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Critique de ElsaK
abe, Jace et Ash. Ils sont riches, beaux et ...dominateurs. Trois mâles alpha, un par tome, et voilà le dernier de la saga de Maya Banks, consacré à Ash. Censé être le plus discret , il nous réserve des tas de (bonnes) surprises.
Ce que l'on a appris dans les tomes précédents, c'est que bien qu'issu d'une famille fortunée, Ash a tourné le dos à ses parents parasites et oisifs, montant son entreprise en ne leur devant pas un seul dollar. Après avoir tenté d'entretenir des relations avec eux, il a définitivement coupé les ponts, sa mère étant une épouvantable mégère assoiffée d'argent, dénuée de tout instinct maternel.
Sa vraie famille est là : ses amis Gabe et Jace et leurs compagnes Mia et Bethany.Avant que Jace tombe fou amoureux de Bethany, Ash et lui avaient l'habitude de se partager leurs compagnes, et Ash ne sait désormais pas s'il pourra fonctionner hors du cadre de ces "plans à trois".
Il est certainement le plus intransigeant, présomptueux et arrogant des trois copains, et ce n'est pas peu dire...
Les événements qu'il va déclencher seront à la hauteur de son caractère, et Maya Banks nous donne des rebondissements plus brutaux que dans les tomes précédents (non, je ne parle pas du sexe; enfin...pas que du sexe ^^).
Au début du roman, Ash se sent un peu mélancolique, il ne sait pas trop bien ce qui l'attend dans sa vie privée : ses deux amis sont casés et donc moins disponibles, il n'envisage pas de les suivre dans une relation régulière, et sa famille le harcèle à nouveau.
C'est dans cet état d'esprit que son regard est attiré par une jeune femme, au parc : elle est absorbée par le dessin qu'elle est en train d'exécuter. Il la trouve sublime, et ne manque pas de remarquer, contrarié, qu'elle porte le symbole de son appartenance à un dominateur.
L'auteur se sert du même schéma pour ces trois romans : le mâle voit la femelle, veut la femelle, fait tout pour l'avoir, se plante magistralement au moment où tout va pour le mieux, pleurs et souffrances, repentir, guimauve et happy end. J'ai failli oublier : tout cela assaisonné de maintes parties de jambes en l'air dignes d'un bon porno avec tendance bondage/SM. Je parais réductrice ? Certes. Et pourtant, les tomes précédents m'ont plu, et celui-ci aussi.
Je pense que cela tient en grande partie à la personnalité de Jodie, qui n'a rien d'une proie facile : c'est une femme indépendante qui reconnaît son goût pour la soumission et est prête à l'explorer avec un partenaire dominateur. J'ai bien aimé Jodie, sa façon de s'habiller, son tatouage, ses peintures, bref elle a plus d'épaisseur que les personnages féminins précédents de la saga (en fait, c'est allé crescendo depuis la transparente Mia du tome 1).
Et même si le schéma reste le même, l'histoire m'a quand même intéressée, j'étais curieuse voir comment ils allaient se dépatouiller de leurs soucis.
Donc, est-ce que ça vaut la peine d'aller jusqu'au tome 3 ? Si vous avez apprécié le 1, si vous aimé la littérature (très) coquine à tendance dominant/dominé, si vous avez besoin d'un break avec des romans sympas, légers et vite lus, alors oui, ça vaut le coup.
Ce que l'on a appris dans les tomes précédents, c'est que bien qu'issu d'une famille fortunée, Ash a tourné le dos à ses parents parasites et oisifs, montant son entreprise en ne leur devant pas un seul dollar. Après avoir tenté d'entretenir des relations avec eux, il a définitivement coupé les ponts, sa mère étant une épouvantable mégère assoiffée d'argent, dénuée de tout instinct maternel.
Sa vraie famille est là : ses amis Gabe et Jace et leurs compagnes Mia et Bethany.Avant que Jace tombe fou amoureux de Bethany, Ash et lui avaient l'habitude de se partager leurs compagnes, et Ash ne sait désormais pas s'il pourra fonctionner hors du cadre de ces "plans à trois".
Il est certainement le plus intransigeant, présomptueux et arrogant des trois copains, et ce n'est pas peu dire...
Les événements qu'il va déclencher seront à la hauteur de son caractère, et Maya Banks nous donne des rebondissements plus brutaux que dans les tomes précédents (non, je ne parle pas du sexe; enfin...pas que du sexe ^^).
Au début du roman, Ash se sent un peu mélancolique, il ne sait pas trop bien ce qui l'attend dans sa vie privée : ses deux amis sont casés et donc moins disponibles, il n'envisage pas de les suivre dans une relation régulière, et sa famille le harcèle à nouveau.
C'est dans cet état d'esprit que son regard est attiré par une jeune femme, au parc : elle est absorbée par le dessin qu'elle est en train d'exécuter. Il la trouve sublime, et ne manque pas de remarquer, contrarié, qu'elle porte le symbole de son appartenance à un dominateur.
L'auteur se sert du même schéma pour ces trois romans : le mâle voit la femelle, veut la femelle, fait tout pour l'avoir, se plante magistralement au moment où tout va pour le mieux, pleurs et souffrances, repentir, guimauve et happy end. J'ai failli oublier : tout cela assaisonné de maintes parties de jambes en l'air dignes d'un bon porno avec tendance bondage/SM. Je parais réductrice ? Certes. Et pourtant, les tomes précédents m'ont plu, et celui-ci aussi.
Je pense que cela tient en grande partie à la personnalité de Jodie, qui n'a rien d'une proie facile : c'est une femme indépendante qui reconnaît son goût pour la soumission et est prête à l'explorer avec un partenaire dominateur. J'ai bien aimé Jodie, sa façon de s'habiller, son tatouage, ses peintures, bref elle a plus d'épaisseur que les personnages féminins précédents de la saga (en fait, c'est allé crescendo depuis la transparente Mia du tome 1).
Et même si le schéma reste le même, l'histoire m'a quand même intéressée, j'étais curieuse voir comment ils allaient se dépatouiller de leurs soucis.
Donc, est-ce que ça vaut la peine d'aller jusqu'au tome 3 ? Si vous avez apprécié le 1, si vous aimé la littérature (très) coquine à tendance dominant/dominé, si vous avez besoin d'un break avec des romans sympas, légers et vite lus, alors oui, ça vaut le coup.
