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Jacques Martinache (Traducteur)
EAN : 9782258058378
646 pages
Presses de la Cité (02/05/2002)
3.92/5   269 notes
Résumé :
Le long voyage d'Ayla et de Jondalar s'achève. Jondalar retrouve la Caverne des Zelandonii qui l'a vu naître et qui se réjouit de son retour.
L'accueil fait à l'étrangère qui l'accompagne est plus mitigé. Cette femme parle avec un accent curieux, et surtout, elle est accompagnée d'un loup et de deux chevaux sur lesquels elle exerce un pouvoir troublant.
De son côté, Ayla est prête à tous les sacrifices pour se faire accepter du peuple de l'homme qu'e... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (29) Voir plus Ajouter une critique
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5 ème tome des aventures du couple emblématique préhistorique que forment Ayla et Jondalar.
Les amoureux sont enfin parvenus au terme de leur voyage sur le territoire du peuple de Jondalar les Zelandonis.
Jondalar retrouve donc sa famille accompagné d une femme aussi belle que mystérieuse et étrange, exotique même. Ayla suscite l intérêt avec ses animaux , son accent étrange, ses talents de guérisseuse. Ayla devra se faire accepter du peuple Zelandoni pour pouvoir s unir à jondalar lors des matrimoniales.
Ce tome apporte quelques redites mais qui sont logiques. Ayla et Jondalar arrivent d un long voyage avec des animaux des outils surprenants tel que le propulseur. Je n ai pas été gênée plus que ça par les répétitions . Ayla a expliqué comment elle avait élevé ses animaux par exemple . Cela s intégrait bien dans le récit.
J ai toutefois préféré le tome où elle était chez les mamutoi.
J ai aimé ce voyage dans la préhistoire et je suis admirative du travail énorme de documentation de l auteur.
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Et voilà ! Ayla et Jondalar sont enfin arrivés au terme de leur long voyage. C'est quelque part dans ce que nous appelons maintenant le Périgord que le jeune couple a décidé de se poser définitivement.
Si Jondalar retrouve avec plaisir les siens, et est accueilli en tant que tel, Ayla, quant à elle, fait figure d'étrangère. Son parler un rien exotique, son rapport aux animaux puisqu'elle a des chevaux et un loup apprivoisé, tout démontre qu'elle est bel et bien une étrangère… Mais elle est aussi pleine de bonne volonté et a le désir de se faire accepter dans cette tribu qui est celle de Jondalar.
Ayla, est aussi une guérisseuse de talent et ses compétences ne vont pas tarder à lui attirer toute l'attention et la sympathie de la Zelandonii de la tribu.
La tribu de la neuvième caverne, avec ses différents membres et leurs interactions a été sympathique à découvrir…
J'ai retrouvé avec plaisir Ayla, Jondalar et leurs animaux dont le très sympathique Loup, ancêtre de tous nos amis canins.
Jean M. Auel nous emmène vraiment dans un voyage dans le temps. Elle sait nous rendre la préhistoire intéressante et restituer avec beaucoup de talent les us et coutumes de nos ancêtres plus que lointains.
Je reconnais avoir trouvé que ce livre avait quelques longueurs. J'ai plus d'une fois été tentée de tourner les pages plus vite que je ne les lisais… je n'irais pas jusqu'à dire que l'ennui n'était pas loin, mais….


