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EAN : 9782070339341
240 pages
Gallimard (31/08/2006)
3.78/5   201 notes
Résumé :
"Il était là, le con ! Rond comme un bidon. Entouré d'une flopée d'ivrognes encore plus saouls que lui. Je ne l'avais jamais vu en ville. J'ai demandé au Gus qui c'était. Il n'en savait rien. J'ai recommandé une bière. Le type se vantait. Il ne parlait que de son pognon. Il en avait, puisqu'il payait les tournées en sortant de sa poche des poignées de billets. Il refusait la monnaie. Il s'y croyait. Le con. Ah, le con ! Le Gus m'a dit qu'il était déjà saoul en arriv... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (50) Voir plus Ajouter une critique
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Il s'agit peut-être du titre le plus emblématique de l'oeuvre de Franz Bartelt, une lecture à peu près inclassable tant elle est décalée, que ce soit au niveau des dialogues ou encore du scénario, un pur régal pour qui apprécie la prose et l'humour de l'auteur, ce qui, vous l'avez deviné est mon cas.
Un auteur qui est un peu le Brussolo du récit déjanté et humoristique, c'est le meilleur compliment que je pourrais faire tant j'aime ces deux auteurs.
Le narrateur est un homme "basé sur l'idée de gauche" comme il aimera le rappeler tout au long de l'histoire, un escroc allergique à l'idée de travailler mais aussi et contre toute attente un poète expert en alexandrins, un cocktail déroutant et particulièrement réjouissant.
Cette histoire qui est en partie un huis clos m'a séduit par ses dialogues "hors sol" et pourtant d'une grande pertinence, si vous aimez la psychologie et l'humour décalé vous allez être servi comme jamais, si vous aimez les personnages retors et pervers, vous allez adorer le "con", l'autre personnage du roman qui se révèle carrément hors compétition.
L'intrigue est assez fabuleuse même si le thème de la séquestration n'est pas franchement original, ici les échanges entre le geôlier et son captif m'ont captivé sans peine, car le plus important c'est que l'histoire tient vraiment en haleine, et que l'attente du dénouement sera largement récompensée tant il est inattendu et stupéfiant.
L'histoire commence quand notre narrateur escroc pense pouvoir se renflouer facilement et sans risque en suivant un homme ivre et plein aux as, un "con" tellement saoul qu'il décide de s'introduire chez lui et profiter de son sommeil d'ivrogne pour agir à sa guise et surtout sans risque.
Je vous laisse découvrir la suite si le coeur vous en dit, dans ce cas je vous promets une lecture mémorable car que l'on aime ou pas, cette histoire se classe dans la catégorie "inoubliable".
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Karine, elle est de droite : le flouze ça l'excite. Son compagnon le narrateur s'en tape, lui à des idées de gauche et un gros poil à la main...droite. Bon, c'est rare mais ça arrive, quand il ramène UNE PATATE à la maison, elle monte illico au rideau...le grand numéro. Alors forcément quand un jour un con au bistrot, bourré comme un coing, crache qu'il a un tas de pognon au chaud chez lui, il le raccompagne...
Alors là chapeau à Franz Bartelt qui nous sort du dessous de comptoir un roman noir déjanté bien arrosé de tirades argotiques de sa composition, de situations absurdes, de citations à la pelle, que dis-je au bulldozer. Les personnages sont de sacrés acrobates. Elle, Karine dure et sensible comme un corps au pied pour son homme de gauche qui passe son temps à se jeter des verres en alexandrin avec brio et à se mettre dans des situations et des états pas possibles au bistrot et ... chez un con qui a plus d'un tour dans son chapeau !
Franz Bartelt roule sa bosse et sa prose.
Le jardin du bossu, il est drôlement bien ratissé.
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Un mot pour ce roman : jubilatoire !
J'en souris encore ...
Franz Bartelt nous offre une fresque déjantée de la vie d'un petit voyou ordinaire qui , s'abritant derrière une idéologie gauchisante , va s'autoriser à se procurer de l'argent facile pour garder l'amour de sa belle .
Mais, bien sûr , tout va se compliquer et notre tendre voyou amoureux va se retrouver en bien mauvaise posture.
Et là , on va suivre son aventure au quotidien en se délectant de ses considérations percutantes dans un style argotique ou parfois simpliste qui , paradoxalement parvient à servir une analyse fine et sensible .
Acerbes ou cyniques , les réflexions sur le rapport de l'amour et de l'argent rendent notre héros touchant et on veut croire à sa sensibilité de poète.

