel est le mot le plus précieux pour vous ?
- "Imagination". Sans elle, aucun de ces ouvrages n'aurait vu le jour. Elle est indispensable même aux textes qui se limitent apparemment à la transcription de faits réels. L'écriture crée inévitablement sa propre réalité. Classer séparément textes autobiographiques et textes de fiction n'a aucun sens, étant donné que les uns comme les autres découlent du dialogue mystérieux que chaque auteur entretient avec les mots."

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J'ai voulu lui demander pouquoi la mort d'une langue le chagrinait autant, mais cela n'a pas été nécessaire.
_ Les langues sont des civilisations, des traditions, des histoires, m'a-t-il expliqué en bon professeur. Chacune d'elles préserve un mystère qu'aucune autre ne connaît. Je dois aux langues que j'ai apprises bien des pensées que je n'aurais jamais eues sans elles. Chaque langue que je découvre garantit à sa façon ma liberté.
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« Le plus bel hommage qu’on puisse rendre à un défunt a été imaginé, à mon avis, par certains aborigènes d’Australie. Lorsque leur chef meurt, ils suppriment un mot, l’effacent définitivement de leur langue. Mais je ne suis pas certain que notre ami nous approuverait si nous faisions de même car il aimait les mots, tous les mots, même ceux qui ne lui plaisaient pas. »
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Le plus bel hommage qu'on puisse rendre à un défunt a été imaginé à mon avis par certains aborigènes d'Australie. Lorsque leur chef meurt, ils suppriment un mot, ils l´effacent définitivement de leur langue.
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-Les gens bêtes croient volontiers que les choses sont simples, m'a t il dit.
Il a aussitôt changé de sujet :
-Les cigales ont commencé de chanter à neuf heures dix du matin et se sont arrêtées une demi-heure plus tard, lorsque le vent a redoublé. est-ce qu'elles se rendent compte du bruit assourdissant qu'elles produisent ? Le mot tzitziki s'accorde parfaitement à leur musique : on devrait les appeler ainsi dans toutes les langues du monde.
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Connaissez-vous le plus français des écrivains grecs ? À moins que ça ne soit le plus grec des écrivains français...
« La langue maternelle » de Vassilis Alexakis, c'est à lire chez Folio.
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