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EAN : 9782371020740
147 pages
Lumen (12/05/2016)
4.11/5   184 notes
Résumé :
On me dit que ma mémoire ne sera plus jamais la même, que je vais commencer à oublier des choses. Au début juste quelques-unes, mais ensuite beaucoup plus. Alors je t’écris, cher futur moi, pour que tu te souviennes !
Sam a toujours eu un plan : sortir première du lycée et filer vivre à New York. Rien ne l’en empêchera – pas même une anomalie génétique rare qui, lentement, va commencer à lui voler ses souvenirs, puis sa santé. Désormais, ce qu’il lui faut, c’... >Voir plus
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Memory Book n'est pas un livre dont je me souviendrai longtemps !!
Et pourtant j'ai pris beaucoup de plaisir à le lire. Nous y faisons la connaissance de Sammie, jeune fille atteinte d'un maladie dégénérescente qui atteint sa mémoire.
Ce livre n'explique pas la maladie dans les détails, c'est le journal-bloc note de Sammie qui s'écrit à elle-même afin de ne pas oublier. Elle sort de l'adolescence et il s'agit ici plutôt de ses pensées face à son avenir, face à ces désirs de futurs et face à l'adaptation qu'elle doit accepter entre sa maladie et ses espoirs.
Un roman sur l'amitié et l'amour, sans atermoiements.
Beaucoup de sourire en lisant ce livre. Un joli roman.
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Une lecture vraiment poignante.

Samantha est au lycée. Brillante élève (elle doit sortir major de sa promo et faire le discours lors de la remise des prix), Sam apprend qu'elle est très malade. Elle est atteinte de NPC (Niemann Pick C). Celle ci fait perdre la mémoire, atteint l'élocution...et est incurable. Ce qui est d'autant plus cruel que la passion de Sam consiste à affronter d'autres élèves dans des concours de débat. Sam avait de plans, des projets. Obtenir son diplôme brillamment, aller à New York, entrer à la fac.
Sam n'est pas du genre à baisser les bras. A partir du moment, où elle se met à affronter sa maladie, je me suis vraiment prise d'affection pour elle. Au début, je ne la trouvais pas forcément attachante avec sa passion pour la politique, l'économie, sa volonté d'être la première. C'était très loin de l'adolescente que j'étais. Mais rapidement, ce sentiment disparaît. Sam reste une jeune fille qui voit ses rêves s'écrouler mais qui cherche par tous les moyens à les réaliser quand même. Ce livre est très émouvant car on voit la maladie progresser. Sam s'écrit à elle même pour consigner sa vie pour elle même, pour se souvenir quand sa mémoire lui fera défaut.
Le ton est très juste. Sam est plutôt drôle. Elle ne passe pas non plus son temps à pleurer sous la couette, ce que moi j'aurais certainement fait.
Un autre personnage m'a énormément plus. C'est Coop son voisin qui se révèle tout au long du roman.
Beaucoup d'émotions bien sûr. Un beau roman.
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« The Memory Book » a réussi à me toucher en plein coeur : lorsque j'ai refermé ce roman, j'avais la gorge serrée et une dizaine de jolies scènes me revenant en mémoire. C'est assez rare pour que je le souligne… C'est pourquoi cela me semblait primordial de l'annoncer en premier : vous serez ému(e). Je pense sincèrement que ce récit va faire couler des larmes, parce que ce dernier tiers est sacrément désarmant ! Je ne suis pas sur un « coup de coeur », ni sur une lecture parfaite, toutefois il est clair que je vais conseiller ce roman à plusieurs proches ou lecteurs de la médiathèque, car j'ai adoré !

C'est une très belle histoire que nous livre Lara Avery : pleine d'humanité, d'humour et de douceur. Deux de ses personnages m'ont particulièrement touchée. Coop est celui qui m'a le plus marquée : il se révèle progressivement au fil des pages et montre qu'il tient vraiment à sa jolie voisine qui perd peu à peu ses facultés… Malgré l'image de drogué et hommes à femmes qu'il a au début du roman, il va démontrer que l'on se trompe lourdement sur sa personnalité. Sam, l'héroïne, a mis un certain temps avant de me plaire, néanmoins elle a su parvenir à toucher mon coeur… Sa force de caractère a su me convaincre : elle se montrer vraiment déterminée à poursuivre sa vie malgré les problèmes de santé. C'est une belle leçon de vie ! Pourtant, la partie est loin d'être gagnée, puisqu'elle a une NPC (Niemann-Pick type C) : une dégénérescence cérébrale et toutes les complications de santé qui vont avec ! J'ai trouvé la réflexion sur la maladie très pertinente. Cela ne doit pas être facile, surtout pour une ado, de voir ses rêves disparaître (fac, concours d'élocution, club de débat, etc.). Assister à la montée en puissance de sa maladie est un véritable crève-coeur ! À chaque nouvelle perte de mémoire, je ne pouvais m'empêcher de songer à des proches qui ont été atteints d'Alzheimer… Ce qui rendait la lecture d'autant plus poignante. Et pourtant, malgré le sujet, les pages se tournent presque toutes seules…