Bon , parfois , on peut malgré tout regretter quelques élucubrations qui se noient dans une philosophie de comptoir , ce n'est quand même pas du Audiard !
Mais , le rebondissement se fait rarement attendre et le roman retrouve vite son rythme et sa folie .
Notons aussi au passage , que le suspense à un moment se pimente d'érotisme et même là , bien malin qui peut garder son sérieux !

Dans ce roman , j'ai parfois vu poindre l'ombre de Paasilinna ...
Un très bon moment de détente.
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Décidément, cet auteur est totalement frappadingue.

Rencontré à Arras le premier mai dernier, il m'avait pourtant fait l'impression d'un homme aimable, érudit et modeste.
Mais il confirme une nouvelle fois avec le jardin du bossu - son livre le plus vendu à ce jour, même s'il est en passe d'être rejoint par Hôtel du grand cerf - qu'il est complètement barré.
Ses romans font tous preuve d'excentricité, mais on atteint ici des sommets dans l'humour décalé et absurde.

Karine Giébel a récemment dénoncé l'esclavage moderne dans son roman Toutes blessent, la dernière tue. Un livre extrêmement dur et cruel qui nous prend aux tripes et nous arrache quelques larmes.
Quand Franz Bartelt évoque à son tour la domesticité de nos jours, l'histoire prend rapidement une tournure tellement loufoque que ce sont nos muscles zygomatiques qui sont cette fois bien davantage sollicités.

Le jardin du bossu, c'est l'histoire de la rencontre de deux hommes que tout semble opposer.
Le narrateur est assez prétentieux, un anti-héros persuadé de son intelligence et de sa débrouillardise.
Un homme de gauche, profondément pour le partage des richesses.
"Je suis tellement en faveur des pauvres que pour rien au monde je ne voudrais devenir riche, même par des moyens légaux."
Alcoolique, poète, passé à quelques reprises par la case prison, il est aussi au chômage et le travail c'est de toute façon pas trop son truc.
"C'est parce que je connais le code du travail que je n'ai jamais tellement tenu à travailler."
Alors pour vivre, pour payer ses bières et surtout pour satisfaire sa moitié, Karine, pour qui l'argent a des vertus particulièrement aphrodisiaques, il lui arrive de commettre quelques menus larcins.
"Il ne s'agit pas de voler pour voler ou de voler pour s'enrichir, mais de voler pour mieux répartir les richesses, pour établir une société plus juste et une justice plus sociale."
Alors lorsqu'un soir au bar il verra un type deux fois plus bourré que lui, respirant la richesse par tous les pores de la peau, il suivra ce con jusque chez lui.
"Le con. Il n'y a pas d'autre mot. le con."
C'est de l'argent facile qui lui tend les bras.
Avec beaucoup de malice, notre couguar se faufilera dans la maison du con, profondément endormi.
Parce que oui, notre homme use et abuse des métaphores animales. Il est aussi habile, malin, rusé, dépourvu d'émotions et patient qu'un couguar.
"Je suis né sous le signe des félins. Rien ne m'échappe."
Et pourtant, rien ne va se dérouler comme il l'avait prévu.

