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EAN : 9782070420667
208 pages
Gallimard (10/06/2010)
3.29/5   281 notes
Résumé :
Un dîner, de nos jours, dans la grande bourgeoisie parisienne. Afin de séduire son invité d'honneur - un puissant homme d'affaires étranger - la maîtresse de maison a convié ses amis les plus remarquables. Mais à la dernière minute, l'un d'entre eux se décommande : il n'y a plus que treize convives... Comme le dîner doit commencer à tout prix, la nouvelle " invitée " est choisie au mépris de la bienséance. Une véritable transgression. La quatorzième convive devient ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (73) Voir plus Ajouter une critique
3,29

sur 281 notes
J'ai été invitée, le temps de lire quelques 200 pages à un dîner de cons, dans un des quartiers les plus chics de la capitale. Je m'y suis terriblement ennuyée. J'en baille encore en écrivant ces propos !
Sophie du Vivier, la maitresse de maison, invite un homme d'affaire étranger de la plus haute importance. Pour lui tenir compagnie le temps de cette soirée, elle convie quelques amis triés sur le volet. Cette soirée doit être brillante, alors elle frotte toutes ses idées, sélectionne ses relations afin qu'il n'y ait pas de fausses notes. Tout le vernis doit reluire de mille éclats, la table sera tirée au cordeau. Sophie du Vivier, surnommée Madamedu, va jusqu'à mesurer la distance entre les verres et les assiettes, comme à l'Elysée (copieuse !)…..Assurément l'homme d'affaires va en avoir plein la vue.
Les invités arrivent : Marie-Do, esclave de la chirurgie esthétique, Joséphine, directrice d'un programme représentant les médias, Adrien, avocat de renom, un ambassadeur, un financier etc etc…….
Ils devaient être 14. A la dernière minute quelqu'un se désiste. 13 à table ? hors de question. Quelqu'un a une idée lumineuse. Invitons la « bonne » ;
Sonia d'origine marocaine, doctorante en histoire de l'art ôte son tablier et s'assoit le plus naturellement du monde. « Tellement intelligente qu'elle n'arrive pas à éprouver de rejet » !
Et les dialogues sont consignés un peu moins naturellement d'ailleurs, enchaînant clichés, banalités, convenances, idées reçues. Tout me semble cousu avec du fil blanc.
Quelqu'un demande à Sonia « Et vous vous plaisez chez nous ? Et à la question Quelle est votre religion ? Sonia répond : le savoir-vivre !
Je n'ai pas adhéré à cette comédie outrancière où le racisme fuse dans tous les sens. Racisme latent et primaire de la part des invités en direction de Sonia ; racisme méprisant et aux traits quelques peu grossiers vis-à-vis des « bourgeois », propos mordants à l'encontre de cet ambassadeur : « son excellence Alexandre »,qui s'agrippe à son marocain un peu terni « parce qu' il n'appartenait plus à aucun réseaux au coeur des hautes nominations : ni aristocrate, ni homosexuel, ni franc-maçon » et hop ! un coup de griffe au passage pour ces trois groupes catégoriés. Pierre Assouline évoque même le racisme des gens incultes confrontés aux gens cultivés. Et si quelqu'un habite Passy alors là !!!!
Même les femmes, choisies pour ce texte bien sûr, apparaissent comme des poupées refaites et tout juste capables de s'échanger le nom de leur coiffeur ou de leur couturier. L'une d'elle semble cependant assez maligne pour glisser à l'oreille de Sonia : « séparément, ce sont tous des gens de qualité… Oui presque tous, je vous l'accorde. Mais une fois ensemble, ils en deviennent parfois imbuvables. Allez expliquer çà ! Au-delà-de deux, la vie en société agit comme une compétition d'égo où la surenchère révèle ce que l'âme a de plus noir. »
Tous se plient bon gré mal gré « aux structures élémentaires de l'apparté » .
J'ai trouvé ce récit ampoulé, éxagéré et discriminatoire vis-à-vis de pas mal de monde.
Les caricatures sont nombreuses et leur sens devient lourd à mes yeux.
J'ai refermé ce livre, très heureuse de garder un peu d'espoir sur l'être humain qu'il soit avocat, journaliste, employé de maison, français, anglais, péruvien ou femme de !
Je ne retournerai jamais dîner avec ces personnes là! jamais, jamais, jamais.....
Demain je vais réveillonner. Nous serons douze très précisément, à moins qu'une personne s'annonce à la dernière minute………..

