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Ronald Blunden (Traducteur)
EAN : 9782070421671
253 pages
Gallimard (31/12/2001)
3.6/5   138 notes
Résumé :
La suite des nouvelles de jeunesse d'Asimov (voir “Noël sur Ganymède”) est également assortie de commentaires bio et bibliographiques qui nous renseignent de façon détaillée sur les débuts de l'auteur.
Trois des six nouvelles - “Super-Neutron”, “Bon sang ne saurait mentir” (admirable histoire d'un fantôme en Cour de Justice) et “Auteur ! Auteur ! ” - sont du domaine du fantastique humoristique. “Non définitif” étudie les manipulations des champs de force. “L'... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Troisième volume du découpage éditorial français pour le recueil Early Asimov. Cet ensemble a été initialement publié dans la collection Présence du futur et les volumes 1 et 3 réédités chez Folio. Pour info, on peut aussi trouver le recueil en entier sous le titre Période d'essai (Folio).

Faut bien l'avouer, l'intérêt principal de ces volumes ne réside pas tant dans les nouvelles que dans le récit autobiographique raconté par l'auteur en personne. Dans Chrono-minets, nous sommes entre 1941 et 1943, c'est-à-dire en pleine guerre. Isaac Asimov décroche enfin l'examen qui lui permet de démarrer sa thèse, mais l'entrée en guerre des USA l'incite à intégrer la Station expérimentale de l'aéronavale des chantiers de la U.S. Navy en tant qu'ingénieur civil (c'est Robert Heinlein qui est allé le chercher).

En parallèle il poursuit sa carrière de nouvelliste SF. Il est en train de se faire un nom et ses écrits sont de plus en plus souvent acceptés au premier jet (en particulier par l'exigeant éditeur John W. Campbell). Et c'est là qu'on se rend compte que le titre Early Asimov fait plus référence à l'aspect biographique qu'aux nouvelles. En effet, à cette époque le « early » Asimov a déjà lancé ses premières nouvelles sur les Robots, et il commence la série des Fondation. de véritables succès auxquels il faut ajouter la novella Quand les ténèbres viendront nommée (faut que je la lise bon sang !). Et bien sûr, aucun de ses chefs d'oeuvre ne figurent dans Early Asimov qui se contente du fond de la bouteille, en quelque sorte. Certaines d'entre elles – Bon sang ne saurait mentir, Auteur ! Auteur ! –resteront inédites pendant longtemps.

Mais ne noircissons pas trop le tableau quand même. Ce volume est bien mieux que le numéro 2 Noël sur Ganymède. La nouvelle Super-neutron est un sympathique petit jeu d'extrapolation physique qui suppose que, toute comme la force électromagnétique et ses neutrons, la gravitation possède aussi ses éléments neutres – comprendre ici insensible à la force de gravitation (c'était avant la théorie de l'interaction forte). Intégrée au sein d'un jeu de « je te prends à mentir » entre membres d'un club, le récit se laisse avaler avec un petit arrière-goût désuet pas désagréable.
Bon sang ne saurait mentir – écrite avec Fred Pohl – représente une rare tentative d'Asimov dans le domaine du fantastique : un fantôme fait un procès à l'héritier d'une maison qu'il hante parce qu'il cherche à se débarrasser de lui. On se croirait dans un drôle épisode de Perry Mason.
Quant à Auteur ! Auteur ! où un auteur créateur d'un détective à succès en a marre d'écrire ces « niaiseries » et rencontre sa création qui ne veut pas qu'il abandonne. Ambiance sitcom genre Big bang theory, avec rires enregistrés.
En revanche je n'ai pas été impressionné par les chats 4D de Chrono-minets, ni par les psychologues de Arrêt de mort (quoique je n'ai pas vu venir la fin de cette dernière). La nouvelle Non définitif n'est pas mal ; un bel exemple de l'idée qu'une théorie scientifique n'est pas une Bible, qu'elle n'est jamais définitive.

