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Eric Bordas (Éditeur scientifique)
EAN : 9782253096375
383 pages
Le Livre de Poche (01/02/1999)
4.02/5   212 notes
Résumé :
" Assez, Balthazar ; tu m'épouvantes, tu commets des sacrilèges.
Quoi ! mon amour serait. - De la matière éthérée qui se dégage, dit Claës, et qui sans doute est le mot de l'Absolu. Songe donc que si moi, moi le premier ! si je trouve, si je trouve, si je trouve ! " En disant ces mots sur trois tons différents, son visage monta par degrés à l'expression de l'inspiré. " Je fais les métaux, je fais les diamants, je répète la nature, s'écria-t-il. - En seras-tu ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (25) Voir plus Ajouter une critique
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La maison Claës à toujours joui d'une réputation honorable en Flandre. Famille puissante et riche , les descendants de la lignée ont toujours perpétré la respectabilité de leurs aïeux au fil du temps. L'intrigue met en scène Balthazar Claës et sa femme Joséphine, le couple vit heureux en compagnie de leurs enfants dans leur grande maison de Douai. L'harmonie et la prospérité du ménage sont exemplaires, chaque jour étant fait de joie et d'amour. Balthazar, bon père de famille et mari aimant va un jour héberger sous sont toit un vieux polonais qui va lui exposer toute une théorie scientifique concernant l'Absolu. Il n'en faut pas plus à Balthazar, ancien disciple de Lavoisier, pour manifester un intérêt sans limites aux arguments du vieil homme. C'est alors que la rivale la plus dangereuse, la science, va venir semer le trouble dans l'harmonie de la famille. Balthazar se dévouera corps et âme dans la recherche de l'Absolu mais à quel prix...

Dieu sait si j'avais du mal avec le style De Balzac et bien La Recherche de l'Absolu est vraiment grandiose. Avec des personnages forts et attachants, une histoire prenante à souhait, voilà qui m'a enfin réconciliée avec ce cher Honoré.
Ce roman met deux grands thèmes en avant. Tout d'abord les femmes, ici deux grandes héroïnes, Joséphine l'épouse de Balthazar et Marguerite, sa fille aînée. Face au démon de la science, qui emportera l'une, l'autre devra faire face aux réalités du quotidien avec courage pour tenter de reconstruire sur les ruines de la tornade qui a balayé l'harmonie du foyer. Nous suivons avec admiration à cette prise d'indépendance, au changement de ce caractère d'enfant qui laisse place à une maturité de femme qui accomplira des prouesses pour préserver sa famille. Cette force d'âme illumine le récit et contribue à embarquer le lecteur dans la bataille de longue haleine qui sera menée.
En dehors de ses personnages féminins, la science est le véritable point de mire du roman. Passion destructrice qui emportera doucement Balthazar dans la folie, délaissant les siens et causant leur ruine. Notre héros, accumulant les expériences sans résultats mais ne pouvant se détacher de cette diabolique compagne qui telle une drogue le grignote et lui fera courir toute sa vie après une chimère. Nous assistons un peu à une lutte sans merci entre le bien et le mal, c'est avec hâte que je tournais les pages afin de savoir qui l'emporterai sur qui.
J'ai pris un grand plaisir à lire ce livre, les 100 premières pages qui sont uniquement des descriptions et pourraient refroidir de prime abord sont finalement très utile pour la mise en place de l'histoire. Une fois rentrés dans le vif du sujet, ce roman ne se lâche plus jusqu'à la fin.
Je remercie mon ami B, avec qui je partage la passion de collectionner les affichettes de marabouts, de m'avoir conseillé ce livre. La Recherche de l'Absolu étant son Balzac préféré, je devais lui faire honneur en le lisant à mon tour. Foncez, c'est un vrai bijou!
A lire !
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Pas seulement un roman scientifique, c'est avant tout un récit détaillé sur les liens mari et femme et surtout père-fille.
Douai. La famille Claës est respectée, tant par ses origines nobles que par sa richesse. Mais, une fois les quatre enfants devenus adolescents, Balthasar Claës, pourtant mari prévenant et père aimant se prend de passion pour la chimie.
Une passion qui dévore le temps, qu'il passait auparavant auprès de sa famille, et l'argent.

