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Gobseck est encore l'un de ces magnifiques romans-portraits auxquels Honoré de Balzac nous a habitué.
Ici, il s'agit d'un vieillard et, si vous me permettez le calembour douteux, on peut dire que celui-ci, il gobe sec.
Peu importe et ce n'est pas pour nous déplaire car le tableau est particulièrement réussi et haut en couleur (ou plus exactement, bas en couleur pour être plus conforme au personnage).
L'auteur fait reprendre du service à l'avoué Derville (voir le Colonel Chabert) pour nous narrer le caractère, plus que l'histoire, de l'étrange Gobseck.
Celui-ci, hollandais de naissance usurier d'adoption, ne reconnais en effet que le pouvoir et les sortilèges de l'or. C'est le prêteur sur gage le plus rapace et le plus efficace de Paris.
L'on ne sait qu'une chose en entrant chez lui : on ressortira probablement avec de l'argent mais il va nous coûter cher !
Balzac le dépeint comme un cynique de la dernière espèce, tellement au fait des usages et des déviances des hommes qu'il en possède presque un don de divination.
Pourtant, et c'est là tout le génie de l'auteur, il arrive à faire poindre des nuances de hautes valeurs morales derrière cette façade inaltérable et impitoyable.
Le roman est court mais absolument truffé de phrases dignes de figurer dans nos pages roses de proverbes tellement elles semblent recéler une vérité générale.
Bref, un vrai petit chef-d'oeuvre très largement sous estimé et sous connu De Balzac, mais ceci, bien sûr n'est que mon avis, qu'on ne peut guère laisser en gage et qui donc, ne vaut pas grand chose.
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Impossible à mettre dans une case, Gobseck, je serais bien incapable de vous dire ce que j'en pense, de ce vieil usurier «avare et philosophe, petit et grand», selon le narrateur de ce court roman, M. Derville. Il m'échappe, me laisse perplexe.
C'est un affreux bien sûr, cet «homme-billet» au teint blafard, impitoyable avec ceux qui sont contraints de recourir à lui:
«Quelquefois ses victimes criaient beaucoup, s'emportaient; puis après il se faisait un grand silence, comme dans une cuisine où l'on égorge un canard.»
Mais sa profonde connaissance du monde en impose, le rapproche du romancier: avec tous les désespérés qu'il a vu défiler dans son logement humide et sombre, il a pu pénétrer dans les plus secrets replis du coeur humain, épouser la vie des autres, la voir à nu. Et il offre un point de vue remarquable pour exposer avec force les travers d'une société bourgeoise bien cynique, où l'argent et le faux-semblant règnent en maîtres, où la «justice» n'est là que pour préserver les inégalités:
«Pour se garantir leurs biens, les riches ont inventé des tribunaux, des juges, et cette guillotine, espèce de bougie où viennent se brûler les ignorants.»
Gobseck est mystérieux aussi, il a l'aura d'un tumultueux passé d'aventurier, ayant bourlingué en Inde et en Amérique, fréquenté de célèbres corsaires, acquis la conviction que les principes moraux changent à chaque latitude...
Et puis c'est un personnage d'une stature qui impressionne et frappe l'imaginaire, le narrateur voit en lui «une image fantastique où se personnifiait le pouvoir de l'or», et c'est vrai qu'il a un peu des allures de créature infernale lorsqu'on le voit tenir «les diamants près de sa bouche démeublée, comme s'il eût voulu les dévorer». Il devient même bien frappa-dingue, et c'est assez fascinant de le voir aller à ce point à fond dans son délire.
Bon, c'est vrai qu'ici Balzac ne s'est pas forcément tant que ça foulé sur la complexité de l'intrigue, ce n'est pas son meilleur roman sans doute, c'est un roman-portrait, mais quel portrait! Je ne sais pas trop quoi en penser mais je ne suis pas près de l'oublier, Gobseck.
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Un personnage aussi étrange que nous présente Balzac dans ce Gobseck, on apprend tout de lui à travers le récit qu'en fait Mr Derville, on croirait entendre parler de Mazzarin ou encore de l'Avare, un personnage pour qui l'argent est d'une suprématie cruciale qu'on se battrait à tous les coups pour le voir entrer plutôt que de le voir sortir, étant un préteur de gage, la valeur des choses lui est donc bel et bien connue, qu'il en débattra toujours pour la meilleure part, il est d'un cynisme encensé face au gain mais c'est dans cette même rudesse de caractère,Gobseck est d'une fascination incroyable, en ce sens qu'il peut se servir de sa rigueur pour redresser certains actes immoraux tel sauver la fortune d'un héritier menacé de ruine par la débauche de sa mère, une colossale réalisation dont l'aboutissement est bien sûr réservé aux seuls draconiens comme Gobseck dont la fermeté ne se laisse pas ébranler quel qu'en soit le vent!

