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EAN : 9782746735620
424 pages
Autrement (08/01/2014)
4.11/5   18 notes
Résumé :
Au beau milieu de la grande cuisine familiale de la fazenda, Antonio attend l'arrivée de son arrière-petit-fils. Son esprit s'envole, les souvenirs l'assaillent. Tante Palma surgit. Jeune, audacieuse, indépendante, elle captive ses neveux et nièces. Un véritable théâtre à elle seule, créant chaque jour la surprise. A commencer par cet étrange cadeau de mariage qui rythmera les joies et désespoirs de toute la famille sur quatre générations : le riz ramassé sur le par... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Tout d'abord, je tiens a remercier chaleureusement Babelio pour son opération masse critique ainsi que les éditions Autrement pour l'envoi de ce livre. D'habitude pour cette opération, je choisi toujours des livres d'auteurs que je connais et évite souvent de prendre des risques de peur d'être déçue et de devoir écrire la critique méchante ou je dis que je n'ai pas aimé le livre.... Mais ce livre m'a tapé dans l'oeil du début, j'ai eu comme un coup de foudre et c'était justifié car c'est un vrai coup de coeur.
A la réception, je me suis plongée dans la quatrième de couverture qui nous indique que ce roman est un bestseller dans son pays d'origine : le Brésil. Ça tombe bien j'adore découvrir des littératures étrangères.

J'ai donc pris la route de l'Amérique du sud, au coté d'Antonio, le narrateur, et de toute sa famille. Antonio est un vieil homme, qui a eu une vie bien remplie. Il lui reste aujourd'hui tous ses souvenirs qu'il compte bien nous livrer. C'est alors un grand retour en arrière qui arrive, puisque nous assistons a la rencontre des ses parents encore enfant, puis a leur mariage et leur départ du Portugal vers le Brésil. Ses parents toujours accompagnés de la Tante Palma, soeur aînée du père d'Antonio, qui est une femme extraordinaire et je dirai quelque peu magicienne.... En effet, lors de la cérémonie du mariage, traditionnellement, vous le savez tous on lance du riz aux mariés. Ce jour la Tante Palma va ramasser tout ce riz (12 kilos rien que ça) et l'offrir au couple car il est soit disant béni et leur apportera bonheur et fertilité. Bon je sais, ça peut être difficile a croire mais c'est en réalité le cas car quelques années plus tard, le couple met au monde Antonio puis deux autres garçons et enfin une fille.
Antonio au fil des pages, va grandir, se sentir différent de ses frères et soeurs, préférant lire dans son coin et puis surtout écouter les histoires que Tante Palma lui raconte. Ensuite il rencontre sa femme, Isabel et reçoit a son tour le riz de Tante Palma. Et a son tour le riz va lui apporter du bonheur.

C'est donc une belle saga familiale qui s'offre a nous, beaucoup de thème sont abordés : l'ambition, la jalousie, la vie, la mort, l'amour, les enfants, l'adultère, l'éloignement, l'homosexualité.... Les chapitres sont courts, se succèdent très vite et donc les quatre cents pages de ce roman se dévorent. On pourrait craindre que ce roman tombe dans la nostalgie et pourtant il n'en est rien on reste toujours sur un pointe gai. Antonio est maintenant grand père et découvre au coté de son petit fils, comment utiliser un ordinateur ou parler avec msn/skype. Et on se rend compte tout le parcours de cette famille tellement attachante.

L'auteur Francisco Azevedo signe ici son premier roman mais il semble être connu dans son pays pour avoir écrit pour la télévision et aussi pour le théâtre (c'est ce que nous livre la quatrième de couverture). Pour moi en tout cas, c'est un illustre inconnu mais il se révèle sous les traits de son narrateur être un excellent conteur. Il a une plume magnifique. La traduction est tout aussi bonne et complété par des petits notes pour nous expliquer un détail historique ou un détail sur le Brésil que l'on risquerait de ne pas connaître.

