Septième et dernier tome paru à ce jour, "Les dents de pierre" est un peu moins sanglant que les précédents (donc un peu plus à man goût) mais sans pour autant être dur en raison des évènements tragiques qui s'y déroulent.
Alors que le Havre de la lumière est au plus mal (le pontife et cruel tyran Xarchias est mort mais il est cependant remplacé, contre le vouloir des prêtres de la lumière par un sorcier encore plus puissant, Xamphre d'Yrkone), nos quatre amis poursuivent l'ascension de la plus haute des montagnes afin de rejoindre le soit-disant repère des Titans et de pouvoir enfin les délivrer.
Cependant, leur chemin sera, une fois encore semé d'embûches et, cette fois-ci, ces obstacles ne sont pas seulement physiques mais aussi psychique car Sleilo n'arrive pas à faire le deuil du seul qu'elle n'ait jamais aimé, Bynöod .
Arrivera-t-elle à surmonter sa douleur et à faire face à la réalité en acceptant de continuer à vivre et ne se tournant pas du côté obscur ?
Une série que j'apprécie vraiment beaucoup, tant au niveau du graphisme que de l'intrigue mais il va me falloir patienter encore un certain temps avant de pouvoir lire le tome 8...:(. A découvrir !
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Darko a un but : traverser la Dorsale, cette immense chaine de montagne que l'on dit pourtant infranchissable. C'est par là que son ancêtre Cohars et les Titans ont disparus. C'est donc par là qu'il les retrouvera. oui mais le voyage dans ces hautes altitudes risque d'être compliqué. Surtout que des peuples, pas tous amicaux, y ont trouvés refuge.
Le scénario est toujours aussi riche. aussi sympa à lire.
Dans l'équipe de Darko, Sleilo prend une importance toute particulière. depuis la mort de Bynood, elle n'est plus la même. triste, attirée par le coté sombre de la force presque... ^^ Sa transformation est très intéressante.
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Dans ce tome, le personnage de Sleilo est mis en valeur, en avant. En effet, sa relation avec Bynood, et son deuil, va donner lieu à d'intéressants événements. Cela permet aux auteurs d'explorer une autre facette du monde d'Opale, une autre manière de le développer, de l'enrichir. le scénario suit son cours et conduit nos héros dans les sommets de la dorsale, l'occasion pour eux, encore une fois, de se frotter à la faune locale, et pour les auteurs de nous faire part de leur grande imagination. Mais le récit va enfin développer la mythologie propre de la série en faisant vivre aux personnages un événement marquant, un objectif étant atteint mais pas de la manière souhaitée. Ainsi se renouvelle l'histoire, apportant son lot de réponses mais également de nouvelles questions.
Mis à part le déroulement qui est toujours le même d'un tome à l'autre, l'histoire est suffisamment bonne pour capter l'intérêt du lecteur.
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Nouveau tome et toujours une capacité à surprendre et à renouveler la trame scénaristique : bravo, on ne s'en lasse pas. Dans cet album, le personnage secondaire de Sleilo gagne en densité et pourrait même devenir un personnage central dans les suivants.
Notre petite équipe semble avoir trouvé la trace de Cohars, mais cette étape nous mène à de nouveaux développements inattendus.
Le dessin et la mise en couleur sont toujours aussi envoûtants.
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Toujours d'excellents rebondissements dans cette aventure. Une civilisation cachée, cruelle, on en apprend un peu plus sur le destin de Cohars et des titans.
Sleilo m'a juste un peu tapé sur les nerfs. le chagrin n'explique pas la bêtise. Enfin bon, sans elle il y aurait moins d'action, c'est sûr !
Cela reste de la bonne fantasy, malgré tout !
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Arleston, en scénariste averti, tient adroitement le cap de son histoire, la faisant virevolter dans des territoires inaccoutumés et dans des effusions de violence, de sensualité, de magie occulte, au contact de personnages monstrueusement et mystérieusement irrésistibles [...].
Lire la critique sur le site : Sceneario
L'homme est le plus étrange des animaux. Du cœur des jungles les plus étouffantes jusqu'aux sommets éternellement enneigés, il s'adapte, survit, crée des communautés.
"L'homme est le plus étrange des animaux. Du coeur des jungles les plus étouffantes jusqu'aux sommets éternellement enneigés, il s'adapte, survit, créé des communautés."
— Et puis, on peut se le permettre, Tara nous a fait gagner une petite fortune, hier soir !
— J’ai eu l’impression de me prostituer.
— Rassure-toi, c’est un sentiment très répandu chez tous les artistes.
-Je voyais ça plus grand...
-Voyons Darko, quand il fait froid les gens se serrent. Rük n'est pas petit, il est juste tassé.
— Mieux vaut mourir aujourd’hui qu’être damné pour l’éternité !
— Oh, on peut faire les deux.