Plus qu'un volume donc : La mère des mondes. J'ai un peu peur car il n'a pas été réédité en tant que tel par Folio. Mais la suite du récit autobiographique, lui, vaudra sûrement le détour.
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Dans ce recueil de 6 nouvelles présentées dans leur ordre d'écriture (entre février 1942 et juin 1943), Asimov s'essaye à l'humour. Trois de ces nouvelles sont à caractère comique (« Bon sang ne saurait mentir », « Auteur! Auteur! », « Chrono-minets »). Écrivain depuis 3 ans à seulement 22 ans, il parvient à renouveler ses idées, avec un style qui s'affirme, se montrant parfois plus léger. Certains passages peuvent être tordus ou difficiles à suivre mais la majorité présente une grande maîtrise.

Ce style est souvent qualifié de simple, mais cet adjectif peut parfois occulter la qualité de ses écrits. C'est en effet grâce à une grande maîtrise d'écriture, beaucoup de facilités, de spontanéité et de génie qu'Asimov rend ses récits aussi fluide et limpide pour ses lecteurs. Ses récits ne sont donc ni simpliste ni sentimentaliste, Asimov est un des rares écrivain à se mettre aussi passionnément au service du lecteur. Son style flexible lui donne ainsi de nombreuses possibilités de variations, allant du récit très léger au plus profond, tout en restant brillant.

Ici Asimov réussit ses nouvelles comiques, puisqu'elles sont effectivement drôles. Parmi les autres nouvelles du recueil, « Arrêt de mort » se déroule dans l'univers du cycle de Fondation mais en est totalement indépendant. « Super-neutron » rappelle le procédé narratif des histoires des veufs noirs, et « Non définitif » met encore une fois en scène Jupiter avec un fond de science.

Asimov est la preuve que la simplicité est une vertu, surtout dans le domaine de l'art, et qu'elle n'est paradoxalement pas simple à trouver.
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Je termine l'année avec l'Ami Isaac Asimov. Une bien belle année de lectures, de découvertes, de retrouver aussi des auteurs que j'affectionne et surtout celles que j'ai pu partager. Ma PAL a aussi fait le yo-yo. Elle a diminué considérablement ces quelques mois, mais les défis ainsi que Noël ont redonné un peu de volume.

Ce que j'aime bien avec les recueils d'Isaac Asimov, c'est qu'on a bien souvent des témoignages de l'auteur sur ces écrits. Ici, il s'agit de nouvelles anciennes, écrites lorsqu'il était tout jeune. Notre Docteur qui ne l'était pas encore, nous parle d'un temps où la Seconde Guerre Mondiale éclate. de ses années d'étudiants et de ses débuts dans le monde professionnel en compagnie de Robert Anson Heinlein et de Lyon Sprague de Camp (que je ne connais pas), mais aussi marital, de ses relations délicates avec John Wood Campbell.

« Super-neutron » (« Super-Neutron » - 1941). Différentes parutions :
On commence doucement en amuse bouche, une petite nouvelle toute sympathique. La fin du système solaire est proche selon les dires d'un scientifique lors d'une conférence entre experts. S'ensuit des explications théoriques.

« Non définitif ! » (« Not final ! » - 1941). Différentes parutions :
Celle-ci, je l'ai adoré. La vie extraterrestre existe, j'en suis convaincu. Sur Terre nous avons des bactéries extrémophiles capables de vivre dans des conditions incroyables, allant des températures démentielles ou glaciales. Alors la vie sur Jupiter, c'est plausible, tant qu'on ne l'a pas démontré. Imaginons que sur la géante gazeuse, des aliens aussi intelligents que nous, mais aussi belliqueux. L'inconvénient, c'est que la masse du globe est tellement énorme qu'ils ne peuvent pas de la quitter. le seul moyen est d'utilise l'anti-gravité.

