Le paradoxe n'est pas d'aujourd'hui, il est de grands écrivains sans grandes oeuvres, ou de grandes langues sans grands livres, et serait-ce exagéré que de compter
Marcel Arland parmi ces beaux méconnus, dont on ne saurait citer un personnage, et peut-être une histoire, mais dont les livres, comme Je vous écris, ont le charme, la nuance, la vérité de ce qu'on voudrait appeler, mieux encore que la grande littérature, les belles lettres ?
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