AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
EAN : 9782081295124
100 pages
Flammarion (05/09/2012)
2.65/5   322 notes
Résumé :
Christine Angot a écrit ce court roman comme on prend une photo, sans respirer, sans prendre le temps de souffler. En cherchant la précision, en captant l'instant et le mouvement.
Ce n'est pas à nous lecteurs de vouloir en connaître l'élément déclencheur, peu importe de le savoir. On s'aperçoit vite en le lisant que le texte possède en lui-même le pouvoir d'agir avec violence. Il suscite des sentiments dont l'angoisse ne peut être évacuée.
Il provoque... >Voir plus
Que lire après Une semaine de vacancesVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (111) Voir plus Ajouter une critique
2,65

sur 322 notes
Jamais lu Angot jusqu'ici. Pas très fan du personnage en fait.
Baptême du feu, donc. Et pas des moindres car ce récit est un choc.

Sous le choc pourtant, ne pas se méprendre : « Une semaine de vacances » n'est en aucun cas un porno racoleur, voyeuriste ou complaisant. En cela justement réside toute sa force.

Une semaine de vacances... le ton était donné, déjà : innocent, léger, sans conséquence, ce titre illustre précisément l'impensable distance avec laquelle Christine écrit l'horreur absolue. le ton neutre et factuel, la narration lucide, implacable et crue des scènes terribles qui se succèdent presque sans trêve ni respiration installent le malaise, glacent le sang. Interdit, on assiste impuissant à un calvaire muet.

Pas de jugement, ni d'interprétation, mais des détails, beaucoup, dont aucun n'est ici par hasard : l'emploi méthodique de la troisième personne, chaque description minutieuse, chaque précision concrète bouleversent le lecteur-spectateur mais par-dessus tout soulignent la distance et imposent le détachement, la dépersonnalisation, comme unique et dérisoire moyen de survie.

C'est une force d'évocation sobre et puissante, une exceptionnelle maîtrise littéraire dont fait preuve ici Christine Angot, contredisant, selon moi, la polémique saumâtre érigée autour de ce livre.

Alors bien sûr, ce texte vertigineux sur l'inceste n'est pas à mettre entre toutes les mains, mais si (et seulement si) vous avez le coeur bien accroché, surtout ne passez pas à côté.


Lien : http://minimalyks.tumblr.com/
Commenter  J’apprécie          14211
Amis lecteurs, ton chemin tu passeras car ce livre n'a absolument aucun intérêt!

Présenté par l'éditeur comme le livre mystérieux et sulfureux de la rentrée littéraire, les mots qui viennent à l'esprit après la lecture de ce court livre seraient plutôt: provocation, vulgarité, pédophilie, pornographie, vain!

L'histoire est assez brève: un homme d'âge mûr s'envoie une jeune fille, qui a l'âge de lire les six compagnons, et qui est d'ailleurs peut-être sa fille (ce n'est pas très clair) par tous les trous pendant une semaine. L'auteur ne nous épargne aucun détail et se complaît au contraire à les décrire très crument. J'ai mis la première page en citation car elle reflète bien l'ambiance générale sans être encore trop scabreuse.

Je comprends tout à fait l'intérêt thérapeutique qu'il peut y avoir à mettre par écrit une expérience personnelle. En revanche je ne vois pas l'intérêt de la publier et de la faire lire à d'autres. On se sent sale après la lecture de ce livre, et si Christine Angot a voulu dénoncer quelque chose cela m'a complètement échappé. Bref mieux vaut lire sur le même sujet "Tigre, Tigre" de Margaux Fragoso qui s'annonce autrement plus intéressant et subtil.