Une lecture vraiment agréable!
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Balzac avec sa grande éloquence nous décrit le caractère de Gobseck,usurier de son état qui termine sa vie en avare,sans personne à qui confier ses deniers.
Histoire très courte mais qui nous révèle l'art De Balzac.La description claire,nette ,précise et complète du personnage.
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Dans cette nouvelle, Balzac nous brosse le portrait d'un usurier hors du commun d'origine hollandaise, Jean-Esther van Gobseck, dont l'histoire nous est racontée, dans l'intimité d'une fin de soirée mondaine, par un narrateur intra-diégétique, l'avoué Derville ; ce dernier a pris la parole pour donner à la jeune fille de la maison un avis circonstancié sur un jeune dandy ruiné dont elle s'est éprise, au grand dam de sa mère.

Dans la littérature en général, le personnage qui pratique l'usure est antipathique, malhonnête et sans scrupules et dans l'imaginaire collectif, c'est une figure particulièrement sombre alliée à la misère et à toutes les formes de pauvreté ; il apporte ruine et désespoir dans les familles qui ont recours à ses prêts à taux illicites et toujours exorbitants. de même l'avarice, l'attachement excessif aux biens matériels est un défaut, une véritable perversion souvent mise en scène en littérature. Balzac a dépeint plusieurs portraits d'usuriers ou d'avares dans sa Comédie Humaine : outre Gobseck, Nuncingen, Hochon ou le Père Grandet en milieu urbain, il a aussi créé Rigou en secteur rural dans Les Paysans, et sans doute d'autres qui ne me viennent pas à l'esprit où dont je n'ai pas encore découvert les portraits.
Personnellement, je trouve le personnage de Gobseck particulièrement fouillé et intéressant. C'est un personnage très ambivalent, qui concentre vices et qualités dans sa personnalité complexe. Malgré ses richesses, il vit frugalement et dans la plus grande discrétion. Son nom sonne comme un ultimatum, une sentence ou un couperet de guillotine ; mais son surnom de papa Gobseck, au contraire, l'adoucit et l'auréole d'un paternalisme rassurant. Ainsi, il a su se montrer bienveillant et amical pour son jeune voisin, Derville, qui a pu acheter sa charge grâce au prêt qu'il lui a consenti ; devenu pour le jeune homme un véritable mentor, il le guide et le conseille dans les dédales des transactions financières et juridiques et dans sa carrière d'avoué.
Gobseck semble avoir derrière lui une vie aventureuse de corsaire qui a connu Victor Hughes, mais toujours dominée par l'argent et les richesses ; il se dit capable de se battre à l'épée ou au pistolet. Il pratique le capitalisme et l'usure avec une certaine philosophie, voire une sorte de morale qui lui est propre ; chez lui, l'usure devient non seulement une forme de pouvoir, mais aussi un art véritable dans une profonde connaissance des mécanismes financiers et de la psychologie humaine, comme s'il avait un don de double-vue un peu surnaturel…
Je vois un parallèle possible avec le personnage de l'étrange antiquaire de la Peau de Chagrin ; l'engrenage de l'usure donne à Gobseck un pouvoir semblable à celui du rétrécissement inexorable de la peau magique. Il est même perçu comme un ogre de conte de fées par une de ses victimes.
L'intrigue d'usure en elle-même, telle que racontée par l'avoué Derville, paraît secondaire et reste une simple illustration du portrait principal ; à noter cependant la description du milieu et des moeurs des dandys ainsi que l'analyse des scènes de la vie conjugale dans ses excès, ses entorses et ses dérives et les inévitables conséquences pécuniaires et successorales qu'elles entrainent.

J'ai repris avec bonheur ma lecture in extenso de la Comédie Humaine et, encore une fois, voilà une nouvelle dont je n'avais jamais entendu parler qui fait figure de pépite dans ce parcours.
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De Balzac, qui est depuis mon enfance un de mes auteurs favoris, à part La peau de chagrin et le Colonel Chabert, je n'ai lu que les grands romans: Eugénie Grandet, le père Goriot, la Cousine Bette, le Cousin Pons, Splendeurs et Misères des Courtisanes, La recherche de l'Absolu, etc…en n'oubliant pas bien sûr, l'incontournable le Lys dans la vallée, qui m'a un peu troublé dans ma jeunesse.
J'avais laissé de côté les nouvelles, que beaucoup (dont mon cher Marcel Proust) considèrent comme mineures.

C'est en furetant sur Babelio que j'ai pu lire les commentaires enthousiastes de mes ami-e-s (ou pas ) Babeliotes.
C'est ce qui m'a décidé à franchir le pas, et j'ai débuté mes lectures par Gobseck (téléchargeable gratuitement sur internet!), et je ne l'ai pas regretté!