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De cet auteur, j'avais particulièrement aimé le bouleversant "Hôtel Lutetia", d'autant plus que je sortais à peine de la lecture de "Suite française" d'Irène Nemirowsky qu'évoque Pierre Assouline dans son livre.
« Les invités » est d'un genre tout à fait différent. On a l'impression que l'auteur s'est beaucoup amusé à caricaturer cette grande bourgeoisie prétentieuse. Peut-être a-t-il profité de son récit fictif pour régler quelques comptes au passage. Toujours est-il qu'on sourit en écoutant pérorer ce petit monde infatué.
Le plus drôle, c'est la superstition qui, pour éviter les treize convives autour de la table, conduira la maitresse de maison à inviter l'employée de maison. Cette jeune femme d'origine maghrébine et dont l'esprit est bien supérieur à celui de ces grands intellectuels va bouleverser les rôles impartis.
On aurait pu tomber dans la caricature outrancière, mais Pierre Assouline sait manier la dérision avec de la légèreté et un humour grinçant.
Roman vite lu, pas du grand Assouline, mais c'est jubilatoire.


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Un dîner à Paris est en soi une comédie française*.

Stupeur : le dîner mondain de Madamedu prend l'eau : ils sont 13 à table.
L'hôtesse est anéantie, autant de cette faute de goût impardonnable que de la solution proposée pour limiter le naufrage: on invite la bonne. le plan de table très réfléchi en est tout chamboulé, d'où crispations de certains, provoquant la pensée d'un invité: "Cette soirée part en couilles, j'adore!"

Un dîner savoureux, que j'ai dégusté en gourmandise pour l'ironie, le zeste de paillardise au détour d'un paragraphe, l'érudition sans affectation et le décryptage du petit manuel d'un certain savoir-vivre. L'élégance y côtoie l'absolue goujaterie, le cynisme, le paraître, le pouvoir de l'argent et le racisme ordinaire.

Exercice littéraire féroce de la part d'Assouline, dont le persiflage sent le vécu, quand il dénonce les vanités d'une certaine grande bourgeoisie. Il nous prend à contre pied avec sa domestique arabe et érudite, quand on pouvait s'attendre à un choc frontal de classes. C'est beaucoup plus subtil et l'auteur sait éviter la caricature et les clichés. J'ai craint pendant quelques pages que le propos incisif ne s'essouffle en dévoilant les fragilités bien cachées, mais la chute post prandiale est sous le signe de la légèreté et de l'humour.

Quelle joyeuse lecture!