La famille volera peut-être en éclats. A moins que sa courageuse femme, Joséphine, ne parvienne à faire entendre raison à son diable de mari qui sombre dans l'alchimie.
La ruine et la honte emporteront peut-être la famille Claës. A moins que sa fille, Marguerite, ne parvienne à limiter les multiples achats de son père.

Finalement, Balzac met en avant une idée nouvelle pour l'époque: l'émancipation des femmes. La femme est à l'honneur. Les personnages valeureux de ce roman sont Joséphine et Marguerite . Elle s'émancipe en choisissant son mari ( le riche notaire Pierquin l'a appris à ses dépens ) et en prenant des décisions qui vont à l'encontre du chef de famille.

Le lecteur, peu désireux de lire 20 à 30 pages de descriptions très pointues sur la maison des Claës, pourra, à mon avis, survoler le début. Même si Balzac prévient ce lecteur "ignorant et vorace", qu'il manque quelque chose.

Passé le cap difficile de l'entame, le roman déroule ensuite un récit rondement mené et tellement bien écrit que je n'ai pas vu passer les 100 dernières pages. Finalement, moins de 300 pages, écrites par un forcené cloîtré chez lui durant tout l'été 1834,qui m'ont bluffées.
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J'ai découvert après avoir lu le père Goriot conseillé à l'époque par la documentaliste de la bibliothèque. Et là, cela a été la révélation.

La Recherche de l'absolu est un livre que j'ai déjà dû lire 3 ou 4 fois. Je suis complètement en osmose avec l'histoire de cet homme pris par sa passion au point de tout perdre. Une oeuvre classique "moderne" et aisément transposable avec notre société où nous avons les accros aux réseaux sociaux et aux téléphones.

Le plus émouvant dans ce livre vient du fait que cet homme s'enlise certes dans son addiction mais avec toujours en tête l'idée de permettre dans un futur proche d'améliorer l'existence de ses enfants. Il oublie justement le fait que sa femme et ses enfants n'ont besoin de rien si ce n'est de voir leur père heureux. On se retrouve plongé dans une sorte de cycle infernal ou chacun entraîne l'autre (le père par désir d'offrir plus à sa famille d'un côté et de l'autre la famille cédant sans rechigner le peu qu'il reste pour permettre à leur père de poursuivre sa quête).

Honoré de Balzac arrive au travers de son texte à nous transmettre des émotions intenses et, les descriptions de la ville de Douai sont d'une telle finesse qu'on avait l'impression d'être sur les lieux.

Avec le Père Goriot, ce livre est sans hésitation l'un de mes préféré.
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La recherche de l'absolu
Balzac
roman « philosophique », ou étude de moeurs, 1834, 302 p, Livre de Poche


