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Critique de PiertyM


Bien que Balzac aime à nous décrire méticuleusement des choses, et bien plus des sentiments en y ajustant autant d'image possible comme s'il goutait à une friandise, ce qui en fait des longueurs, trop de détails mais dans certaines de ces oeuvres, cela en fait des merveilles, évidemment Sarrasine figure dans cette catégorie , une belle nouvelle dont le début fait emprunt à un illustre personnage qui a beaucoup fait couler l'encre du XIXe siècle, un être mystérieux qui apparait sous de différents noms Balsamo, Cagliostro dans la série les mémoires d'un médecin de Dumas, Cagliostro dans Consuelo de George Sand, Comte de saint-Germain dans la marquise de Pampadour de Michel Zevaco, et d'autres, mais ici le personnage n'est que Ernest-Jean Sarrasine, un vieillard dont une simple vue donne des frissons, un vieux sculpteur qui a connu un épisode passionnel et envoutant dans sa jeunesse...
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