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Critique de ShayHlyn_Farfouine
Plus qu'un titre, « La baroque épopée du monde qui ne voulait plus tourner » est un résumé à lui tout seul. La couverture, elle-même, en dit long sur ce qu'on peut espérer retrouver dans cet album… et le résultat est là !
Celui à qui ont doit, entre autres, « Danthrakon » et « le Grimoire d'Elfie », Christophe Arleston, revient avec un titre captivant dans un univers flamboyant. le baroque est présent dans chaque décor, dans chaque tenue vestimentaire, … et même les manières des personnages sont autant de marques de ce style dépeint par Dana Dimat.
Si le graphisme épate par ses couleurs et son design, le récit n'est pas en reste. Les personnages sont, certes, rapidement décrits, mais il faut faire vite : on n'a que deux tomes pour revenir aux origines de ce monde et retrouver une civilisation perdue qui pourrait détenir la solution au problème titanesque qui se présente au bon peuple d'Omnamül : la planète ne tourne plus ! Une façon étonnante de ralentir la cadence de ce premier tome tout en éprouvant le besoin d'agir promptement. C'est brillant !
Découpé en actes comme une pièce de théâtre, le récit nous emmène néanmoins dans divers lieux de cette planète qui a décidé, du jour au lendemain, de ralentir pour enfin totalement s'arrêter de tourner. Ce qui n'empêche pas le régent actuel de vouloir attenter à la vie de son neveu pour prendre le pouvoir et devenir calife empereur à la place de l'empereur.
Une épopée somme toute classique dont l'humour pourrait être sujet à controverse entre les lecteurs : certains aimeront, d'autres peut-être un peu moins, espérant une aventure plus mature et sombre dans ce fastueux monde plein de couleurs, de volupté, de décadence et d'intrigues. Mais dans tous les cas, difficile de ne pas admirer l'idée et le graphisme.
Lien : https://sambabd.net/2021/11/..
Celui à qui ont doit, entre autres, « Danthrakon » et « le Grimoire d'Elfie », Christophe Arleston, revient avec un titre captivant dans un univers flamboyant. le baroque est présent dans chaque décor, dans chaque tenue vestimentaire, … et même les manières des personnages sont autant de marques de ce style dépeint par Dana Dimat.
Si le graphisme épate par ses couleurs et son design, le récit n'est pas en reste. Les personnages sont, certes, rapidement décrits, mais il faut faire vite : on n'a que deux tomes pour revenir aux origines de ce monde et retrouver une civilisation perdue qui pourrait détenir la solution au problème titanesque qui se présente au bon peuple d'Omnamül : la planète ne tourne plus ! Une façon étonnante de ralentir la cadence de ce premier tome tout en éprouvant le besoin d'agir promptement. C'est brillant !
Découpé en actes comme une pièce de théâtre, le récit nous emmène néanmoins dans divers lieux de cette planète qui a décidé, du jour au lendemain, de ralentir pour enfin totalement s'arrêter de tourner. Ce qui n'empêche pas le régent actuel de vouloir attenter à la vie de son neveu pour prendre le pouvoir et devenir calife empereur à la place de l'empereur.
Une épopée somme toute classique dont l'humour pourrait être sujet à controverse entre les lecteurs : certains aimeront, d'autres peut-être un peu moins, espérant une aventure plus mature et sombre dans ce fastueux monde plein de couleurs, de volupté, de décadence et d'intrigues. Mais dans tous les cas, difficile de ne pas admirer l'idée et le graphisme.
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