Ce roman est donc un gros coup de coeur que je referme avec un petit pincement au coeur. Il est dur de quitter des personnages que l'on a aimé, apprécié et avec qui ont a partagé un petit moment de vie. Je vous recommande en tout cas cette lecture qui vaut vraiment le détour.

Et enfin pour finir cette critique, je vous ajoute une citation que j'ai beaucoup aimé :
"J'ai compris très tôt que pouvoir était ce que je désirais le plus dans la vie. Pouvoir être toujours avec les personnes que j'aime, pouvoir marcher insouciant dans la rue, apprécier les scènes, les paysages, les animaux, les gens qui passent. Pouvoir emprunter un autre chemin uniquement parce que, dans cette direction, la nature a éveillé ma curiosité. Pouvoir travailler dans ce domaine qui me rend heureux. Pouvoir être maître de mon temps et faire ce dont j'ai envie sans avoir a prendre ma retraite. Pouvoir être toujours a la disposition de quelqu'un de proche qui a besoin de moi. Pouvoir être certain que l'étreinte que l'on reçoit est sincère et non intéressée. Pouvoir être moi-même et vieillir en bonne santé. Ciel, quelle ambition !"
Lien : http://missmolko1.blogspot.i..
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Le roman de F. Azevedo est une saga familiale racontée par un des membres de la famille, Antonio, fils aîné de José Custódio et Maria Romana. Au début du XXe siècle, ce jeune couple de Portugais décident d'émigrer au Brésil en compagnie de Palma, la soeur de José. le lecteur accompagne le destin des membres de cette famille sur quatre générations, entre 1908 et 2008. Aucun fait extraordinaire ne caractérise ces vies normales aux prises aux problèmes habituels de toute famille. Il est en effet question des relations familiales complexes - entre parents et enfants et surtout, entre frères et soeurs -, de rencontres et de séparations, de rancoeurs, de jalousies et de non-dits, de réconciliations, de choix de vie, etc. Les existences des personnages de la recette magique de tante Palma sont tour à tour marquées par des moments d'allégresse et de tristesse (deuils, absence d'êtres chers, saudade). Certains thèmes tels que la mort accidentelle, la vieillesse, la mémoire, l'adoption, la stérilité, l'homosexualité, le divorce, l'adultère, les retrouvailles, etc. reviennent à plusieurs reprises. Mais c'est l'amour, sous toutes ses formes, qui apparaît en filigrane tout au long du récit.
De la famine dont souffre le Portugal au début du XXe siècle aux innovations technologiques de notre temps (téléphones portables, skype, écographies…), le roman traverse tout un siècle et évoque les changements liés aux comportements humains, à la liberté individuelle, aux relations, à la communication, etc.
Le fil conducteur de la saga est le riz que la tante Palma est allée ramasser sur le parvis de l'église de Via-na de Castelo où son frère et sa belle-soeur se sont mariés et qu'elle a ensuite offert au jeune couple. Symbole de fertilité et d'amour, ces douze kilos de riz ont la vertu magique de ne pas s'abimer. Il accompagnera donc la famille pendant cent ans ; source de miracles, il est aussi l'objet de convoitise, de jalousie, de discorde - il est également la cause d'un accident domestique qui a conduit les deux enfants d'Antonio à l'hôpital. Il semblerait que tous les conflits, les drames et les joies de la famille tournent autour de cet étrange et énigmatique cadeau de mariage.
Tout en préparant le repas de la fête de famille célébrant les cent ans du mariage de ses parents et du « riz de Palma » - le lecteur obtient ces informations au fur et à mesure - Antonio, le narrateur alors âgé de 88 ans, se remémore certaines scènes, dialogues et autres moments importants de sa vie, en remontant jusqu'au mariage de ses parents et terminant par la naissance imminente de son arrière-petite-fille.

