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Critique de celinedr
Combien de fois ai-je aperçu cette converse bordeaux avant de lire les premières lignes de L'ombre et la lumière de Jack-Laurent Amar. Oh, je ne saurais dire…Mais ce qui est certain, c'est que cela faisait des semaines que je voyais passer la couverture qui m'intriguait à chaque fois un peu plus. Alors, quand celui-ci a frappé à la porte de mon groupe de lecture Voyage Littéraire, l'occasion fut trop belle. Je ne pus que la saisir.
D'emblée, ce roman policier a su attirer toute mon attention. La raison en est simple : il s'ouvre sur un enfant « maltraité » par un camarade de classe. Rien de bien méchant mais chaque fois que je perçois la souffrance d'un enfant et bien…ça m'émeut bien sûr ! C'est plus fort que moi. Je ne peux m'empêcher de me dire que cet enfant, qui n'est pourtant pas fait de chair et d'os, pourrait être le mien. Puis, vint ensuite la fin des tourments qui laisse place à une jolie histoire d'amour. Les personnages qui ont vécu tant d'épreuves et qui sont éperdument amoureux l'un de l'autre m'ont attendrie. Un bon début donc.
Puis, ces éléments qui, jusque là, m'avaient happée en première partie ne furent en rien comparables à l'engouement que j'ai ressenti pour la suite. C'est vraiment la deuxième partie du roman qui a su capter toute mon attention car, l'intrigue qui, les premiers temps, peut paraitre assez simple, gagne en complexité. Je tournais alors les pages s'en m'en apercevoir, écarquillant tantôt les yeux, lâchant un « oh » de temps à autre tant je ne m'attendais pas à de telles révélations.
Pour la deuxième fois consécutive lors d'une lecture, je retrouve noir sur blanc les injustices de notre monde, la toute puissance de ces « grands » prêts à anéantir les petits, à en faire leurs « cobayes », leurs « dommages collatéraux » sans le moindre scrupule du moment qu'ils parviennent à leur fin. Au nom de la science, au nom des progrès médicaux mais aussi et surtout au nom d'une belle somme d'argent ! de « trafics d'influence », d' « affaires de corruption », de « meurtres »…de toutes les pires atrocités, ils en sortent indemnes. Un portrait criant de vérité !
Et puis, cerise sur le gâteau pour moi qui accorde tant d'importance aux lieux dans un roman, L'ombre et la lumière se déroule chez moi, à Marseille majoritairement mais également dans le Var.
Le seul petit bémol que je dénoncerais et qui n'engage que moi, serait le côté « super héros » du protagoniste. Cette caractéristique que j'ai admirée les premiers temps, m'a au fur et à mesure de l'énoncé de ses qualités, déplu. Ça ne faisait pas « vrai » Tant de qualités pour un seul homme, ça fait beaucoup… !
D'emblée, ce roman policier a su attirer toute mon attention. La raison en est simple : il s'ouvre sur un enfant « maltraité » par un camarade de classe. Rien de bien méchant mais chaque fois que je perçois la souffrance d'un enfant et bien…ça m'émeut bien sûr ! C'est plus fort que moi. Je ne peux m'empêcher de me dire que cet enfant, qui n'est pourtant pas fait de chair et d'os, pourrait être le mien. Puis, vint ensuite la fin des tourments qui laisse place à une jolie histoire d'amour. Les personnages qui ont vécu tant d'épreuves et qui sont éperdument amoureux l'un de l'autre m'ont attendrie. Un bon début donc.
Puis, ces éléments qui, jusque là, m'avaient happée en première partie ne furent en rien comparables à l'engouement que j'ai ressenti pour la suite. C'est vraiment la deuxième partie du roman qui a su capter toute mon attention car, l'intrigue qui, les premiers temps, peut paraitre assez simple, gagne en complexité. Je tournais alors les pages s'en m'en apercevoir, écarquillant tantôt les yeux, lâchant un « oh » de temps à autre tant je ne m'attendais pas à de telles révélations.
Pour la deuxième fois consécutive lors d'une lecture, je retrouve noir sur blanc les injustices de notre monde, la toute puissance de ces « grands » prêts à anéantir les petits, à en faire leurs « cobayes », leurs « dommages collatéraux » sans le moindre scrupule du moment qu'ils parviennent à leur fin. Au nom de la science, au nom des progrès médicaux mais aussi et surtout au nom d'une belle somme d'argent ! de « trafics d'influence », d' « affaires de corruption », de « meurtres »…de toutes les pires atrocités, ils en sortent indemnes. Un portrait criant de vérité !
Et puis, cerise sur le gâteau pour moi qui accorde tant d'importance aux lieux dans un roman, L'ombre et la lumière se déroule chez moi, à Marseille majoritairement mais également dans le Var.
Le seul petit bémol que je dénoncerais et qui n'engage que moi, serait le côté « super héros » du protagoniste. Cette caractéristique que j'ai admirée les premiers temps, m'a au fur et à mesure de l'énoncé de ses qualités, déplu. Ça ne faisait pas « vrai » Tant de qualités pour un seul homme, ça fait beaucoup… !