Son expédition était pourtant bien partie. Les tiroirs recelaient des montagnes de billets.
"Le pognon, c'est de la poésie à l'état pur, du diamant, des perles de pluie venues d'un pays où il ne pleut pas."
Mais le con - de son vrai nom Jacques Cageot Dinguet - se présentera face à lui de façon impromptue, une arme à la main.
Notre voleur amateur, un peu moins fier subitement, proposera alors à son hôte de lui restituer son butin et de se quitter bons amis.
Jacques a l'air d'un homme raisonnable, calme, gentil, altruiste ... et absolument pas saoûl.
Mais le propriétaire des lieux, peut-être pas si con finalement, a tout manigancé, et ses projets sont bien différents.
En échange de tout cet argent qu'il vient d'amasser, notre prédateur va devoir faire le ménage chaque matin.
Il deviendra un otage, un docile serviteur.
Et sa première tâche sera de creuser un trou à la cave pour y enterrer son prédécesseur, dont le cadavre frais gît encore dans une pièce à proximité.
Il sera certes retenu prisonnier, mais il aura accès s'il le souhaite à la salle de gym, à la bibliothèque, à la télévision qui lui proposera notamment pas moins de sept cent cinquante heures de vidéos de téléachat.
Afin de ne pas finir à son tour au sous-sol, notre désormais victime jouera le jeu de son ravisseur, en attendant qu'une opportunité se présente.
Et un lien très fort s'établira entre le pauvre de gauche et le bourgeois de droite, en une parodie déjantée du syndrome de Stockholm.
"Je crois que je n'étais pas loin d'être fier d'avoir été enlevé par un type pareil."
"Je me suis défendu de le trouver sympathique. Mais il m'attirait, il m'inspirait confiance."

En effet les deux hommes vont tantôt s'affronter, tantôt se respecter, et nous offrirons tout au long du roman des dialogues absolument hallucinants.
"Je ne veux surtout pas vous déplaire, vous êtes mon invité."

Publié en série noire en 2004, le jardin du bossu n'est pourtant pas à proprement parler un polar ou un roman noir.
Certes, on y retrouve un homme prisonnier d'un sociopathe dont la cave ressemble à un charnier ... Mais c'est au final juste une toile de fond, une situation qui serait absolument horrible chez n'importe quel autre auteur mais qui pour Bartelt n'est qu'un décor de théâtre dans lequel il puise les idées les plus extravagantes et surréalistes.
Chaque personnage est une farce ambulante, qu'il s'agisse des deux principaux protagonistes ( on se délecte de la mauvaise foi du narrateur ) ou des autres intervenants, notamment féminins.
La Culture avec un C majuscule côtoie les réflexions les plus absurdes ( "Il y a du compassionnel dans la diarrhée." ), et la politique devient d'une simplicité enfantine.

Comme il le fera quelques années plus tard de bien plus belle façon encore dans La fée Benninkova, les quelques passages érotiques se combinent souvent à la poésie.
Tellement d'auteurs ne parviennent pas à décrire une relation sexuelle sans devenir scabreux.
Bartelt, lui, parvient à détailler la sodomie ou la fellation sans aucune vulgarité, avec toujours cette impression de ne pas y toucher.
"D'ailleurs c'est dans une surprise comme celle-là que nous avons marché sur Sodome, un soir, je me souviens. Jusque-là, elle refusait."
"Le moelleux de sa langue se mêlait à la fermeté gingivale, un vrai régal, comme le sucré-salé en cuisine, ou le chaud-froid."

Si le roman n'apporte pas grand chose en tant que tel, l'histoire parvient à intriguer suffisamment pour nous tenir en haleine et on se demande forcément comment cet enlèvement va se terminer.
Il faudra d'ailleurs attendre la fin, surprenante, pour connaître la signification de l'étrange couverture.

Mais quand on lit l'auteur ardennais, c'est avant tout pour se régaler de son style inimitable et de son humour si particulier.
Et il était tout particulièrement inspiré cette fois-ci !