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«Et l'ennui naquit un jour de l'uniformité»...
Si je me permets de citer Houdar de la Motte, c'est un peu pour compenser le néant intersidéral de cette oeuvre dite littéraire ! Franchement, j'ai eu l'impression de tourner en rond avec ce 5è tome, voire de faire du moonwalk (mais sans la satisfaction artistique...) ! Que le temps m'a paru long ! J'avoue que j'ai lu une bonne moitié du livre en diagonale, voire j'ai carrément et à maintes reprises sauté plusieurs pages de suite tant l'intrigue et les dialogues m'ont paru creux et sans intérêt, sans compter le recyclage de passages entiers des tomes précédents... vous comprendrez donc que ce livre constitue à mes yeux une vaste escroquerie littéraire !
A chaque fois qu'Ayla rencontre de nouvelles personnes, nous avons droit à la litanie sans fin des présentations (même avec des personnages qui ne réapparaîtront jamais par la suite), aux mêmes explications sur la manière dont elle a domestiqué ses animaux, ou inventé le propulseur ou eu l'idée des pierres à feu...
De plus, Auel radote encore en de longs monologues parfaitement assommants sur les événements survenus dans les QUATRE tomes précédents... et encore... et encore... et encore... jusqu'à l'écoeurement...
Si elle ne faisait que se répéter d'un tome à l'autre, ce ne serait peut-être pas si intenable, mais elle fait dorénavant pire : elle se répète à l'intérieur même de ce tome ! Et pas une fois, pas deux fois, pas trois fois, non, des dizaines de fois... Par exemple, je n'en pouvais plus d'entendre les Zelandonii entonner le Chant de la Mère à longueur de chapitres...
J'avais envie de hurler au Monde des Esprits : mais achevez-moi, bon sang, vous voyez bien que je souffre !!
Car j'ai souffert, mes amis, par le Grand Mog-Ur oui, j'ai bien souffert... pourtant, les 200 premières pages ne m'avaient pas semblé aussi catastrophiques que ce que je craignais, mais l'illusion s'est vite dissipée, croyez-moi !

Il n' y a aucune intrigue, aucune action, aucune tension dramatique.
Les pistes intéressantes qu'Auel aurait pu exploiter ont soit été abandonnées (par exemple, le projet de troc et de négociation avec les Têtes Plates évoqué page 64) soit eu l'effet d'un pétard mouillé (page 515, plusieurs adversaires du couple ruminent leur vengeance contre lui ! et là, on se dit, chouette, on va avoir enfin un peu d'action, un peu de suspens, un peu de cri, un peu de larmes, un peu de vie, quoi ! eh bien non... page 523, ces ennemis irréductibles tentent juste de s'opposer à l'union de la soeur de Jondalar avec un sang-mêlé rien que pour les enquiquiner... oh vi, ça les enquiquine vachement, hein !!) soit pas du tout abordées (et pourtant, il y aurait eu matière à provoquer un peu d'action, un peu de suspens, un peu de cri, un peu de larmes, un peu de vie, quoi ! si Ayla avait été traitée comme une paria par les Zelandonii en raison de son passé... si le dilemme avait été posé à Jondalar entre son amour pour Ayla et sa loyauté envers son peuple... si le statut élevé de leur couple avait été véritablement remis en question... si Auel ne s'était pas contentée de faire du remplissage... ça aurait eu quand même plus de gueule, hein !)

Et que dire des personnages...
La manie d'Auel de vouloir à tout prix souligner le caractère exceptionnel de son héroïne, la perfection de son comportement en toutes circonstances ( Ayla ne commet jamais de faux pas, elle se tire toujours de situations compliquées avec panache, elle séduit tout le monde en dépit du fait qu'elle ait vécu avec des Têtes Plates qui sont pourtant considérés comme des animaux répugnants, et comme par magie, les Zelandonii oublient les préjugés que l'auteure nous a pourtant rabâchés durant les 3 derniers tomes comme profondément ancrés dans leurs mentalités... on a envie de dire : tout ça pour ça... d'autant que l'on apprend avec stupéfaction à la page 115 que Jondalar a par le passé pris la défense de son cousin au 1/4 Tête Plate... en parfaite incohérence avec les propos qu'il tient dans les volumes précédents...). Bref, Jondalar et Ayla ne sont plus que des caricatures d'eux-mêmes...

Concernant les personnages secondaires, contrairement au 1er tome, aucun n'est développé. Ils n'entrent en scène que pour souligner la perfection de l'héroïne suivant le même schéma barbant : ses interlocuteurs remarquent son accent étrange mais finalement les femmes la trouvent gentille et les hommes irrésistible...

Bref, j'ai eu l'impression de toucher le fond avec ce 5ème tome mais je suis sûre que l'auteure a réussi à trouver une pelle pour creuser encore avec le dernier tome de la saga ! Verdict dans 2 mois...
Lien : http://parthenia01.eklablog...
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La suite des aventures d'Ayla la petite Homo sapiens sapiens devenue femme et toujours en couple avec Jondalar.