La narration apparaît comme un journal intime où Sam s'adresse à sa « elle » du futur. Elle couche ses ressentis, ses craintes, ses joies, ses souvenirs ou ses journées sur un petit ordinateur portable qu'elle emmène partout avec elle. Un outil bien utile qui l'aidera en cas de crise… L'idée de noter sa vie m'a beaucoup plu, toutefois je reconnais avoir eu du mal au départ : je me disais que j'étais face à un énième roman ado qui note son quotidien et ne la trouvais pas crédible à cause de ses loisirs (la politique, l'argumentation, l'histoire et l'économie sont rarement les préoccupations des ados)… Mais j'avais tort. « The Memory Book » est bien plus que cela… D'ailleurs, même s'il y a des longueurs, la romance est finalement très légère par rapport au reste du récit. le premier rendez-vous avec Stuart met d'ailleurs du temps à venir (p170) ! On n'est donc pas dans un livre pour ados cul-cul où l'héroïne fantasme pendant des pages et des pages sur un bellâtre ! Et ça, j'avoue que j'ai apprécié.

Par contre, je dois reconnaître que j'ai fait une erreur en lisant ce livre après avoir terminé « Dis-moi si tu souris » il y a moins d'une semaine. Les deux scénarios se ressemblent assez puisqu'il est question de romance et de problème de santé (vue/mémoire) qui rendent l'adolescente assez agressive et déterminée. Je pense que cette force de caractère est volontaire, afin de ne pas rentrer dans le pathos. Les histoires d'amour sont presque les mêmes, cependant elles n'en demeurent pas moins bouleversantes et attendrissantes. Ainsi, je vous déconseille de lire ces deux romans dans la même période… Ceci dit, « The Memory Book » est un très bon roman à mettre aussi bien entre les mains des adolescents que des adultes !

Lien : https://lespagesquitournent...
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Une lecture émotions.
Une lecture où l'on sourit, on rit et on pleure.
Une lecture qui, même après l'avoir fini, est toujours ancrée dans mon esprit alors que les jours ont passé.
Une lecture qui m'a marqué, qui m'a pris aux tripes.
Une lecture que je n'oublierai pas tout simplement...

Ce one-shot de Lara Avery se lit avec une facilité déconcertante. On suit Samantha, Sam ou Sammie pour les intimes, 18 ans, jeune fille pleine d'ambition et de motivation, intelligente, sûrement très jolie mais ne le sait pas, passionnée de tout ce qui se rapproche de près ou de loin loin à la société (politique, histoire, économie etc) et de littérature. Atteinte d'une maladie incurable qui s'est déclenchée soudainement, nous allons suivre son parcours. Sa vie tout simplement.

Composé à 80% de ses notes pour se souvenir de qui elle est (car elle va perdre la mémoire) on entre très rapidement dans l'histoire et dans la peau de Sam. (petite anecdote je viens d'écrire "dans la peur de Sam" au lieu de "dans la peau de Sam" comme quoi ce livre est encore bien présent dans mon subconscient...!).
Ce n'est pas un journal intime que l'on lit, même si cela s'en rapproche, c'est ce qu'elle vit, sa vie.
J'ai pris un réel plaisir à la suivre dans ses péripéties quotidiennes. L'auteure a écrit avec beaucoup de crédibilité et de proximité. Tellement que j'ai du mal à dire "l'auteure" j'aurai plutôt tendance à dire "Sam". Ce sont vraiment les dire d'une (grande) ado que l'on lit. On se projette très facilement. C'est écrit très simplement, tel qu'une ado écrirait, mais ça fonctionne très bien et c'est ce qui rend ce récit crédible justement.

Je me suis beaucoup attachée à Sam, en refermant ce livre j'ai eu l'impression de quitter une amie, c'est très étrange.
J'ai adoré Coop dès sa première apparition, et je l'ai adoré jusqu'à la dernière.
C'est un récit touchant au possible, où j'ai sourit et rit de nombreuses fois malgré le drame qui accompagne cette histoire. 443 pages que je n'ai pas vu passé. Pas de longueurs, pas d'éternelles plaintes, pas de mélodramatique. Un récit de vie. La vie de Sam. Un récit drôle et émouvant. Mais aussi un récit qui fait couler la pluie sur votre visage.