« Bon sang ne saurait mentir » (« Legal rites » - 1950). Différentes parutions :
Excellent. Un Isaac Asimov étonnant qui délaisse la SF pour du surnaturel. Un spectre engage un avocat pour une affaire personnelle. de plus, l'auteur nous tague d'un peu d'humour.

« Chrono-minets » (« Time pussy » - 1942). Différentes parutions :
La nouvelle ayant donné le nom au recueil m'a laissé indifférent. C'est aussi la plus courte. Un dialogue entre deux personnes pour parler d'un animal à quatre dimension qui ressemble à un chat.

« Auteur ! Auteur ! » (« Author ! Author ! » - 1964). Différentes parutions :
Écrite durant la Seconde Guerre Mondiale pour le magazine Unknown. Ayant des difficultés pécuniaires, cette revue n'a pas pu la publier. Elle ne le sera que vingt ans plus tard. Encore un récit fantastique/surnaturel mettant en scène les relations entre l'auteur, l'éditeur et le personnage principal du livre. Je l'ai bien aimé, même si je l'ai trouvé un peu longue.

« Arrêt de mort » (« Death sentence » - 1943). Différentes parutions :
Une nouvelle qui aurait pu faire partie du cycle des robots. À la fois intéressante et frustrante, puisque l'on aurait bien aimé en apprendre davantage sur cette planère.
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‘Tain, quatorze pages de fiches de géo à réviser, me parlez plus de politique, ni d'économie, ni de sociologie ! Voyons voir un peu Honor Harringto… AAARGH
Bref, vous vous doutez que dans des conditions pareilles, je ne pouvais pas entamer maintenant la SF militaire et que je me suis tourné vers quelque chose de plus simple. Les nouvelles, tu peux en picorer quand tu veux, y'a pas de (grosses) longueurs (on y reviendra), et sur le lot t'en as toujours au moins une de bonne. Alors en plus si c'est Asimov, ça peut qu'être une valeur sûre. Même quand il était tout jeunot ? Voyons voir ça…

Super-neutron

Dans un restaurant du futur, un club se réunit avec ceci de particulier que ses membres s'amusent à se mentir en permanence : celui qui fait le plus gober aux autres devient président de la prochaine séance, le perdant doit payer l'addition. Sauf que cette société secrète a un petit nouveau très, très ambitieux…
La nouvelle imagine un phénomène astrophysique original, causant la destruction imminente du Système solaire. Mon gros problème est que l'effet « Ça a l'air tellement vrai que ça se trouve il ment pas » reste (très) tempéré : d'une part les membres sont prêts à écouter n'importe quelle théorie pourvue qu'elle soit cohérente, mais sans jamais demander une preuve qui la leur ferait préférer à une autre ; d'une autre, la vérification de cette cohérence nécessite tellement d'explications que le suspense meurt alors qu'en étant plus concis et en s'intéressant un peu plus à la psyché des personnages il aurait pu effectuer un joli crescendo.

Non définitif !

Jupiter est habitée par tout un tas de saloperies aux relents lovecraftiens : on ne les a jamais vues, jamais entendues, on ne sait rien d'elles à part que ce sont de sales petites bestioles très, très agressives. L'humanité va devoir s'armer…
La nouvelle remonte nettement le niveau en s'intéressant à un bon vieux passe-partout de la SF pulp : les champs de force. Là où le plus gros des productions s'en servent comme échappatoire, Asimov s'intéresse à sa conception et à son fonctionnement. La nouvelle est très accessible et s'offre une pirouette finale assez ironique envers l'érudition scientifique si attachée à ses théories plutôt que la pratique…

Bon sang ne saurait mentir

Les fantômes existent… et ils n'hésitent pas à mettre en procès ceux qui voudraient leur reprendre leur manoir. Un texte humoristique trop long pour ce qu'il raconte, mais non dépourvu de quelques piques amusantes.

