De l'autre côté du temps

Une histoire de réalités parallèles, c'est plutôt courant.
Ce qui l'est moins, c'est l'atmosphère spécifique à chaque récit.
Ici, de l'autre côté du temps, c'est un cadre suranné où s'affairent les employés d'une fabrique d'avions, mais bien plus encore de services non pondérables.
Les avions, c'est le dada de Richard Bach (qui garde son nom dans cette histoire). Et nous le suivons au fil de son langage spécialisé dans l'atmosphère de ce monde comme poudrée d'or, et qui possède le charme de la campagne anglaise tout en ignorant les guerres.
Je n'en dis pas plus ; un livre plaisant au charme onirique qui m'a conquis jeune.

De l'autre côté du temps /Richard Bach
Dans le sillage d' Antoine de Saint-Exupéry, Richard Bach, né en 1936 aux Etats-Unis, est un écrivain aviateur.
Descendant de Jean Sébastien Bach, ( ?), pilote chevronné et passionné, ancien de l'US Air Force, il nous présente aujourd'hui une sorte de conte philosophique.
C'est un véritable voyage initiatique aux accents fantastiques, une sorte de vol métaphorique auquel il nous convie dans de récit un peu dans la lignée du « Petit Prince » et de « Jonathan Livingston le Goéland ».
Cette fuite dans l'imaginaire et le rêve est évoquée dans un style simple et imagé :il s'agit de fuir notre monde en folie .
L'auteur, dans cet hymne à l'onirisme, se présente un peu comme un grand enfant. La force de l'imagination, pour Bach, et celle de la volonté sont les seules qui nous permettent de voyager à notre guise. Dans le voyage réside le plaisir : c'est l'évasion et le bonheur d'un monde parallèle riche d'une liberté sans borne.
« de l'altitude vient la perspective. » C'était déjà le leitmotiv dans « Jonathan Livingston ».
Passionné d'aviation en particulier, vous trouverez dans ces 100 pages votre bonheur.

Dans la même cuvée d' Antoine de Saint-Exupéry, Richard Bach est un écrivain aviateur. Il nous présente un véritable voyage initiatique aux accents fantastiques, une sorte de vol métaphorique auquel il nous convie dans de récit un peu dans la lignée du « Petit Prince » et de « Jonathan Livingston le Goéland ». Cette fuite dans l'imaginaire et le rêve est évoquée dans un style simple et imagé :il s'agit de fuir notre monde en folie. Passionné de haut vol vous trouverez dans ces 100 pages votre bonheur.