Gobseck, extraordinaire nouvelle, tant par le contenu, la profondeur psychologique que par la construction. Une merveille concentrée en un court récit.

On y retrouve l'avoué Maître Derville (présent dans de nombreux romans De Balzac dont le Colonel Chabert et Splendeurs et misères des courtisanes) qui intervient dans une conversation dans laquelle la vicomtesse de Grandlieu dit désapprouver l'amour de sa fille Camille avec Ernest de Restaud, car ce dernier est le fils d'Anastasie de Restaud née Goriot, qui dilapide l'argent du ménage dans une relation extra-conjugale avec le comte Maxime de Traille.
Derville raconte alors les péripéties tumultueuses de la relation entre la famille de Restaud et Gobseck, un usurier parmi les plus riches et les plus féroces de Paris, qu'il a fréquenté à son début de carrière, alors qu'il n'était que second clerc d'avoué.

Sans entrer dans les détails de l'intrigue racontée par Derville et qui se conclut par le fait que le jeune Ernest de Restaud va pouvoir hériter de la fortune de son père récemment décédé, le récit est remarquable d'abord parce qu'il dresse l'extraordinaire portrait d'un usurier, on pourrait dire de l'Usurier. Un homme doué d'une finesse d'analyse psychologique exceptionnelle, féroce mais un peu justicier puisqu'il est sans pitié pour les puissants par la noblesse ou par la richesse, et plutôt bienveillant à l'égard des modestes par le rang social ou la fortune. Mais aussi un homme qui progressivement sombre dans la folie d'amasser les richesses (et le reste), tout en ne dépensant rien.

Et puis, le récit nous dresse un tableau cruel du couple des de Restaud, un mari qui hait sa femme, un père qui veut déshériter les enfants du premier mariage de son épouse, une épouse haïssant son mari et qui se ruine dans une relation avec un bel homme sans scrupules, et une mère qui établit une emprise sur son fils.

Et enfin (nous sommes dans La Comédie Humaine), Balzac nous décrit de façon impitoyable la société de la Restauration, où les nobles revenus sur le devant de la scène sociale n'en sont pas moins obligés de composer, voire d'arranger des mariages, avec les riches bourgeois, l'argent prime sur tout le reste.

En lisant ce texte magnifique, j'ai repensé à l'excellente analyse de l'oeuvre De Balzac que fait Marcel Proust dans son Contre Sainte-Beuve.
D'abord son regard amusé sur le leitmotiv de l'argent dans les romans de ce cher Honoré. C'est vrai, il y a toujours une affaire de gros sous dans les romans ou nouvelles, on y brasse des millions, on vous explique comment on peut se faire ou se refaire une fortune, ou la dilapider.
Mais Proust a parfaitement compris à quel point Balzac a été capable de saisir les rouages et les dérives de cette société dévorée par l'argent, et plus généralement à savoir décrire, en quelques phrases, en quelques allusions, les travers et parfois les qualités des humains.
Eh bien! Je crois que tout cela est, en concentré, dans Gobseck.
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J'aurais aimé ressortir plus saisie de ce portrait d'usurier avare, or pour cette fois le grand Balzac m'a laissée un peu de marbre. Autant je l'adore dans l'exercice du portrait,autant je peine à ces complexes histoires d'argent qui émaillent tant des opus de la Comédie humaine. Normal, étant donnés le sujet exposé dans Gobseck, mais il m'a semblé qu' ici l'intrigue financière servant d'ecrin au personnage prenait le pas sur l'évocation de celui-ci, là où l'on aurait pu attendre dans un format de récit aussi court une peinture plus centrée sur le bonhomme. Il faut dire aussi que je n'ai pas beaucoup de goût pour les histoires d'argent.
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Gobseck est une nouvelle De Balzac, publiée en 1830? Elle
fait partie des Scènes de la vie privée de la Comédie
humaine.
Si en lisant ce récit, on croit qu' il s' agit de l' histoire
d' un mariage , on est dérouté car il s' agit bien d' un maria-
-ge celui de Camille avec Ernest de Restaud, Balzac s' atta-
-che à dépeindre la vie d' un bonhomme inconnu, celui de
l' usurier? Et que type d' usurier!
En peignant un tel personnage, Balzac se fait critique se
fait de l' avarice . Mais ce n' est pas tant l' avarice que Balzac
critique ici mais l' ensemble de la société qui est visée.
Durant cette époque de la Restauration française, on remar-
-que le retour des nobles qui reprennent leur place .Mais
malheureusement la noblesse ne s' acquiert pas facilement
du moins le croit-on, car au dessus règne de cela règne
l' argent, et avec lui le mariage de convenance entre
noblesse déchue et riche bourgeoisie, tout s' achète dans ce monde.
C' est la soumission à l' argent que Balzac met en scène .