C'est après ce genre de livre que l'on devient réticent à la littérature française contemporaine. Rendez-moi Balzac, Stendhal, Maupassant... Là on avait des histoires intéressantes!
Commenter  J’apprécie          1247
Qu'est-ce que la littérature ? C'est avec des livres comme celui-ci qu'on s'en crée sa propre définition. Pur divertissement, petit cheminement personnel pour s'en enrichir, confrontation brutale avec la réalité ? Et bien la littérature, c'est tout ça à la fois. Evidemment, tous les livres ne sont pas ça à la fois. le livre de Christine Angot remplit complètement son rôle en la matière.
Oui, il est insoutenable. Oui, on a le droit de fermer le livre et ne pas le lire jusqu'au bout.
Mais en outre :
Oui, Christine Angot est un écrivain.
Oui, son livre est un grand livre, parce qu'elle a le courage immense de se confronter à une réalité qui fait détourner le regard de la majorité des gens, parce que son sujet est insupportable.
Je ne résumerai pas le sujet du livre, hein ? On le connaît.
Je reviens juste sur quelques petits points. Christine Angot écrit-elle avec platitude ? C'est étonnant qu'on se soit acharné à lui reprocher précisément son style. J'aimerais bien savoir comment on devrait écrire sur un sujet pareil. Avec un style ampoulé ? Rococo trash ? Elle a adopté le seul style possible pour décrire l'insoutenable. Un style volontairement neutre et clinique (je n'aime pas ce mot) qui seul peut permettre de mettre en lumière l'horreur du viol et de l'inceste. Son texte déconstruit les gestes de l'attentat, du meurtre moral commis. La fragmentation qui en résulte rend l'effroi de chaque moment encore plus perceptible. Face à l'horreur, une seule attitude est possible pour la démanteler : la regarder bien en face.
Le viol et l'inceste provoquent une sorte de terreur collective : personne ne veut voir ces sujets en face. Ce n'est donc pas étonnant que la plupart des gens qui n'ont pas eu la force de se confronter à ce sujet aient dénié au texte ses qualités littéraires. Plutôt que reconnaître sa propre aversion (somme toute tout à fait normale !) pour ce sujet, il faut plutôt frapper sur le style de l'auteur ? Tout ceci n'est que de la mauvaise foi.
Mais ce n'est pas seulement le lecteur lambda qui prend cette posture. J'ai été très étonné de voir quelques vidéos de critiques (intronisés, ha, ha, ha !) qui ont préféré eux aussi partir dans des circonvolutions hors sujet en minaudant sur le style d'Angot. Angot n'est plus ceci, Angot n'est plus cela…
Et qui parle du sujet ? Pas grand monde ! Angot dit toute l'horreur et la violence psychologique (car elle n'est pas que physique) du viol, de l'inceste : elle démasque l'homme qui tue psychologiquement sa victime : en la dégradant, en la diminuant et la rabaissant constamment, en lui suggérant de devenir aussi perverse que lui. La brutalité avec laquelle cet homme tente d'asservir la jeune fille dont il prétend dans toute son horreur se faire l'émancipateur est insoutenable. Oui. Mais je n'ai pas lâché le livre. Vous savez pourquoi ? Ce que je vais dire va faire marrer beaucoup d'entre vous, mais j'assume totalement : ce à quoi l'auteur a osé se confronter, ce à quoi une victime de viol ou d'inceste est confrontée, nous, lecteurs, moi, vous, on ne l'est que derrière la vitre de la littérature. On reste assis sur sa chaise, son fauteuil, dans son lit, mais nous ne sommes pas les victimes. On ne fait que lire ce qui nous est dit. On n'a pas à le vivre. Alors on ne trouverait pas le courage de le lire ? Et on le jetterait comme ça, tout simplement parce qu‘on a pas le courage de dire qu'un tel sujet nous effraie ?
J'aurais au moins aimé que ceux qui rejettent ce texte aient reconnu honnêtement que ce sujet leur fait peur, les terrorise. Ce serait tout à leur honneur, et cela n'a rien de dégradant. Mais c'aurait en tout cas été plus honnête intellectuellement que de saisir de faux arguments pour dénigrer ce livre.
A bons entendeurs. S'il y en a !
Commenter  J’apprécie          766
Et bé. Quelle lecture... pour une première rencontre avec l'univers Angot, quelle entrée en matière...
Choquant? Evidemment.
Perturbant? Certainement.
Bouleversant? Sans aucun doute.