Chrono-minets

Des chats aux propriétés temporelles étranges apparaissent dans la ceinture d'astéroïdes. Les fans de Pratchett ne seront pas dépaysés, il s'agit là d'une farfeluterie qu'il a très reprise dans ses Annales du Disque-monde, le tout couplé à pas mal d'humour noir. le peu de worldbuilding et l'impression de déjà-vu m'ont ôté le plaisir de la lecture, mais elle reste recommandable.

Auteur ! Auteur !

Graham, écrivain de polars cynique et malgré lui, subit un jour la visite impromptue de son héros, pour découvrir que celui-ci le déteste aussi cordialement que lui…
De loin la meilleure nouvelle du recueil, et peut-être une des meilleures d'Asimov hors Fondation. Certes le thème est classique, mais partout fleurissent les répliques savoureuses sans jamais à part sur la fin qu'elles aient un effet trop théâtral ! Ajoutez à ça qu'on sent le vécu et que c'est aussi une excellente satire de l'intelligentsia méprisant la littérature de genre.

Arrêt de mort

La planète Dorlis héberge une civilisation… de robots. On ne sait pas qui les a construits, seulement qu'il s'agissait de faire des expériences psychologiques dessus. Sauf qu'ils ont l'air drôlement humains, pour un peu on y croirait…
Le texte clôt le recueil sur un tempo assez lent, mais qui se voit récompensé par un twist vertigineux qui, s'il est peu crédible, ne nous en fait pas moins remettre en question notre rapport avec les gentils petits indigènes des autres planètes. Paraissant juste sympathiques au début, le dernier paragraphe nous fait comprendre que l'humanité va bien au-delà de ça. Allez savoir qui sont les plus avancés !

Postfaces

Il y en a une à la fin de chaque nouvelle afin de faire la transition vers la suivante. Isaac Asimov nous raconte sa vie, ses échecs, ses succès, le tout avec beaucoup d'humour, ce qui devient très vite aussi, sinon plus passionnant que les récits de fiction.

Conclusion

Chrono-minets est comme on pouvait s'y attendre un recueil assez mineur dans la bibliographie d'Asimov. Il n'en est pas moins qu'on peut y trouver des hypothèses étranges, des scènes passionnantes, et bien plus d'inventivité que chez les trois quarts des écrivains actuels (ce n'est pas une insulte, juste un constat de ma part ; au passage, je fais signaler que nombre d'entre eux parvient à se rattraper dans d'autres domaines). Bref, vous avez là une jolie gourmandise, pourvu que vous tolériez quelques temps morts et d'occasionnelles déceptions. Après, je dis ça, c'est pour votre culture…
Lien : https://cestpourmaculture.wo..
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Il fallait bien que ça arrive à un moment à force de relire tout Asimov: j'ai été déçue et n'ai pas apprécié ce recueil de nouvelles. Il y a quelques très belles formulations, de belles phrases, des moments de surprise, mais les nouvelles sont plus brouillonnes, moins dynamiques et concernent des thématiques plus éparses qu'habituellement. Cela s'explique par le fait qu'il s'agit de 6 nouvelles de jeunesses, Isaac Asimov était moins aguerri que plus tard.
J'ai détesté la nouvelle chrono-minet, qui a donné son nom au recueil, trop affreuse pour moi.
Dans l'ensemble le recueil est "pas mal" mais ce n'est pas du grand Asimov.
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critiques presse (1)
SciFiUniverse
15 mars 2013
Les différentes nouvelles ont donc le mérite d'être assez éclectiques dans leurs approches, donnant dans le classique comme dans le plus surprenant.
Lire la critique sur le site : SciFiUniverse
Citations et extraits (15) Voir plus Ajouter une citation
Entre le moment où je passais les examens et le moment où les résultats furent connus, je réussis à écrire Victory Unintentional. C’était un récit de robot positronique qui devait donner suite à Nightfall (qui n’était pas, lui, un récit de robot positronique). De toute évidence, j’essayais d’exploiter au maximum l’idée des “feuilletons” dans l’espoir que cela me garantirait un écoulement plus facile de ma production littéraire.
Je soumis la nouvelle à Campbel le 9 février 1942, et, si tant est que je le croyais incapable de refuser un récit constituant un épisode de feuilleton, je perdis bien vite mes illusions. Nightfall et la série des Fondation ne l’impressionnaient pas au point qu’il se crût obligé de prendre des gants pour me signifier son refus.
Le 13 février, le jour même où j’entrais dans le cercle restreint de ceux qui avaient le droit d’entreprendre des recherches en laboratoire pour leur doctorat, mon enthousiasme fut quelque peu refroidi lorsque je reçus par la poste Victory Unintentional, accompagné d’une note assez sibylline de refus qui consistait, en tout et pour tout, en la formule suivante :