Ce livre-là, dans cette collection, se vend 90 centimes en ligne. C'est dire si les classiques sont à portée de tous. La vérité oblige à dire que l'édition n'est pas fameuse, et que les caractères sont petits. de plus, quand on entre dans un roman classique du XIX°, on est saisi dans l'épaisseur, la compacité, de l'écriture, très éloignées de la légèreté, de la fluidité, de certains jeunes auteurs contemporains. le récit n'est pas non plus divisé en chapitres. Je laisse la question du contenu à part. Même si la vision de la femme, dans ce livre, appartient à son époque, soit le début du XIX°, une créature qui mérite tous les éloges, mais reste une créature faible. En tout cas, un des personnages féminins fait exception. Même si des envolées lyriques datent.
Quand l'histoire commence, on est en 1812, fin août, dans une maison bourgeoise et cossue de Douai, « où respire l'esprit de la vieille Flandre ». La maîtresse de maison, riche héritière espagnole, est déjà bien malade, à cause de la folie ou de l'entêtement génial de son époux. Ce qui la caractérise, outre ses imperfections physiques-elle est petite, boiteuse et bossue- c'est sa noblesse d'âme, et l'amour immense qu'elle porte à son mari, pour être en communion de qui elle va apprendre la chimie, science qui chasse la raison, prétentieuse et blasphématoire puisque ceux qui la pratiquent se mettent au-dessus de Dieu qui seul crée. L'époux est Balthazar Claës, un Flamand aisé, cultivé et exemplaire, qui a rencontré un gentilhomme polonais, versé, disait-il, en chimie ; Claës, ancien élève de Lavoisier, ruine alors les siens par sa recherche de l'absolu. Ils ont quatre enfants.
Les années passent, la maison coule, le chimiste croit toujours en sa chance d'une fameuse découverte, la mère meurt, et la fille aînée prend sa place. Un notaire de ses cousins lorgne sur la fortune qui lui reste, mais elle est éprise d'un jeune garçon de condition modeste, dont l'âme répond à la sienne. Cependant elle a promis à sa mère mourante qu'elle ne se marierait pas pour remplir le rôle de gouvernante de la famille.
Grâce à une intendance parfaite, la maison recouvre son lustre d'antan avant de le perdre à nouveau. le roman s'étend sur vingt ans.
Balzac dresse le portrait d'un génie, passionné, qui veut illustrer de gloire sa maison par ses recherches, mais qui, pour elles, est capable de servilité en demandant de l'argent à sa fille. Car, si grands qu'ils soient, les hommes se rattachent à l'humanité par des petitesses. Toutefois, il laisse la chambre de cette dernière en l'état, par reconnaissance pour tout ce qu'elle a fait pour lui, mais aussi par la foi flamande de la parole donnée. Ce génie peut paraître fou aux yeux des ignorants -qui, au spectacle de la vraie douleur, éprouvent une sorte de jouissance qui les dispose à tout absoudre, même un criminel-, mais avec sa grande intelligence, il offre un spectacle formidable et tragique, lui qui, « Titan foudroyé » se condamne lui-même d'avoir dévoré trois fortunes, et que la nécessité muselle. Quoi qu'il en soit, sa passion le dévore -ses pieds lents et traînants semblent déserter par la vie, il ne prend plus soin de lui, son laboratoire est un atelier complètement en désordre. Où est le caractère flamand, que caractérisent l'ordre, le sentiment du devoir et la réflexion? Il vieillit, il délaisse sa famille, et engloutit des sommes folles. Mais l'auteur, d'autant plus qu'il n'était pas indifférent à l'absolu – la chimie était pour lui l'occasion de parler de sa pensée, de sa mystique, de son occultisme- et peut-être ses lecteurs, ne cessent d'admirer la persévérance de cet homme de génie. Alors qu'une découverte est presque toujours le fruit du hasard. Et que, franchement, pensent les médiocres, la quête de la pierre philosophale dans un siècle éclairé ressortit à de l'alchimie. Les créations du génie sont très longtemps méconnues.