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La jeune Camille de Grandlieu, de famille noble ancienne, s'est éprise du jeune comte Ernest de Restaud, ce qui n'est pas au goût de la vicomtesse de Grandlieu, sa mère, car Anastasie de Restaud, la mère d'Ernest (et fille du Père Goriot) n'est pas selon elle fréquentable : d'abord elle est d'origine bourgeoise, ensuite elle est connue pour avoir eu des moeurs quelque peu dissipées...
Afin de lui donner un éclairage plus juste sur la situation, et peut-être de favoriser un possible mariage entre les jeunes gens, Derville, avoué et fidèle à la famille de Grandlieu, qu'il a très efficacement aidée à retrouver ses biens en rentrant d'émigration sous la première Restauration, entreprend de raconter à la vicomtesse l'histoire du jeune comte de Restaud et des frasques de sa mère, via la présentation d'un personnage des plus saisissants : l'usurier Jean-Esther Gobseck.

Gobseck est un des dix hommes qui tiennent le "monde" parisien en sous-main, prêtant à usure aux fils de famille ou aux entreprises au bord de la faillite, pour les aider à éviter le scandale ou à se livrer à leurs vices - le jeu, souvent. Gobseck est un homme poli, froid et dur en affaires, à qui on ne connaît aucune famille, et qui vit chichement, bien que sa fortune puisse être estimée à un montant exorbitant. de par la vie aventureuse qu'il a menée dans sa jeunesse et le métier qu'il exerce, Gobseck, qui s'est pris d'une sorte d'amitié (autant qu'il en soit capable, donc assez distante) pour le jeune avoué, qu'il a aidé à acheter sa charge en empruntant à un taux "raisonnable" de 15%, est une mine d'histoires croustillantes sur les dessous des grandes familles. Il a des théories affirmées sur les hommes et leur rapport à l'argent, et regarde tout cela sans s'impliquer, afin d'économiser son énergie pour vivre le plus longtemps possible. C'est un pragmatique pour qui "le bonheur consiste dans l'exercice de nos facultés appliquées à des réalités".
En développant ce personnage impressionnant de Gobseck en "une image fantastique où se personnifiait le pouvoir de l'or", Balzac nous présente les privilèges de la bonne société et ses turpitudes, avec l'exemple d'une femme de la haute société qui se perd en payant les dettes de son amant, Maxime de Trailles, bon-à-rien qui court les salons et semble vivre aux crochets des dames qui l'adorent, pour pas moins de cent mille livres par an. C'est en suivant les démêlés conjugaux de la comtesse et du comte de Restaud, jalonnés des interventions intéressées de Gobseck et désintéressées de Derville, que nous saisirons l'état de la société sous la Restauration.

Une fois de plus, Balzac fait oeuvre de peintre de la société de son époque et des caractères, des types sociaux, mis en valeur par leurs relations et leur rapport à l'argent. Gobseck, "ce Hollandais digne du pinceau de Rembrandt", fait presque figure de statue du commandeur, alors même que Don Juan est convoqué, dans cette scène où il éconduit Monsieur Dimanche pour ne pas payer ses dettes - ruse, on s'en doute, qu'il vaut mieux éviter avec un tel homme. Non sans une certaine fascination de la part de Derville, qui prend en charge la narration dans cette nouvelle, l'usurier représente la figure de l'homme de l'ombre, qui tire les ficelles et exerce le vrai pouvoir, mais qui n'en est pas moins, surtout avec l'âge, une malheureuse figure d'une passion poussée à l'extrême - l'avarice.
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Première déception pour mes lectures De Balzac.

J'ai vraiment eu beaucoup de mal à lire ce livre. Je butais à chaque mot, le sens des phrases ne venait pas aussi facilement que ce que j'ai lu auparavant, je me perdais. Au début je me suis dis : " Mince, je ne suis vraiment pas assez concentré !". Alors j'ai fermé la porte de ma chambre, je me suis assis et j'ai lu dans un grand silence, doucement. Mais même effet, beaucoup de mal à lire.

Je me suis donc demandé, est-ce l'édition de GF qui me gêne ? Est-ce parce que l'écriture est trop difficile ? Ou parce que je n'aime pas l'histoire. Et je pense que c'est cette dernière raison.

En effet ce personnage ne me paraît pas intéressant à exploiter. Sa vision du monde est assez banal et je ne comprends pas l'attachement que Derville peut avoir pour lui.

Seul point positif dans cette lecture, j'ai compris comment Esther van Gobsek devient l'héritière de Gobseck avec tout de même plus de 7 millions au final.
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