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Seuil - l'Intégrale (01/01/1900)
3.62/5   30 notes
Résumé :
L’action commence à Sancerre, ville de province où s’aventure un Parisien : le journaliste Lousteau qui va y faire des ravages. Là, le fils d’un ancien fermier général (Jean-Anastase-Polydore Milaud de la Baudraye) à la fois ambitieux et contrefait, cherche à se faire une réputation sur son territoire. Ayant déjà assez de fortune, il lui manque la gloire locale que peut apporter une belle femme et un salon recherché. Il la trouve en la personne de Dinah Piédefer, ma... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Lorsque Balzac écrit une histoire d'amour, ce n'est jamais une histoire d'amour ordinaire… C'est une histoire d'amour riche, pessimiste, qui dissèque avec brio la société du temps De Balzac.
Les personnages sont décrits avec une finesse psychologique rare ; l'histoire d'amour n'est pas mièvre, n'est pas banale, à sa manière, elle est extraordinaire.
Balzac est ici en verve, et à son style magique s'ajoute sa grande profondeur, sa fine psychologie.
Je suis certain que Balzac fut un grand écrivain ; et je ne suis ( visiblement ) pas le seul à le penser. C'est, en tout cas, l'un des écrivains qui me touche le plus.
Ces livres sont des livres mondes, extrêmement denses, profonds et émouvants. "La muse du département", c'est du grand Balzac. J'ai vraiment beaucoup aimé.
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La comtesse de LA BAUDRAYE est l'étoile de Sancerre. Son salon est réputé autant que sa beauté et son élégance. Mariée à un époux absent elle est courtisée par de nombreux soupirants.

C'est un certain Étienne LOUSTEAU qui obtiendra les faveurs de la belle. Écrivaillon, journaleux désargenté il sévit à Paris où il finit par entraîner la comtesse.

Beaucoup de baisers au début de leur amour, puis la naissance de deux enfants. le couple dérive lentement dans la pauvreté et s'étiole.

La belle Dinah retournera donc sur ses terres en province, retrouver un mari, trop content d'avoir une progéniture à peu de frais.
Un texte habilement construit. Balzac narre avec minutie le dé-tricotage progressif des relations amoureuses. Pas vraiment une oeuvre majeure, mais qui a tout son intérêt.

Le manuscrit de "La Muse du département a disparu". Il subsiste peu de manuscrits des textes réemployés. Un plan de Sancerre, d'une main inconnue et des croquis De Balzac, que l'on peut dater de 1836, sont conservés dans la collection Lovenjoul.

Le roman a annexé des fragments de LA GRANDE BRETECHE et des CONTES BRUNS. Balzac étant payé au mot il avait conçu des plans de réemploi. Rien ne se perd.

En 1843, le texte est refondu trois fois au gré des trois éditions qui se firent cette année là. le roman initial de 1837 est méconnaissable et il faut donc en tirer la conclusion que le roman a évolué au gré des marrées et que le texte original ne s'y reconnaîtrait plus.


LIEUX DE L'INTRIGUE : SANCERRE - PARIS

PERSONNAGES
Beaucoup de personnages, reparaissant ou non, comme il est normal dans un texte de 1843, même si l'on ne compte pas comme « personnages » les noms qui figurent dans les récits insérés. Il y a d'abord le groupe de Sancerre, autour de Dinah de la Baudraye et de son mari : M. de Clagny, le procureur du roi, qui est amoureux de Dinah et en rivalité avec Gravier l'ancien payeur général des armées de l'Empire ; l'abbé Duret, le vicomte de Chargeboeuf. Les deux Parisiens qui arrivent à Sancerre en conquérants sont deux piliers de la Comédie humaine, Bianchon et Lousteau.

Horace BIANCHON : il n'a pas besoin d'être présenté : cet ancien de la pension Vauquer, a déjà beaucoup soigné et arrive à Sancerre avec une grosse réputation. C'est à lui, que revient un des rôles de narrateur dans le salon de Dinah, et lui aussi qui déconseille l'abstinence à la muse du département.

– Comtesse Dinah de LA BAUDRAYE : La Muse est l'histoire de sa vie. Née dans une famille protestante, convertie au catholicisme, elle règne sans partage sur Sancerre depuis son mariage. Elle a fondé une « Socété littéraire » et tient un salon où la conversation est de règle. Surnommée avec malice la « Sapho de Saint-Satur » (le faubourg où est situé l'hôtel de la Baudraye), elle garde une réelle indépendance d'esprit, de caractère et conduite. Passionnée de collections, de bric-à-brac, d'autographes, et de littérature, elle même signe Jan Diaz des poèmes apocryphe, auxquels on invente un auteur réel, aujourd'hui décédé, et dont on parle à Paris. Quand elle cède à Lousteau, c'est plus au Parisien qu'à l'homme et autant par hygiène que par amour. Et Didine finira par « renverser la marmite », tout en réglant les dettes du père de ses enfants, pour solde de tous comptes. Son amie de pension, Anna Grossetête, épouse le dernier fils du comte de Fontaine (Le Bal de Sceaux.