Le roman est composé de cinquante-huit parties de longueur inégale (entre deux et quatorze pages) et dont le titre, une expression ou un simple mot, se trouve dans le chapitre correspondant.
Les cent ans d'histoire familiale sont racontés au présent et de manière linéaire et fragmentée, rappelant la narration cinématographique. Les dialogues que le narrateur imagine (par exemple, entre ses parents avant sa naissance) et ceux qu'il se remémore sont très vivants. Les différents parlers des personnages - le portugais du Portugal, le brésilien et ses variantes rurales – sont retranscrits. L'auteur recourt par ailleurs très souvent aux suffixes diminutifs, très usités au Brésil.
La prose de F. Azevedo est à la fois dynamique et poétique ; les nombreuses ellipses, les phrases courtes, très souvent nominales, les points d'interrogation et d'exclamation, donnent au récit rythme et intensité. Certaines phrases ou mots résonnent, en ricochet, tout au long du livre, comme par exemple : « La famille est un plat difficile à préparer » ou encore « éléphant et mante religieuse ».
Le chapitre où il est question du départ tour à tour d'Antonio et de ses frères à Rio de Janeiro est relaté à la manière d'un conte. On trouve aussi une recette de cuisine écrite de façon très originale par tante Pal-ma, des lettres, les paroles d'un fado ainsi que des SMS.

De par son propos et son style, La recette magique de Palma, est un roman intense et captivant. le lecteur est happé par le récit dénué de personnages ou de faits extraordinaires mais centré sur la quête de la justesse des sentiments et des émotions dans le contexte familial. Alors qu'il se trouve dans sa cuisine à réfléchir et à analyser les souvenirs qu'il évoque, le narrateur octogénaire s'adresse de temps à autre au lecteur.
Les contours et les caractères de tous les personnages sont dessinés avec beaucoup de précision et de justesse, le plus romanesque étant sans doute celui de la tante Palma.
Lyrique et extrêmement délicat, le roman n'est pas dénué d'humour ; plusieurs anecdotes, les traits de caractère de certains personnages ou encore quelques situations sont tout à fait drôles.
Certains épisodes (disputes, retrouvailles, scènes érotique) sont suggérés, créant ainsi un effet intéressant.

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Antonio, le narrateur âgé de 88 ans nous livre ses souvenirs de famille. Une famille comme beaucoup d'autres avec ses peines, ses joies, ses jalousies, ses ponts coupés et reconstruits, ses problèmes, ses mariages et tout ce que chacun peut transmettre aux autres et notamment aux plus jeunes. Mais ce qui en fait l'originalité de cette famille est le riz béni qui a été offert en cadeau de mariage au parent d'Antonio par la tante Palma, omniprésente dans la famille. Un riz qui a le don d'apporter le bonheur et la fertilité.

Pour Antonio, la famille est un plat difficile à préparer, un plat qui émeut, qui doit être servi toujours chaud, qui s'invente, ne se répète plus jamais. Une entrée en matière qui m'a plutôt bluffée tant les similitudes avec une vrai recette de cuisine sont aussi justes.

"La famille est un plat difficile à préparer. Il y a beaucoup d'ingrédients. Les réunir tous est un problème - surtout à Noël et au nouvel an. Peu importe la marmite, concocter une famille exige courage, dévotion et patience."

"Très vite, vous aussi vous sentirez bon l'ail et l'oignon. N'ayez pas honte si vous pleurez. La famille est un plat qui émeut. de joie, de rage ou de tristesse."

"Attention également aux dosages. Une pincée de trop de ceci ou de cela et ça y est, c'est le désastre. La famille est un plat extrêmement sensible. Tout doit être extrèmement bien pesé, bien mesuré. Autre chose : il faut avoir la main heureuse, se montrer expert. Surtout au moment où l'on décide de mettre son grain de sel. Savoir mettre son grain de sel est tout un art. Une de mes grandes amies a raté la recette familiale uniquement parce qu'elle a mis son grain de sel au mauvais moment".