Si j'ai aimé?
Oh que oui!
Ce livre m'a procuré vraiment beaucoup d'émotions en tout genre. Tellement que j'ai du mal à exprimer mon ressenti et à développer davantage.
C'est frais, c'est jeune, c'est pimpant, mais c'est aussi très triste.
Une très belle découverte
Une très belle histoire
Une très belle lecture.
Et donc, un joli coup de coeur.
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Immense merci à Emily et aux éditions Lumen pour cet envoi. Pour la petite anecdote, je m'inquiétais de ne pas le recevoir. Je soupçonne un de mes voisins d'avoir des tendances cleptomanes, car certains de mes colis ne sont jamais arrivés à destination (oui, chez moi, il suffit de glisser les doigts dans la fente de la boite aux lettres pour attraper les paquets…). du coup, je guettais, je guettais, car The Memory Book me faisait vraiment très envie ! Je m'attendais à du bon, du très bon même. Mais de là à parler de coup de coeur… Ce livre est fabuleux et il tient une place d'honneur dans ma bibliothèque, désormais !

C'est l'histoire de Sam, 18 ans, lycéenne en passe d'obtenir son diplôme de fin d'études. Sam n'est pas le cliché de la fille branchée et populaire. Aux yeux de beaucoup, elle est même assez insignifiante. Mais qu'importe, sa vie est déjà toute tracée, car elle voit plus loin que les murs de son lycée, beaucoup plus loin. Une fois diplômée, direction une université prestigieuse de New York pour étudier le droit. Sam le sent, elle est faite pour mener une carrière brillante ! Ça, c'était avant qu'on lui diagnostique la maladie de Niemann-Pick de type C, une pathologie dégénérative qui altère la mémoire et attaque les organes vitaux. La plupart des sujets malades décèdent avant d'avoir atteint les 20 ans. Mais Sam est intimement persuadée que son ambition est plus forte que la maladie. C'est au travers d'un journal intime qu'elle s'exprime, soucieuse de coucher sur ordinateur le moindre de ses souvenirs pour que jamais la future Sam n'oublie qui elle a été.

J'ai lu des comparaisons avec Nos étoiles contraires sur certains blogs. du coup, j'appréhendais quelque peu. Il faut dire que j'ai apprécié le roman de John Green, même si ça n'a pas été le déferlement d'enthousiasme en ce qui me concerne. À mon sens, The Memory Book est d'une autre trempe.

Allez savoir pourquoi, j'ai adoré dès les premières pages. J'avais l'impression d'entrer dans un écrin tout chaud et intime. Sam se parle à elle même au travers de ce journal électronique, elle se dévoile sans détour. Elle nous décrit son quotidien et les gens qui le peuplent avec beaucoup de simplicité, sans oublier la touche d'humour qui prête à sourire. Elle a une manière de voir le monde qui n'appartient qu'à elle, et chaque chapitre est différent des précédents, car elle écrit comme ça lui vient, sans fioriture ni mélodrame inutile. Je n'ai pas tardé à me sentir en phase avec ce personnage.

C'est une héroïne fascinante, et là, préparez-vous à la tartine, parce que j'ai énormément de choses à dire, la concernant. Déjà, elle vit sa maladie de façon assez inhabituelle. Au lieu de se morfondre ou de maudire sa vie, Sam se lance à corps perdu dans les études et les projets universitaires. Elle cherche une échappatoire dans le savoir et l'excellence. Lorsqu'elle sent que la situation lui échappe, qu'elle se retrouve directement confrontée à la maladie – ce qu'elle repousse, et qu'elle nie presque –, ça devient compliqué. En fait, ses mécanismes de défense sont captivants. ELLE EST captivante.

Sans parler de sa combativité, sa détermination et de sa sensibilité. Sam a un coeur immense. Au lieu de se refermer comme une huître et se rouler en boule en attendant que son corps la trahisse, elle se lance dans des projets, consciencieuse qu'elle est, repousse toujours plus loin ses limites et exploite ses capacités cognitives jusqu'à la corde. Comme elle le dit si bien, elle a envie d'être extraordinaire ! Et c'est une affamée de la vie. Ouais, rien que ça ! Puis n'oublions pas qu'elle n'a que 18 ans, elle sort tout juste de l'enfance. Elle a ses fragilités et se révèle pétrie d'incertitudes. Elle n'est pas toujours à l'aise avec les codes sociaux, mais elle reste très attachante avec son côté cru, franc, et terre à terre. Pour couronner le tout, elle est fan du Seigneur des Anneaux et le roman est truffé de références. Ça, c'est la cerise sur le gâteau ! Je vous le dis sans détour : je suis complètement tombée sous son charme.

On s'émeut pour elle, on s'inquiète et on se réjouit, mais il reste ce temps qui file entre les doigts, cette échéance qui nous susurre que les jours, semaines et années sont comptés !