CH3C2CH2CH2SH

Campbel savait très bien que c’était la formule chimique du butyle “mercaptan”, qui donne aux putois leur odeur particulière, et je le savais très bien aussi, et Campbel savait très bien que je le savais…
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— Au diable la bêtise humaine ! Il se peut que je sois un fantôme, mais Dieu sait que je n'essaie pas de vous hanter. Ce serait vous accorder plus d'importance que vous n'en avez, mon ami. Comprenez-moi bien. Je suis venu pour parler affaires.
— Affaires juridiques ?
— Précisément. Le fait que j'aie succombé jadis à une mort violente et que j'aie été contraint de poursuivre mon existence sur le plan astral ne veut pas dire que j'aie perdu mes droits civiques. N'est-ce pas ?
("Bon sang ne saurait mentir" - collaboration avec Fred Pohl)
Commenter  J’apprécie          161
C'est une chose de voir Jupiter se détacher, froid et dur, contre le noir d'ébène de l’espace. A plus d'un million de kilomètres de distance, il semble déjà assez majestueux. Mais sur Ganymède, au ras des collines, sa silhouette adoucie et rendue très légèrement floue par l'atmosphère raréfiée, brillant d'un éclat velouté dans un ciel pourpre où seules quelques étoiles fugitives osent faire concurrence au géant, il ne saurait être décrit par aucun assemblage de mots.
("Non définitif !" - 1941)
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Graham Dorn se surprit à penser - et ce n'était pas la première fois que ça lui arrivait - qu'il y a un certain risque à jurer qu'on se jetterait au feu pour une fille, quelque ardente que soit la passion qu'elle vous inspire. Il arrive qu'elle vous prenne au mot, la garce.
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- Dans ce cas, laissez-moi seulement faire une déclaration, dit-il. Le système solaire cessera d'exister à exactement 2 heures 17 minutes et 30 secondes cet après-midi.
Sa déclaration fit l'effet d'une bombe.
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Videos de Isaac Asimov (30) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Isaac Asimov
Traduit pour la première fois en langue française, Isaac Asimov, le célèbre auteur du Cycle de Fondation, raconte l'histoire d'une petite tribu semi-civilisée qui a créé en l'espace de 500 ans, grâce à leur audace et leur ingéniosité, l'une des civilisations les plus brillantes jamais vues : Rome. Son don extraordinaire pour croquer des figures historiques, rendre simples et lumineux des batailles et des événements pourtant complexes plonger au coeur des systèmes socio-politiques pour en tirer les plus évidentes leçons, entraîne le lecteur dans une aventure mémorable aux quatre coins de l'Europe. A travers cette chronique menée tambour battant, c'est aussi notre histoire qu'il raconte tant les Romains ont influencé la forme de notre vie quotidienne, nos institutions et nos idéaux de justices et d'honneur.
Vidéo réalisée par Benjamin van Blancke à partir des illustrations du livre.
Disponible en librairie. Pour en savoir plus sur cet ouvrage, écouter un extrait audio ou feuilleter des bonnes pages : https://bit.ly/46V7V84
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