(*page 29)
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"Il n'avait tout de même pas l'idée de faire diner la bonne avec eux?"
Mais oui, mais oui "Madamedu", "Madamedu" tout va très bien, tout va très bien.
Sophie du Vivier, la grande bourgeoise perfectionniste experte dans "l'art du placement", dite "Madamedu" par la jolie Sonia discrète et "bien dans sa peau" et l'impulsif Othman, ses employés de maison très classe, se rappellera de sa réception mondaine où, de petits riens en petits riens,rien ne va se passer comme prévu jusqu'à frôler la catastrophe!
Les invités (d'où le titre) étaient pourtant triés sur le volet: un normalien, un énarque ambassadeur, son épouse à "l'enfance aristocratique",un couple de nouveaux riches glamour,un avocat bavard,son épouse "diaphane", une directrice de programmes de chaine cablée,un académicien,une scientifique de haut niveau et "l'invité d'honneur" un richissime industriel canadien.Par le jeu du hasard, un couple s'est désisté, un deuxième normalien distrait se joint au groupe puis se retire s'apercevant qu'il était invité à l'étage du dessus. 13! Les voilà 13! Impossible n'étant pas français voilà une bonne étrangère à leur table pour calmer les superstitieux!
La plume ironique de Pierre Assouline va orchestrer ce cruel repas aux conversations, tous azimuts, des plus pétillantes !
Comme pour le cocktail dinatoire d' Etat LimitePierre Samson "aime soulever le tapis pour voir ce qu'on a glissé dessous", c'est ici Georges Banon "l'invité d'honneur" (le plus humain des convives présents) qui accomplira le même geste en fin de repas, car les défauts des uns et des autres vont apparaitre de ci de là (snobisme,manque de diplomatie,arrivisme,moqueries,humiliations,méchancetés,racisme,perversité,
perfidie,malveillance,vulgarité..) d'où les réactions disparates de cette "comédie des apparences" (entre gêne,malaise,énervement,réparties,lourds silences,jeux de mots pour sauver l'atmosphère plombée,disputes).
Les secrets se révèlent au cours des conversations ou sont surpris au détour d'un regard ou d'une éclipse dans la salle de bains: qui est homosexuel,cocaïnomane,en échec,en désamour,cancéreux...à moins qu'il ne soit pas un bon chrétien bien formaté selon les critères de cette société bien pensante? Elle court, elle court la rumeur!
Je laisse aux lecteurs le plaisir de découvrir ce "dîner de cons" (toutefois imprévu) où bien sûr les rôles parfois s'inversent car les invités tombent de haut!
Pierre Assouline, dont j'avais adoré l' analyse psychologique implacable de Double vie (Prix des libraires 2001) et l'extraordinaire humour mordant d' Etat limite, pond, ici encore, un petit chef d'oeuvre qui conforte sa réputation de grand écrivain aux moult récompenses (Vies de Job a obtenu le Prix français Méditerranée, Lutétia: le prix des Maisons de la presse 2005 et le Portrait: le prix de la langue française 2007).
Bravo et merci pour ce grand moment de détente (aux brillantes formules du style "Un dîner à Paris est en soi une comédie française") et cette belle leçon de vie!
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Depuis un certain jeudi soir de l'Antiquité, avant la Pâque juive, il vaut mieux éviter de se retrouver treize à table, le plus jeune a quelque malchance de mourir rapidement (mais , si l'on se réfère à l' histoire sainte , ce sont deux personnages qui disparaissent Jésus et Judas Iscariote ! ).
Malgré tous les soins apportés à la préparation de sa réception, c'est un drame que va connaître, ce soir-là, l'hôtesse « Madame du ».
Un dîner organisé dans l'appartement cossu du couple du Vivier, Sophie et Thibault, dans la rue Las Cases, dans le chic 7ème, où sont conviés un important client, George Banon, propriétaire des plus grandes imprimeries du Canada, et d'autres habitués tous, élites de la société parisienne : ambassadeur, financiers, avocat, membre de l'Académie, française, bien entendu, affairistes et arrivistes … Un petit monde aux dents acérées, à la langue fourchue, respectant les codes de ce milieu.
Premier incident, Hubert d'A. se présente, alors que Sophie ne se souvient pas l'avoir mis dans sa liste d'invités.
Très vite, et discrètement, la somptueuse table doit être réaménagée car la maîtresse de maison est rigoureuse dans l'organisation, la présentation, et le placement des convives, suivant strictement les règles protocolaires et celles exigeantes du savoir-vivre et recevoir.
Mais voilà, Hubert d'A. s'est trompé d'étage, il est invité au deuxième, il s'esquive discrètement. Nouvel ordonnancement de la table.
Il est enfin temps de passer à table, et là, malheur, Christina le Châtelard refuse de s'asseoir, les convives sont au nombre de treize !
George Banon proposera que Sonia, la domestique affectée au service de table, prenne place parmi l'assemblée, à ses côtés, au grand dam de Joséphine.
Le repas peut commencer, le grand déballage aussi.
Sonia est agressée, moquée. Avec son physique, Sonia ne peut être qu'un prénom d'emprunt ? Oui, pseudo imposé par la maîtresse des lieux, le sien révèle une prononciation compliquée et surtout une connotation maghrébine : Oumelkheir. Elle finit, aussi, par dévoiler qu'elle achève un doctorat d'histoire de l'art à la Sorbonne.
Pierre Assouline décrit avec une ironie ciselée cette gentry parisienne, confite de snobisme et de supériorité vaine, avec laquelle tout repas partagé devient indigeste. On sent le vécu !
Une satire qui pourrait livrer un scénario intéressant et amusant.