– Comte Jean-Athanase-Polydore Milaud de LA BAUDRAYE : il n'est pas tout à fait sans mérite dans son difficile rôle de « minotaurisé ». Jamais tout à fait dupe il préserve les apparences, son patrimoine et sa lignée. Son avarice lui donne du caractère : il est, dans Les Paysans, le type de l'avare « par esprit de famille ». A noter ses parrains pour la Chambre des Pairs : Nucingen et Montriveau.

– Etienne LOUSTEAU : il y a dans Lousteau du loustic (le mot est dans Les Paysans). C'est un médiocre, doublé d'un gigolo ; mais il n'est pas sans talent et il amuse dans un salon. Il est lui aussi natif de Sancerre, et du même âge que Dinah. Ce « Manfred du feuilleton », qui entend « vivre de sa plume » se révèle un homme de métier, voire un pique-assiette littéraire (La Cousine Bette). Il gère mieux ses maîtresse que ses écrits ou sa réputation. Mais il est inévitable à Paris : on le rencontre aussi bien au Rocher de Cancale qu'au Café anglais (Béatrix) et ses chapeaux, « pittoresques » sont du bon faiseur : Vital (Les Comédiens sans le savoir).


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Un ménage mal assorti.
Lui, c'est Jean-Anastase-Polydore de la Baudraye, gentilhomme maigrichon et maladif, quarante-trois ans, "âge qu'aucun médecin, astrologue ou sage-femme n'eût osé lui prédire ", soucieux d'agrandir son domaine, situé dans le Sancerrois.
Elle, c'est la charmante Dinah de la Baudraye, née Piedefer ; cultivée, snobe, dotée de vivacité d'esprit, elle tient salon et égaye la morne vie de province.


Après douze ans de ménage, elle est restée sans enfants en raison de la chétive constitution de son époux ; elle tombe sous le charme de Lousteau, oisif feuilletoniste parisien, bon-vivant et homme à femmes.
Elle le suit à Paris, alors qu'il ne lui a rien demandé.


Les années passées à Paris avec son amoureux s'avèrent pour Dinah des années sacrifiées sottement pour Lousteau - qui ne la mérite pas. Elle finit par rentrer au bercail, la tête haute : son mari lui pardonne aisément son infidélité, car il gagne à peu de frais deux héritiers (alors qu'il n'est pas dupe de la question de la paternité).


Le roman est une brillante étude de société, l'ironie affleure à chaque page.
L'auteur puise dans plusieurs registres : nous avons droit à des scènes de vaudeville, à quelques paragraphes sur l'art du romancier, sur le thème de l'adultère et la vengeance du mari cocu ; nous découvrons des récits enchâssés, dont le plus savoureux à mes yeux est Olympya ou les Vengeances romaines.


Voilà, cette richesse m'a charmée, mais aussi le contraste entre le microcosme provincial et l'éclat mondain de la capitale.
Le regard De Balzac sur Dinah est plutôt indulgent. Une femme libre d'esprit, cultivée, une émule de George Sand – elle était "la Sapho de Saint-Satour", à la porte du Sancerrois ; elle était la Muse du département.


Des extraits :
« Lousteau ne put s'empêcher de remarquer alors l'évidente supériorité de Dinah sur l'élite des femmes de Sancerre : elle était la mieux mise, ses mouvements étaient pleins de grâce, son teint prenait une délicieuse blancheur aux lumières, elle se détachait enfin sur cette tapisserie de vieilles faces, de jeunes filles mal habillées, à tournures timides, comme une reine au milieu de sa cour.
[ ]
— Mon cher, dit Bianchon à Lousteau, tu seras l'heureux mortel choisi par cette femme, née Piédefer ! »
[ ]

« -Il y a chez Dinah, disait Etienne à Bixiou, l'étoffe d'une Ninon et d'une Staël.
-Une femme chez qui l'on trouve une bibliothèque et un sérail est bien dangereuse, dit le railleur. »
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Encore un roman peu connu de ce cher Balzac : La Muse du département

Un titre un peu moqueur, il faut le reconnaître, qui ironise sur les femmes cultivées, celles qui animent des sociétés littéraires ou qui écrivent, qui développent et conservent une réelle indépendance d'esprit, de caractère et de conduite… le personnage principal du livre est d'ailleurs explicitement comparé à George Sand.
Un portrait de femme : depuis son mariage, Dinah de la Baudraye, née Piédefer, est une femme influente dont la réputation est surveillée par la bonne société de Sancerre ; on espère être invité chez elle, en être aimé… On l'envie et on la jalouse... Les hommes l'adorent, les femmes s'en méfient.