Angot a choisi de dénoncer l'inceste sans détour, ne pas adoucir, ne pas prendre de gants. Sinistre. Glauque. Mais nécessaire.
 
Et le monde des lecteurs est parfois étrange. Décrire les sévices inhumains commis par les nazis, ça passe et c'est normal : devoir de mémoire. Décrire les pulsions meurtrières des serial killer, ça passe et c'est normal : devoir de compréhension de la nature humaine. Décrire des scènes de violence, d'agressions, de crimes, de détresse, ça passe et c'est normal : sacrément vendeur le sang et la misère humaine.
Décrire la perversité d'un père incestueux et les sévices subis par sa fille, ça passe aussi. A condition de ne pas trop en dire et qu'on pleure à la fin. Ba oui, sinon c'est dégueu les amis. Tout ce sexe déballé, ça reste à la maison. Ça se dit pas dans les livres. Parce qu'alors on crie au scandale et à la pornographie. L'inceste et le sexe seraient-ils plus tabous que le meurtre et l'hémoglobine en littérature? A n'en pas douter.

Ceci dit je dois l'avouer, cette lecture fut tout de même inattendue et compliquée dès les premières pages. Tout ce déballage et ce discours mielleux de perversité de l'autre tordu à la tronche, je ne m'y attendais pas. Pris de plein fouet. Avec cette question qui revenait régulièrement : irai-je au bout? Car les scènes indécentes de ce père répugnant et de cette ado docile par résignation sont éprouvantes, à vomir, écoeurantes.
D'où ce premier instinct qui résonnait en boucle : quel intérêt ce bouquin? Je ne me sentais pas à ma place. Pas envie d'être dans le voyeurisme, pas envie de me positionner en tant que complice, à en être malade d'assister à ces scènes impudiques, nauséeuses.

Puis après réflexion, tout s'éclaire. Car quel courage de Christine Angot pour oser narrer de telles scènes, douloureuses mais criantes de vérité. Oser se mettre à nu et en dire si peu en même temps. Tout est dans le non-dit, le silence. Subir et se taire.

Et plus que complice de cette ordure, je suis devenue victime aussi. Impuissante, vaincue, prise au piège et finalement résignée jusqu'à la dernière page. Pas d'autre choix que d'aller au bout et partager le même sort, soumise à l'écriture de Christine Angot, à son désir de raconter. Impossible de l'abandonner, de fermer le livre comme on fermerait les yeux.

Alors oui ce récit est choquant, dur, cruel, cru, répugnant, révoltant. Mais l'inceste n'est-il pas un peu tout ça réuni?
C'est aussi ça la littérature, montrer la realité telle qu'elle est.
Pour autant, livre à ne pas mettre entre toutes les mains. 
Commenter  J’apprécie          519
Une semaine de vacances.

Une heure de lecture, une heure insoutenable.

Ni tenants, ni aboutissants, pas de présentations, pas de mise en place, ou de mise en garde. Pas d'analyse psychologique, pas  de commentaire scandalisé, apitoyé, moral, graveleux, égrillard , ou cynique.

Rien.

On est balancé dans l'horreur du purement  factuel.

Pour le récit, une langue classique, ni tenue, ni relâchée. Une langue courante, correcte.  La froide objectivité,  le recul de la troisième personne. Il. Elle. Peu ou pas de dialogue, du discours rapporté. 

Au fil des pages, on comprend qu'"Elle" est une enfant qui lit Cesbron, Ivanhoe.
 Qu'"Il " est son père .

Que ces scènes de sexe, imposé,  contraint, extorqué , répété,  humiliant, sont le programme d'Une semaine de vacances entre un père et sa fille de moins de seize ans.

Je n'aime pas le personnage public, médiatique, de Christine Angot,  son agressivité maladroite, son exhibitionnisme pathétique.

 Mais là, mais là, je reste sans voix devant son courage. Devant la radicalité de son choix d'écrivain, de femme rompue, de fille bafouée.

On ne pouvait mieux parler de l'inceste qu'elle ne l'a fait.
On ne pouvait le faire autrement.
L'inceste n'est pas un sujet romanesque. C'est un constat. C'est un crime.