Si j'ai lu ce roman en même pas 24h, c'est certes parce qu'il est addictif, mais la construction de l'histoire y est pour beaucoup. Les chapitres sont parfois très courts, si bien qu'on dévore les pages sans même en avoir conscience. Ces coupures dans le récit, personnellement je les ai bien aimées. Il est modelé de manière à attirer notre attention aux moyens de titres de chapitres frais et éloquents.

Les pages défilent et c'est la maladie de Sam qui progresse. À peine entrevoit-on une éclaircie que la pathologie se rappelle à notre bon souvenir. Pourtant, il y a un vrai lâcher-prise, la Sammie qui cherche à tout contrôler se transforme peu à peu. On assiste à cette évolution avec attendrissement, malgré ce qui se profile au bout du chemin.

À chaque instant, je craignais l'issue de cette histoire. Je me suis attachée à Sam plus que je ne l'aurais cru, j'ai admiré sa combativité, sa soif de vivre, alors imaginer la perdre, c'était presque comme de perdre un ami que l'on connaîtrait par coeur. Je refusais d'envisager cette possibilité. Mais cette fin était parfaite. Parfaite dans sa simplicité, parfaite dans sa poésie. Il y avait juste ce qu'il fallait pour que je me mette à pleurer comme une Madeleine. Et j'ai pleuré. Oooooh oui, j'ai pleuré !

En résumé, The Memory Book est un des meilleurs Lumen que j'aie lus jusqu'à maintenant. Il m'a happée pour ne plus me lâcher ! Sam est le genre d'héroïne inoubliable qui chamboule nos plus inébranlables certitudes. Ce roman, croyez-moi, il ne faut pas passer à côté. D'une manière ou d'une autre, il fera vibrer la corde sensible en vous.

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Citations et extraits (45) Voir plus Ajouter une citation
Selon moi, les obstacles qui gênent notre avancée dans la vie - argent, race, sexualité, relations, santé, temps - peuvent vite constituer un mur infranchissable. Il existe des contraintes contre lesquelles nous ne pouvons rien, et qui conspirent sans arrêt contre nous. Mais nous ne parviendrons jamais à les dépasser si nous les considérons comme telles. Avec l'âge viendra l'opportunité de comprendre leur origine.
Si nous nous employons à identifier l'origine de ces obstacles, nous réussirons à débarrasser le monde de ce poison. Nous aurons des objectifs. Que ces entraves soient spécifiques, comme une maladie, ou plus générale, comme l'injustice sociale, une fois que nous les aurons dépassées, tous les espoirs seront permis.
L'optimisme n'est pas forcément aveugle.
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- Peut-être qu'on s'appuie trop sur l'opinion des autres pour mesurer notre succès, a suggéré Stuart. Peut-être que c'est parce qu'on leur donne trop d'importance que les bonnes choses perdent leur saveur.
- Le succès, ce n'est pas que quand les autres te remarquent. C'est ça que tu veux dire ?
- Oui, c'est ça. Il faut se mettre dans la tête que les autres s'en fichent. Quelle que soit l'issue, échec ou réussite, personne ne va te donner une tape dans le dos pour te féliciter d'avoir passé la journée à étudier, à faire des recherches ou à écrire. C'est pour toi et toi seul que tu le fais.
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A une autre époque, future Sam, tu avais quatorze ans et tu étais immensément impopulaire (ce qui est toujours vrai). Tu ne te sentais pas à ta place à l'école. Tes parents refusaient de t'acheter des fringues cool, tu te faisais toujours sortir la première à la balle au prisonnier, tu ne savais pas qu'il fallait dire pardon après avoir roté, et tu passais pour une véritable encyclopédie humaine en matière de bestiaire mythologique et de machines spatiales scientifiquement improbables. Pour dire les choses simplement : tu t'intéressais davantage au destin de la Terre du Milieu qu'à celui de ta planète.
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Maman (nom féminin, quarante-deux ans): petite personne brune qui t'a donné la vie. On dirait un elfe de Tolkien avec des rides d'expression. Quand elle ne travaille pas, on la trouve au jardin, en bottes boueuses, en train de désherber son potager ou de maudire les lapins qui l'envahissent. À moins qu'elle ne soit en train de calfeutrer les fissures de l'abri de jardin ou de jeter un bâton à Puppy. En hiver, elle prend ses quartiers sur le canapé en cuir, emmitouflée dans une couverture.
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Je ne veux pas être de ces gens qu’on peut définir à l’aide d’une légende plaquée au bas de leur portrait. Je crois que la plupart du temps les gens font semblant de s’amuser sur les photos juste pour convaincre les autres qu’ils s’éclatent. Mais ça, ce n’est pas la vie, pas vrai ?
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