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Citations et extraits (63) Voir plus Ajouter une citation
Georges Banon comprenait. Il devait comprendre. Elle s’interrogeait sur ses origines exactes, mais comme il ne les avait pas précisées, elle n’osait le brusquer. Pourtant, elle brûlait de l’écouter poursuivre sur le sujet des « invités ». Peut-être avait-il lui aussi redouté au cours du dîner que Marie-Do lâchat la phrase qui tue, celle qui lui brûlait la bouche mais qu’elle avait certainement dû rengorger in extremis : « Il n’est de Français que chrétien. » ça se disait et ça s’entendait de plus en plus dans divers milieux, si souvent que nul ne s’en offusquait alors qu’en d’autres temps, cela aurait fait hurler. Le genre de phrase aussi stupide que : « On n’est femme que si l’on est mère. » Il n’est de Français que chrétien… Et les autres alors ?
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Certains invités voulaient en découdre. Comment avait-on pu passer ainsi de l’aiguillette de bœuf à la cuillère à la question de l’excision, il ne le saurait jamais.
- « Ce n’est pas culturel, c’est barbare, c’est tout », trancha Mari-Do, qui tenait absolument à en faire un pilier de l’islam.
- Pardonnez-moi, la reprit Sonia qui avait gagné en assurance, mais vous commettez une erreur assez commune. Ca n’a rien à voir.
- Ce n’est pas musulman ? Alors c’est quoi ?
- C’est une mutilation ou une tradition, selon les points de vue, très ancienne, propre aux populations du Nil, qui s’est répandue dans l’ensemble de l’Afrique. Mais c’est une coutume animiste d’origine pharaonique. Rien à voir avec l’islam. D’ailleurs en Egypte, les chrétiennes …
- Je demande à voir.
- Mais c’est tout vu ! s’enflamma Dandieu. Puisqu’elle vous le dit, pourquoi ne pas la croire ?
- Au fond, c’est la circoncision des filles, reprit Marie-Do. Et la circoncision, ce n’est pas musulman, ni juif non plus ?
- C’est hygiénique, international et éventuellement laïque. Très courant aux Etats-Unis chez les protestants de naissance, et en Angleterre … Tiens, vous savez à qui les Windsor font appel depuis des générations pour circoncire leurs garçons à la naissance ? A un rabbin, car les rabbins se transmettent un savoir-faire de la chose bien plus ancien que le plus habile chirurgien du royaume. Ça vous la coupe, non ?
- Dandieu !
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Son Excellence-Alexandre confia alors que de ses différents poste dans le monde arabe, […], il avait conservé une passion pour la langue […]
- « A condition qu’elle ne lance pas des appels au meurtre et qu’elle ne se livre pas à l’apologie de la terreur.
- Vous avez raison, Dandieu, mais n’est-ce pas le cas de toute langue ? Vous êtes germaniste, je crois. L’allemand tel que Goebbels le vociférait et l’allemande tel que Marlene Dietrich le murmurait, c’était bien la même langue, et pourtant, ce n’était pas la même musique. Et puis quoi, vous vous retrouvez dans le français avec des éructations de Philippe Henriot à la radio de Vichy ou dans le vocabulaire criminel de Doriot à ses meetings ? […]
- C’est vrai, reconnut Dandieu, mais nous sommes au XXIe siècle, et aujourd’hui, partout où sévit la terreur dans le monde, elle se réclame de l’islam dont l’arabe est la langue matricielle et sacrée.
- « L’islamisme ne suffira pas plus à la corrompre que le nazisme n’a réussi à polluer durablement l’allemand. »
Il se sentit pousser des ailes, soudainement enhardi par l’allant de sa propre réplique, bien que Dandieu continuât à secouer la tête en signe d’incrédulité.
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Se retrouver 13 à table dans un dîner en haute société, hors de question. Du coup, Sonia, la servante d'origine Berbère est invitée à s'asseoir à table. Une des convives, Marie-Do toujours à l'affût de la moindre occasion pour semer la discorde ou la zizanie parmi les convives, décide de s'en prendre à Sonia. La tenant pour une pauvre petite servante sans ambition ni éducation, elle va la "mitrailler" de questions notamment racistes. Sonia va faire preuve d'un à-propos et d'une répartie qui vont déconcerter Marie-Do...

Il y a bien sûr d'autres invités à ce dîner, mais c'est surtout Marie-Do qui "mène la danse".
Sonia n'est pas la seule à être déconcertante, son conjoint en cuisine se retrouve chargé de servir à table à la place de Sonia à table et doit rester zen malgré les attaques répétées de Marie-Do... Il oublie d'ailleurs de servir le dessert...

Pierre Assouline brosse un tableau caustique mais plutôt réaliste sur le monde de la bourgeoisie française et ses préjugés ancestraux.
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Le fait est que certain on si peu le goût des autres qu'ils ne leur posent jamais de questions. Ce qu'ils sont, ce qu'ils font, d'où ils viennent, rien. Le désert de la curiosité. Un au-delà de muflerie. Ces gens là n'en ont que pour eux-mêmes. Ils croient devenir sourds lorsqu'ils n'entendent plus parler d'eux. S'ils devaient un jour commettre un crime passionnel, ce serait certainement un suicide.
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