Une histoire d'adultère : courtisée de près par de nombreux prétendants, la belle Dinah finira par céder aux avances du journaliste Étienne Lousteau, un homme de lettres médiocre aux allures de gigolo et de pique-assiette dont elle tombera amoureuse et qu'elle rejoindra à Paris, acceptant de vivre maritalement et dans le péché, avec les deux enfants qu'ils auront ensemble.
Depuis Sancerre, son mari, surnommé « le petit la Baudraye », pas dupe mais complaisant et pragmatique, sans doute impuissant, préserve les apparences, le patrimoine et les intérêts de la famille.
Après sa longue liaison avec Lousteau, pour qui elle a écrit les livres dont il prétend être l'auteur et réglé toutes les dettes, Dinah mettra fin à cet intermède parisien et réintègrera, presque comme si de rien n'était, le foyer conjugal à Sancerre.

J'ai adoré ce roman plein d'humour, aux titres de chapitres évocateurs et savoureux.
Le parallèle entre la province et Paris rend la narration assez vivante malgré les inévitables longueurs balzaciennes… Balzac a prévu une double focalisation autour des lieux ce qui lui permet des développements sur la vie intellectuelle de son époque…
De nombreux récits enchâssés, autour des thèmes de l'infidélité et de l'adultère, émaillent la narration de balisages moraux et renvoient à d'autres passages de la Comédie Humaine ; je pense notamment à La Grande Bretêche, à des extraits des Contes bruns. Balzac use et abuse du réemploi, certes en réécrivant si besoin.
Certaines anecdotes sont piquantes ; ainsi, saviez-vous qu'il vaut mieux évitez de porter une robe en organdi si vous envisagez de batifoler dans des lieux improbables car ce tissu se froisse très facilement et durablement et cela trahit les imprudentes…
Le mélange se révèle subtil entre drame domestique et chronique en miroir des milieux littéraires mondains provinciaux et parisiens. Les nombreuses digressions nous en apprennent beaucoup sur les centres d'intérêt de l'époque ; ainsi, Balzac consacre quelques pages aux commentaires sur Adolphe de Benjamin Constant, livre ses propres réflexions sur le métier d'écrivain.
Mais il est surtout question du parcours d'une femme supérieure, intelligente, ambitieuse.

Le dénouement peut surprendre car, finalement, tout finit par rentrer dans l'ordre, Dinah de la Baudraye bénéficiant de nombreux appuis.
La moralité en a pris un coup mais la morale est sauve…Je cite l'une des personnages, s'exprimant à la fin du roman : « je ne me rappelle pas quelque chose de plus beau que les manoeuvres faites pour le sauvetage de l'honneur de madame de la Baudraye ».

Une pépite balzacienne à connaître !