La sagesse féminine, sensée, active, constante, sert de pare-folie, en se contraignant à une économie drastique, et en veillant à la respectabilité du savant qui s'abîme dans son idée fixe. Avec Marguerite, la fille aînée des Claës, Balzac brosse une âme forte et sensible, qui sauve la fortune de sa fratrie, conserve la dignité à son père, et peut goûter le bonheur avec un homme aussi pur qu'elle.
Balthazar et sa fille sont des êtres sublimes.
C'est aussi une ville de province qui est peinte, Douai, ville qui se modernise le plus de toutes les villes du Nord, où l'amour du progrès social est le plus répandu ; à cause des vicissitudes politiques, elle appartient ou non à la France, voit les aristocrates s'écarter des bourgeois. Elle est soucieuse de ses traditions, avec la chambre de l'épouse considérée comme un sanctuaire, avec sa soupe au thym égayée de boulettes de viande, avec sa vaisselle, ses dîners, et son parterre de tulipes, et la fameuse tulipa Claësiana , avec ses fêtes de Gayant.
S'il est un aphorisme à retenir de ce roman, ce serait celui-ci : « Sois célèbre mais sois heureux aussi ». Claës aura manqué la célébrité et n'aura pas connu le bonheur à la fin de sa vie. le génie coûte cher.
Si l'on veut entrer dans le roman, on lira une histoire prenante, on s'attachera aux personnages, on sera happé par la peinture de la déchéance qui malgré tout laisse l'homme déchu grand.
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Balthazar Claës ayant épousé à Douai Joséphine de Casa-Real fait partie des familles les plus aisées de Douai. Quatre enfants sont nés de cette union : Marguerite, Félicie, Gabriel et Jean.
En épouse dévouée et pieuse, Joséphine se plie à toutes les exigences de son mari.
« elle aimait Balthazar Claës avec cet instinct de la femme qui donne un avant-goût de l'intelligence des anges. »
Mais trop. Par une obstination excessive jusqu'à la folie démoniaque, Balthazar consume la fortune familiale jusqu'à rendre les siens au bord de l'indigence et causer la mort de son épouse dont la ferveur patiente est portée à ses limites.
« Elle attendait des remercîments passionnés pour ses sacrifices, et trouvait un problème de chimie. »
C'est alors la fille aînée, Marguerite qui prend les rennes de la maison, destitue son père de ses droits et redresse les comptes aidée par son cousin notaire Pierquin et surtout de son chaste amoureux, Emmanuel de Solis, neveu de feu le confesseur de sa pieuse mère. Mais c'est sans compter sur le démon de la Science qui s'est emparé de Balthazar.
Ce roman De Balzac fait partie des « Etudes philosophiques » et montre comment la connaissance, la recherche à tout prix détruit la vie même. En cherchant la fortune pour les siens, Balthazar la dilapide. Son nom évoque celui du roi mage qui apporta au Christ de l'or. On sent parfois que la recherche chimique de Balthazar n'est pas vaine car sa femme et ses enfants très patients avec ses frasques de savant fou, y croient plus ou moins. Joséphine, surtout veut partager cette folie avec son mari en lisant les mêmes ouvrages de chimie ; son amour absolu l'amène à vouloir tout partager avec son mari. C'est un peu une vision du jardin d'Eden dans lequel on trouve le serpent (le Polonais dont la lettre est à l'origine de la folie de Balthazar) et Adam et Eve avant la chute (les amours purs et chastes d'Emmanuel et de Marguerite) et bien le fameux Arbre de la Connaissance dont on ne doit pas manger les fruits sous peine de damnation.