Hélas, j'ai fini par lâcher l'aventure, pourtant toujours adepte des récits préhistoriques, mais le rythme mou, l'absence d'intrigue, les redites... ont eu raison de ma patience.

Certains filons littéraires doivent être abandonnés quand ils ont trop été exploités.
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"Les refuges de pierre", tome 5/6 de la série "les enfants de la Terre", nous emmène chez le peuple de Jondalar. Ayla et ce dernier terminent leur long voyage et arrivent enfin chez les zelandoni. Je dois dire que je redoutais un peu les redites, les longueurs pendant lesquelles on représente les découvertes de nos 2 héros, les peurs des populations devant leurs animaux etc... mais finalement ce tome est bien rythmé et intéressant!
L'accueil est légèrement frileux au départ du fait des animaux qu'ils amènent avec eux mais tout change très rapidement. Les zelandoni sont une grande communauté, avec toute une organisation assez avancée pour pouvoir vivre ensemble dans de bonnes conditions. Ils utilisent par exemple la chaux pour les murs de leurs grottes mais aussi pour réduire les odeurs dans les fosses dédiées aux toilettes par exemple.
Très plaisant et instructif donc de découvrir ce peuple qui semblent être très "évolué" dans beaucoup de domaines (arts, constructions, médecine etc...).
Ce tome est aussi l'occasion de reparler des différences entre les 2 peuples qui cohabitent à cette époque (l'homo sapiens et l'homme de néendertal). le 1er découvrant que le second est un peuple humain et non des animaux.
On termine avec la naissance de la file d'Ayla et Jondalar dont on suivra les 1er pas dans le dernier tome en même temps qu'Ayla se rapprochera certainement de la carrière de zelandonii (femme qui communique avec les esprits notamment).
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
_ "Je ne sais pas quelle langue je parlais avant que le Clan me recueille. J'ai appris à communiquer à la manière du Clan, mais la première langue que j'ai appris à parler, c'est le zelandonii. Même si je ne le parle pas très bien, je le considère comme ma langue. Avant même que Jondalar et moi puissions communiquer, je désirais faire partie de son peuple pour qu'il me trouve acceptable, pour qu'il puisse envisager un jour de me prendre pour compagne. Même si c'était seulement comme deuxième ou troisième femme. Vous me demandez si je veux devenir une Zelandonii? Je le souhaite de tout mon coeur."
#Ayla#
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Nous devons toujours exprimer notre gratitude pour ce que nous prenons ; nous devons aussi honorer les Esprits des arbres, des plantes et des autres nourriture qui poussent. Nous devons traiter avec respect tous les Dons de la Mère. Si nous ne le faisons pas, Elle pourrait se fâcher et reprendre la vie qu'Elle nous a donnée. Si nous oublions un jour notre Grande Terre Mère, Elle ne pourvoir à plus à nos besoins. Si Elle décide de tourner le dos à Ses enfants, nous n'aurons plus d'endroit où vivre.
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_ Jondalar, avec une pouliche comme ça, comment vas-tu tenir les jeunes étalons éloignés? cria une voix, la première à faire ouvertement état de la beauté d'Ayla.
L'homme aux cheveux blonds sourit.
_ Il faudra que je l'emmène souvent monter à cheval pour l'occuper, répondit-il. Tu sais que j'ai appris pendant mon Voyage?
_ Jondalar, tu savais "monter" avant de partir!
Des rires fusèrent, cette fois bienveillants, remarqua Ayla.
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Bien que les falaises fussent criblées de grottes - phénomène courant pour les formations calcaires -, ces saillies plutôt rares constituaient des abris de pierre qui offraient des lieux de vie très propices et avaient été utilisés comme tels pendant des milliers d'années.
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Je crois que chacun a du bon et du mauvais en lui.Certains ont un peu plus de l'un que de l'autre.J'espère toujours que les gens auront plus de bon que de mauvais,et j'aime penser que c'est le cas pour la plupart.
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