Lien : https://www.facebook.com/pir..
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Dinah (comtesse de la Baudraye) est encore une jeune fille lorsqu'elle se marie avec un homme beaucoup plus âgé, mais riche. Mais outre ce mariage arrangé, c'est surtout le milieu provincial (et borné) qu'elle côtoie qui frustre la jeune femme.
Douze ans durant, elle rongera son frein, entourée d'une petite cour d'admirateurs mais surtout largement rejetée par la bourgeoisie et la noblesse locales. Jusqu'au jour où débarquent deux notables parisiens, l'un docteur, l'autre homme de lettres. Ce dernier se pique de séduire la jeune femme dont il remarque l'intelligence et la beauté. Pour lui ce n'est qu'une passade, oubliée dès son retour dans la capitale.
Mais alors qu'il envisage son avenir par un mariage, débarque à Paris avec enfants et bagages, la femme amoureuse, abandonnant sa position de châtelaine de Sancerre. Flatté (et surtout car son projet tombe à l'eau), Lousteau laisse la jeune dame emménager chez lui et continuer leur passion amoureuse. Dinah s'adapte rapidement à la vie parisienne, trop rapidement même. Au point de menacer les finances de Lousteau.
Mais alors qu'elle risque l'opprobre social, elle saura par un tour de passe-passe retourner à son avantage la situation.
Très clairement, ce roman est en forme de patchwork, composé de trois parties inégales. La première, les années de mariage, comporte de trop nombreux stéréotypes sur la femme provinciale, propos qui alourdissent le propos. Puis nous avons droit à une deuxième partie plus épicée avec la confrontation entre Paris et la province, la troisième partie relatant plus l'usure d'un couple et les stratégies financières qui entourent le mariage de l'époque.
Malgré ce début chaotique, La muse du département se lit agréablement, sans être un des romans majeurs de l'écrivain.
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Citations et extraits (10) Voir plus Ajouter une citation
Néanmoins il n’existe pas de grand talent sans une grande volonté. Ces deux forces jumelles sont nécessaires à la construction de l’immense édifice d’une gloire. Les hommes d’élite maintiennent leur cerveau dans les conditions de la production, comme jadis un preux avait ses armes toujours en état. Ils domptent la paresse, ils se refusent aux plaisirs énervants, ou n’y cèdent qu’avec une mesure indiquée par l’étendue de leurs facultés : ainsi s’expliquent Scribe, Rossini, Walter Scott, Cuvier, Voltaire, Newton, Buffon, Bayle, Bossuet, Leibnitz, Lope de Véga, Calderon, Boccace, l’Aretin, Aristote, enfin tous les gens qui divertissent, régentent ou conduisent leur époque. La volonté peut et doit être un sujet d’orgueil bien plus que le talent. Si le talent a son germe dans une prédisposition cultivée, le vouloir est une conquête faite à tout moment sur les instincts, sur les goûts domptés, refoulés, sur les fantaisies et les entraves vaincues, sur les difficultés de tout genre héroïquement surmontées.
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Si ce mot ne devait pas, pour beaucoup de gens, comporter une espèce de blâme, on pourrait dire que George Sand a créé le Sandisme, tant il est vrai que, moralement parlant, le bien est presque toujours doublé d’un mal. Cette lèpre sentimentale a gâté beaucoup de femmes qui, sans leurs prétentions au génie, eussent été charmantes. Le Sandisme a cependant cela de bon que la femme qui en est attaquée faisant porter ses prétendues supériorités sur des sentiments méconnus, elle est en quelque sorte le Bas-Bleu du coeur : il en résulte alors moins d’ennui, l’amour neutralisant un peu la littérature.
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Certainement le cerveau n'obéit qu'à ses propres lois, il ne reconnaît ni les nécessités de la vie, ni les commandements de l'honneur; on ne produit pas une belle oeuvre parce qu'une femme expire, ou pour payer des dettes déshonorantes, ou pour nourrir des enfants; néanmoins il n'existe pas de grand talents sans une grande volonté. Ces deux forces jumelles sont nécessaires à la construction de l'immense édifice d'une gloire. Les hommes d'élite maintiennent leur cerveau dans les conditions de la production, comme jadis un preux avait ses armes toujours en état. Ils domptent la paresse (...)
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Il suffit d’une résistance quelconque pour qu’une femme désire la vaincre
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(...) l'amour de coeur, ce besoin réel des âmes grandes, faisait d'elle une femme entièrement nouvelle, Dinah vivait ! elle trouvait l'emploi de ses forces, elle découvrait des perspectives inattendues dans son avenir, elle était heureuse enfin, heureuse sans soucis, sans entraves.
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Vidéo de Honoré de Balzac
Deuxième épisode de notre podcast avec Sylvain Tesson.
L'écrivain-voyageur, de passage à la librairie pour nous présenter son récit, Avec les fées, nous parle, au fil d'un entretien, des joies de l'écriture et des peines de la vie, mais aussi l'inverse, et de la façon dont elles se nourrissent l'une l'autre. Une conversation émaillée de conseils de lecture, de passages lus à haute voix et d'extraits de la rencontre qui a eu lieu à la librairie.
Voici les livres évoqués dans ce second épisode :
Avec les fées, de Sylvain Tesson (éd. des Équateurs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23127390-avec-les-fees-sylvain-tesson-equateurs ;
Blanc, de Sylvain Tesson (éd. Gallimard) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310016-blanc-une-traversee-des-alpes-a-ski-sylvain-tesson-gallimard ;
Une vie à coucher dehors, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774064-une-vie-a-coucher-dehors-sylvain-tesson-folio ;
Sur les chemins noirs, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774075-sur-les-chemins-noirs-sylvain-tesson-folio ;
Le Lys dans la vallée, d'Honoré de Balzac (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/769377-le-lys-dans-la-vallee-honore-de-balzac-le-livre-de-poche.
Invité : Sylvain Tesson
Conseil de lecture de : Pauline le Meur, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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