« Je fais les métaux, je fais les diamants, je répète la nature, s'écria-t-il. »
« Toute vie implique une combustion. Selon le plus ou moins d'activité du foyer, la vie est plus ou moins persistante. »

On a toujours une touche chrétienne chez Balzac et l'innocence de certains de ces personnages en est si touchante qu'on lui épargne les clichés sur l'amour et la résignation, la modestie et l'altruisme ou encore sur les femmes :
« La passion humaine ne saurait aller au-delà. La gloire de la femme n'est-elle pas de faire adorer ce qui parait un défaut en elle. »

C'est aussi, plus prosaïquement, une étude à la manière inimitable De Balzac des tractations financières au dix-neuvième siècle, les ventes de propriétés, les rachats d'hypothèques, les emprunts etc.

« toute la société, Balthazar était un homme à interdire, un mauvais père, qui avait mangé six fortunes, des millions, et qui cherchait la pierre philosophale, au Dix-Neuvième Siècle, ce siècle éclairé, ce siècle incrédule, ce siècle, etc… »

Ecrit en trois mois entre juin et septembre 1834, on sent la vitesse de la plume, l'urgence de conclure et Balzac, en emmenant son lecteur vers une réflexion philosophique sur la connaissance en général et la recherche obstinée en particulier, nous rend ce personnage de Balthazar Claës agaçant dans son délire dévorant et égoïste mais magnifique dans sa recherche obstinée et les dernières pages en sont sublimées. Ce sont d'ailleurs ces derniers paragraphes qui m'ont fait lire ce roman car ils y sont cités verbatim dans la classe du jeune Doinel des « quatre-cents coups » de Truffaut. Il y a des plagiaires plus incultes !
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Citations et extraits (44) Voir plus Ajouter une citation
Trop souvent le vice et le génie produisent des effets semblables, auxquels se trompe le vulgaire. Le Génie n'est-il pas un constant excès qui dévore le temps, l'argent, le corps, et qui mène à l'hôpital plus rapidement encore que les passions mauvaises? Les hommes paraissent même avoir plus de respect pour les vices que pour le Génie, car ils refusent de lui faire crédit.
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Peut-être l'homme vit-il plus par le sentiment que par le plaisir? peut-être le charme tout physique d'une belle femme a-t-il des bornes, tandis que le charme essentiellement moral d'une femme de beauté médiocre est infini?
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Les événements de la vie humaine, soit publique, soit privée, sont si intimement liés à l'architecture, que le plupart des observateurs peuvent reconstruire les nations ou les individus dans toute la vérité de leurs habitudes, d'après les restes de leurs monuments publics ou par l'examen de leurs reliques domestiques.
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Les grand calculateurs seuls, pensent qu'il ne faut jamais dépasser le but, et n'ont de respect que pour la virtualité empreinte d'un parfait accomplissement qui met en toute oeuvre ce calme profond dont le charme saisit les hommes supérieurs.
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Nous voici déjà près du grand Ternaire [le mercure, le soufre et le sel] des anciens et des alchimistes du Moyen Âge dont nous nous moquons à tort. La chimie moderne n'est encore que cela. C'est beaucoup et c'est peu. C'est beaucoup car la chimie s'est habituée à ne reculer devant aucune difficulté. C'est peu, en comparaison de ce qui reste à faire. Le hasard l'a bien servie, cette belle science!
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Vidéo de Honoré de Balzac
Deuxième épisode de notre podcast avec Sylvain Tesson.
L'écrivain-voyageur, de passage à la librairie pour nous présenter son récit, Avec les fées, nous parle, au fil d'un entretien, des joies de l'écriture et des peines de la vie, mais aussi l'inverse, et de la façon dont elles se nourrissent l'une l'autre. Une conversation émaillée de conseils de lecture, de passages lus à haute voix et d'extraits de la rencontre qui a eu lieu à la librairie.
Voici les livres évoqués dans ce second épisode :
Avec les fées, de Sylvain Tesson (éd. des Équateurs) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/23127390-avec-les-fees-sylvain-tesson-equateurs ;
Blanc, de Sylvain Tesson (éd. Gallimard) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/21310016-blanc-une-traversee-des-alpes-a-ski-sylvain-tesson-gallimard ;
Une vie à coucher dehors, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774064-une-vie-a-coucher-dehors-sylvain-tesson-folio ;
Sur les chemins noirs, de Sylvain Tesson (éd. Folio) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/14774075-sur-les-chemins-noirs-sylvain-tesson-folio ;
Le Lys dans la vallée, d'Honoré de Balzac (éd. le Livre de poche) : https://www.librairiedialogues.fr/livre/769377-le-lys-dans-la-vallee-honore-de-balzac-le-livre-de-poche.
Invité : Sylvain Tesson
Conseil de lecture de : Pauline le Meur, libraire à la librairie Dialogues, à Brest
Enregistrement, interview et montage : Laurence Bellon
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Les Éclaireurs de Dialogues, c'est le podcast de la librairie Dialogues, à Brest. Chaque mois, nous vous proposons deux nouveaux épisodes : une plongée dans le parcours d'un auteur ou d'une autrice au fil d'un entretien, de lectures et de plusieurs conseils de livres, et la présentation des derniers coups de coeur de nos libraires, dans tous les rayons : romans, polar, science-fiction, fantasy, BD, livres pour enfants et adolescents, essais de sciences humaines, récits de voyage…
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