Une semaine de vacances , c'est un constat criminel.

Commenter  J’apprécie          4918


critiques presse (4)
LePoint
11 septembre 2012
C'est du Angot pur. Archiconcentré. Un shoot d'Angot. Un livre dur, métallique, mais tenu de bout en bout, implacable, impitoyable.
Lire la critique sur le site : LePoint
LaLibreBelgique
11 septembre 2012
Pour ce court roman, Christine Angot a choisi une écriture sèche, précise. [...] On a le droit de rejeter ce texte, de ne pas vouloir le lire. On le comprend d’autant mieux qu’on peut en sortir malade, quasi au sens propre.
Lire la critique sur le site : LaLibreBelgique
Lexpress
04 septembre 2012
Du grand art de la perversion. Et de l'audace littéraire invraisemblable.
Lire la critique sur le site : Lexpress
Telerama
29 août 2012
Sans complaisance, la romancière dit juste comment par la parole, la langue - l'écriture ? - on vient à bout du pire. Renversant.
Lire la critique sur le site : Telerama
Citations et extraits (20) Voir plus Ajouter une citation
Il est assis sur la lunette en bois blanc des toilettes, la porte est restée entrouverte, il bande. Riant à l’intérieur de lui-même, il sort de son papier une tranche de jambon blanc qu’ils ont achetée à la supérette du village, et la place sur son sexe. Elle est dans le couloir, elle sort de la salle de bain, elle marche, elle prend la direction de la chambre pour aller s’habiller, il l’appelle, lui dit de pousser la porte.
- Tu as pris ton petit déjeuner ce matin ? Tu n’as pas faim ? Tu ne veux pas un peu de jambon ?
(Première page)
Commenter  J’apprécie          563
Elle voudrait lui demander quelque chose. Elle lui dit que, comme preuve de cet amour qu'il a pour elle, elle voudrait que la prochaine fois, quand ils se verront, il ne se passe rien de physique, pas de gestes. Même, si c'était possible, dès le lendemain. Juste pour voir, pour savoir si c'est possible. Pour savoir si des relations non physiques entre eux sont pour lui envisageables. Elle l'interroge du regard, pour deviner s'il accepterait de continuer à la voir dans ce cas. Ou s'il préférerait cesser. "Bien sûr." Il dit que ce serait tout à fait possible. "Bien sûr voyons, on fera exactement comme tu voudras, nos caresses sont une conséquence merveilleuse, mais pour moi ce n'est pas l'essentiel, ce n'est pas le plus important. Ce n'est pas ce qui compte." Elle lui a déjà demandé la veille, elle n'osait pas lui redemander. Il promet. Il rit. L'assure que c'est sans difficulté. Elle lui demande pardon d'insister, de lui avoir fait promettre, mais comme la dernière fois il avait déjà dit que ça ne se reproduirait pas, et que ça a lieu quand même...
Commenter  J’apprécie          100
Ils entrent dans l'église par une petite porte latérale. La lumière traverse les vitraux et caresse leurs visages. Puis ils s'approchent du confessional. Il ouvre le rideau, s'assoit sur le petit banc du prêtre, et lui dit de venir s'agenouiller entre ses jambes, d'ouvrir son pantalon et de le sucer un peu. Il caresse ses seins derrière le rideau tiré.Il lui demande de le sucer rapidement avant que quelqu'un entre et voit ses chevilles, ses orteils qui dépassent derrière le rideau.
Commenter  J’apprécie          80
Il lui répète qu'il ne fera que ce qu'elle veut.Qu'il n'ira jamais au-delà.Qu'il n'ira jamais au-delà.Qu'il n'a jamais fait autrement.Elle lui a demandé de respecter sa virginité,pour qu'il ne soit pas son premier amant,il lui rappelle qu'il s'est rendu à ses arguments.Qu'il lui en coûte,parce qu'elle l'excite,qu'elle est belle,qu'il l'aime.Il lui fait valoir que ce n'est pas facile d'être excité toute une journée sans pouvoir pénétrer la femme qu'on désire.Il lui demande si elle lui fait confiance."Oui?"Il lui demande si elle veut essayer,maintenant,ce matin,tout de suite,là,pas longtemps,rien qu'un instant pour voir ce que ça donne,avec un peu de vaseline.
Commenter  J’apprécie          30
Il est assis sur la lunette en bois blanc des toilettes, la porte est restée entrouverte, il bande. Riant à l’intérieur de lui-même, il sort de son papier une tranche de jambon blanc qu’ils ont achetée à la supérette du village, et la place sur son sexe. Elle est dans le couloir, elle sort de la salle de bain, elle marche, elle prend la direction de la chambre pour aller s’habiller, il l’appelle, lui dit de pousser la porte.
- Tu as pris ton petit déjeuner ce matin ? Tu n’as pas faim ? Tu ne veux pas un peu de jambon ?
(p.7)
Commenter  J’apprécie          21