Antonio est d'origine portugaise mais ses parents se sont exilés au Brésil au tout début du XXe siècle juste après leur mariage dans l'espoir d'une vie meilleure. La tante Palma est du voyage et sera la tante qui sert de liant dans la famille, un personnage souvent principal. Elle saura aussi proposer le riz à certains moments importants afin que la famille obtienne le bonheur et la fertilité qu'il est censer apporter. Antonio sera l'héritier de ce riz dont tante Palma lui assure qu'il saura l'utiliser comme il se doit au bon moment.

L'histoire qui se déroule sur une centaine d'années livre beaucoup d'anectodes avec des personnages très attachants. Sans rentrer dans les détails tout ce qu'une famille est susceptible de vivre s'y trouve. Antonio semble avoir su utiliser de bons ingrédients et le bon dosage.

Un vrai régal de lecture qui laisse un grand vide une fois finie.

Je la recommande vivement.
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C'est un véritable conte que cette histoire, un conte à travers le Portugal d'une part, le Brésil ensuite, un conte raconté au fil d'une recette savoureuse. Celle de la famille, des liens que l'on tisse, qui se serrent et se desserrent au fil du temps, mais qui sont bien réels, qu'on le veuille ou non.
C'est un conte ou plutôt une recette à base de riz, un riz lancé le jour d'un mariage, comme le veut la tradition, sans trop savoir pourquoi finalement. Et Tante Palma débarque avec ses idéaux, sa conception de la vie, de la liberté, de l'amour aussi. Ces 12 kilos de riz, récoltés sur la parvis de l'église au début du XXème siècle va traverser l'histoire, mais « ne t'inquiète pas. J'aime le riz. Peu importe la façon dont il est préparé, collant ou détaché. […] Même pur, sans haricot, j'aime le riz ». Ce riz, « symbole de fertilité et d'amour éternel » va donc traverser l'histoire de cette famille portugaise qui va émigrer au Brésil pour y construire une vie, enfin plusieurs vies.
Ce livre est savoureux comme un « arroz de bacalhau », ce plat traditionnel de riz à la morue de la région de Minho dans le Nord du Portugal. Il nous parle de nous, de la famille, de la séparation, des retrouvailles, de la « saudade » - cette nostalgie toute portugaise - , du mal du pays, de l'exil et de l'intégration, la filiation et aussi de cuisine et de recettes maison.
« la famille est vraiment un plat très délicat, difficile à préparer. […] Ensuite, il n'y a que des histoires, quelques portraits et des recettes maison. La famille est un plat qui , quand il se termine, ne se répète plus jamais », ce sont les mots de conclusion de cette recette magique.
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Pour faire une famille, il faut savoir être un cuisinier hors pair tant l'alliance des ingrédients est délicate. Antonio l'a bien compris, lui qui a été attentif toute sa vie à sa famille et à son union ou désunion. A quatre vingt huit ans, il se souvient de ses efforts, et évoque avec tendresse et bienveillance sa tante Palma, pilier de la famille, philosophe et magicienne à ses heures.

« Ce que je peux dire, moi, cuisinier vétéran, c'est que, même si cela manque d'inspiration, même si cela est insipide, la famille est un plat que vous devez tenter de faire et de goûter. Si vous pouvez le savourer, savourez-le. »

« Créateurs de nous-mêmes, nous nous inventons et réinventons sans trêve, au quotidien. A chaque expérience, bonne ou mauvaise, naît un autre moi dont nous sommes l'auteur. le talent est donné à tous, sans exception. Par instinct et par vocation, nous tous nous concevons, nous esquissons, nous mettons au propre et nous présentons au public dans la version que nous jugeons la moins mauvaise la plus convaincante. »

Antonio nous donne une magnifique leçon de vie et d'amour, sans pour autant occulter ses propres errements et erreurs.

Pour une fois un roman sans catastrophes, sans pathos excessif, juste la vie, comme elle va, de la vie à la mort, avec ses naissances, ses mariages, ses disputes, ses mésententes, ses réconciliations, ses apprentissages au fil des années.

