>
Critique de persefun
J'ai découvert Orgueil et Préjugés de Jane Austen à mes 14 ans environ a travers son adaptation télévisée de la BBC. Je me suis procuré le livre et de ce jour, je ne l'ai plus lâché, le connaissant presque par coeur. Mes parents, joignant mon engouement pour ce roman a leur passion des voyages, ont organisé un périple à travers l'Angleterre pour visiter les lieux de tournage du téléfilm.
Depuis ce moment, Orgueil et Préjugés fait partie intégrante de la vie. Lorsque je n'ai pas le moral, que ma vie manque de sens, ou que j ai l'impression que tout va trop vite autour de moi, j'ouvre le livre au hasard et entame la lecture là où mes yeux se posent. Je me suis procuré les différentes traductions, et je savoure certains passages des différentes éditions au gré de mes préférences. Mais maintenant que mon niveau d'anglais me le permet, je déchiffre régulièrement le roman dans sa version originale en quête d'authenticité, ayant l'impression de me rapprocher au plus près de la pensée de Jane Austen lorsqu'elle l'a écrit.
Orgueil et Préjugés n'est donc plus un roman mais une expérience pour moi, une expérience qui m'a façonnée. Et ceci n'est malheureusement pas une critique, chers babelionautes, mais un témoignage de reconnaissance et d'amour.
Depuis ce moment, Orgueil et Préjugés fait partie intégrante de la vie. Lorsque je n'ai pas le moral, que ma vie manque de sens, ou que j ai l'impression que tout va trop vite autour de moi, j'ouvre le livre au hasard et entame la lecture là où mes yeux se posent. Je me suis procuré les différentes traductions, et je savoure certains passages des différentes éditions au gré de mes préférences. Mais maintenant que mon niveau d'anglais me le permet, je déchiffre régulièrement le roman dans sa version originale en quête d'authenticité, ayant l'impression de me rapprocher au plus près de la pensée de Jane Austen lorsqu'elle l'a écrit.
Orgueil et Préjugés n'est donc plus un roman mais une expérience pour moi, une expérience qui m'a façonnée. Et ceci n'est malheureusement pas une critique, chers babelionautes, mais un témoignage de reconnaissance et d'amour.