Videos de Christine Angot (38) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christine Angot
📻 L'émission "Le coup de coeur des libraires est diffusée sur les Ondes de Sud Radio, chaque vendredi matin à 10h45. Valérie Expert vous donne rendez-vous avec votre libraire Gérard Collard pour vous faire découvrir leurs passions du moment ! • 📚 Retrouvez leurs dernières sélections de livres ici ! ❤ 👉🏻 • • 📚 La plus secrète mémoire des hommes - Prix Goncourt 2021 de Mohamed mbougar Sarr aux éditions Philippe Rey 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1088618... • 📚 Premier Sang - Prix Renaudot 2021 de Amélie Nothomb aux éditions Albin Michel 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1088813... • 📚 Le Voyage dans l'Est - Prix Médicis 2021 de Christine Angot aux éditions Flammarion 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1089130... • 📚 S'adapter - Prix Femina 2021 de Clara Dupont-Monod aux éditions Stock 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1089964... • 📚 L'Embuscade de Emilie Guillaumin aux éditions Harper Collins 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1089536... • 📚 Dans ma rue y avait trois boutiques - Prix Renaudot essai 2021 de Anthony Palou aux éditions Presses de la Cité 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1081565... • 📚 Le Voyant d'Étampes de Abel Quentin aux éditions de l'Observatoire 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1088946... • 📚 Jack et la grande aventure du Cochon de Noël de J.K. Rowling, Jim Field aux éditions Gallimard Jeunesse 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1094719... • 📚 La seconde vie de Jane Austen de Mary Dollinger aux éditions Nouvel Attila 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1082513... • 📚 Reiser - L'Homme qui aimait les femmes de Reiser et Jean-Marc Parisis aux éditions Glénat 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1095890... • 📚 Les Infréquentables frères Goncourt de Pierre Menard aux éditions Tallandier 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1097602... • 📚 Diabète et coups de fourchette de Annabelle Schachmes aux éditions Leduc 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1097864... • 📚 Le Cinquième cœur de Dan Simmons et Cécile Aranud aux éditions Pocket 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1087802... • 📚 Les Bons mots de l'Histoire de Hubert Van Rie aux éditions Robert Laffont 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/1097507... • • 🐝 Chinez & découvrez nos livres coups d’coeur dans notre librairie en ligne ❤ 👉🏻 lagriffenoire.com • 📺 Notre chaîne Youtube : Griffenoiretv • 👀 Notre Newsletter 👉🏻 https://www.lagriffenoire.com/?fond=n... • Vos libraires passionnés, Gérard Collard & Jean-Edgar Casel
+ Lire la suite
autres livres classés : incesteVoir plus
Les plus populaires : Littérature française Voir plus


Lecteurs (641) Voir plus



Quiz Voir plus

Les écrivains et le suicide

En 1941, cette immense écrivaine, pensant devenir folle, va se jeter dans une rivière les poches pleine de pierres. Avant de mourir, elle écrit à son mari une lettre où elle dit prendre la meilleure décision qui soit.

Virginia Woolf
Marguerite Duras
Sylvia Plath
Victoria Ocampo

8 questions
1686 lecteurs ont répondu
Thèmes : suicide , biographie , littératureCréer un quiz sur ce livre

{* *} .._..