Un doux récit nostalgique agréable.
Lien : http://www.lecturissime.com/..
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Citations et extraits (11) Voir plus Ajouter une citation
J'ai compris très tôt que pouvoir était ce que je désirais le plus dans la vie. Pouvoir être toujours avec les personnes que j'aime, pouvoir marcher insouciant dans la rue, apprécier les scènes, les paysages, les animaux, les gens qui passent. Pouvoir emprunter un autre chemin uniquement parce que, dans cette direction, la nature a éveillé ma curiosité. Pouvoir travailler dans ce domaine qui me rend heureux. Pouvoir être maître de mon temps et faire ce dont j'ai envie sans avoir a prendre ma retraite. Pouvoir être toujours a la disposition de quelqu'un de proche qui a besoin de moi. Pouvoir être certain que l'étreinte que l'on reçoit est sincère et non intéressée. Pouvoir être moi-même et vieillir en bonne santé. Ciel, quelle ambition !
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Tante Palma était une sorte de mère. D’après ce que je sais, elle a eu plusieurs prétendants et quelques amours exaltées mais, par conviction idéologique, elle n'a jamais voulu se marier. C'est la première féministe que j'ai connu. Elle disait que "célibataire" n'était pas un état civil mais un état de grâce.
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C'est un véritable conte que cette histoire Tante Palma, un conte à travers le Portugal d'une part, le Brésil ensuite, un conte raconté au fil d'une recette savoureuse. Celle de la famille, des liens que l'on tisse, qui se serrent et se desserrent au fil du temps, mais qui sont bien réels, qu'on le veuille ou non.
C'est un conte ou plutôt une recette à base de riz, un riz lancé le jour d'un mariage, comme le veut la tradition, sans trop savoir pourquoi finalement. Et Tante Palma débarque avec ses idéaux, sa conception de la vie, de la liberté, de l'amour aussi. Ces 12 kilos de riz, récoltés sur la parvis de l'église au début du Xxème siècle va traverser l'histoire, mais « ne t'inquiète pas. J'aime le riz. Peu importe la façon dont il est préparé, collant ou détaché. […] Même pur, sans haricot, j'aime le riz ». Ce riz, « symbole de fertilité et d'amour éternel » va donc traverser l'histoire de cette famille portugaise qui va émigrer au Brésil pour y construire une vie, enfin plusieurs vies.
Ce livre est savoureux comme un « arroz de bacalhau », ce plat traditionnel de riz à la morue de la région de Minho dans le Nord du Portugal. Il nous parle de nous, de la famille, de la séparation, des retrouvailles, de la « saudade », cette nostalgie toute portugaise, du mal du pays, de l'exil et de l'intégration, la filiation et aussi de cuisine et de recettes maison.
« la famille est vraiment un plat très délicat, difficile à préparer. […] Ensuite, il n'y a que des histoires, quelques portraits et des recettes maison. La famille est un plat qui , quand il se termine, ne se répète plus jamais », ce sont les mots de conclusion de cette recette magique.
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Livre livre, quel livre!!!
J'étais dans une vraie symbiose avec ce livre.
Quelle plume!!
Du début à la fin, l'auteur arrive à nous envoûter dans un livre plein de poésie, d'ode à l'amour, de petites histoires, des contrariétés, enfin, un livre que l'on mange comme un bon repas de fête de mariage.
Je l'ai lu avec gourmandise.
Sa façon d'écrire, très contemporaine nous amène à un univers plein de saveurs d'une famille comme toutes les familles ou il y a de bonheur, de malheur, des intrigues, de trahisons, de complicité. Un pot de surprises.
Cela nous fait penser l'importance d'avoir une famille, n'importe laquelle, mais d'être inséré dans un vrai clan et faire ce qu'il faut pour rendre heureuse une famille.
Un beau conte, une belle histoire, un vrai grand roman.
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"La famille est un plat difficile à préparer. Il y a beaucoup d'ingrédients. Les réunir tous est un problème - surtout à Noël et au nouvel an. Peu importe la marmite, concocter une famille exige courage, dévotion et patience."

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