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Gérard Lambert, celui qui faut pas gonfler quand il répare sa mobylette, j'ai toujours pensé que si je le croisais dans la rue, je le reconnaîtrais au premier coup d'oeil. le narrateur de ce roman délicieusement déjanté ? Je le visualise aussi sur l'écran blanc de mes nuits noires. Un drôle de loustic, une grande gueule « basée sur l'idée de gauche » mais pas franchement SandrineRousseau compatible, un pied nickelé 2.0 qui se pique d'être poète, spécialisé dans l'alexandrin. du genre "Ses zèles de gérant l'empêche d'Euromarché". Lui, l'Alexandre le malchanceux… Un peu Noiret, un peu Bébel, un peu Jugnot version Père Noël… Un anti-héros absolu pour lequel le lecteur d'ailleurs n'aura ni empathie, ni répulsion tellement, c'est sûr, il est d'ailleurs… (Mes excuses aux fans de Bachelet !) Et les autres aussi ont un visage, une voix… Karine, Jacques, et les autres.
En revanche, pendant tout le livre, je m'interrogeais sur l'identité du bossu, pensant qu'il s'agissait peut-être du lecteur, plié sur son livre, fauché à chaque page par une saillie bien sentie, dans tous les sens que les dictionnaires donnent à ce nom commun. L'humour dans le polar, parfois ça lasse… Surtout l'humour salace et là, autant prévenir les oreilles sensibles, le jardin du bossu n'est pas ChristineBoutin compatible.
Pourtant, jusqu'à la chute, les zygomatiques ont tenu bon et ont rempli leur rôle. La chute, parlons-en d'ailleurs : le polar qui repose sur la truculence, sur des personnages décalés, qui s'affranchit des codes ordinaires de la littérature policière, ce polar-là, il a parfois une petite faiblesse et le lecteur exigeant le trouvera mou du genou dans la dernière ligne droite. Ici, le talon d'Achille Zavatta a tenu bon. le Jardin du Bossu réserve une belle surprise à ceux qui auront eu la bonne idée de découvrir ce bijou et qui, se surprendront peut-être à fredonner « une histoire de faussaire » sans trop savoir pourquoi.
Il faut se méfier des clowns. Sous la gouaille, le maquillage et les habits grotesques, le clown dynamite les conventions avec ses fleurs en plastic. Il nous tend un miroir. Ce moraliste joyeux, ce libertaire grimé, c'est un Bakounine qui chausse du 58…
Monsieur Loyal se nomme Franz Bartelt, et j'ai comme idée que je risque fort de prendre rapidement un billet pour un autre spectacle…
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Citations et extraits (25) Voir plus Ajouter une citation
Il haussait le ton pour bien spécifier que le produit était nouveau. Et il interrogeait les utilisateurs qu'il avait invités sur le plateau. Des clients satisfaits du téléachat.
"Ca fait cinq ans que je me sers de ce nouveau produit", ânonnait la bonne femme dans le micro qu'il lui tenait sous le nez.
C'est inhumain ce que les gens sont prêts à subir pour passer à la télévision. Ils épluchent d'un doigt, ils lavent facile à la main, ils fabriquent des croissants rien qu'en glissant des boules de pâte dans le four, ils repeignent les plafonds sans en mettre partout, ils se blanchissent les dents et se rincent l'intérieur des narines avec des machines extraordinaires. Ils ont fait tout cela, et ils témoignent, le petit doigt sur la couture, tout roses de bonheur, avec la certitude d'avoir enfin réussi leur vie. Jacques Cageot-Dinguet ne tarissait pas. Il se débrouillait comme un champion, maniait le sourire, la phrase élogieuse, le compliment à tiroirs. Il feignait l'émerveillement devant cet article qu'il vendait depuis des années. Il n'en revenait pas. Il disait : "C'est magique !"Il disait : "Epatez vos amis !" Il disait " "Dépêchez-vous!" Il n'y en aura pas pour tout le monde !" Il disait : "Satisfait ou remboursé !" Il ne prononçait que des paroles d'un classicisme parfait. Par coeur, il connaissait ses prières. Un génie, je n'hésite pas à l'affirmer. J'en avait des frissons, les larmes aux yeux. Je crois que je n'étais pas loin d'être fier d'avoir été enlevé par un type pareil.
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Karine ,elle possède les bonnes manières sur le bout des doigts.Elle est sortie major quasiment de l'école ménagère. En cas de besoin ,elle saurait où placer l'évêque et l'académicien si ces gens-là venaient manger à la maison.On lui a appris.Elle a retenu.En plus ,comme elle veut pas perdre la main elle se perfectionne en lisant les livres de Nadine de Rothschild un genre de Léon Zitrone du savoir -vivre, mais capable ,elle, de se goinfrer la soupe sans faire un bruit de chasse d'eau en cours de remplissage.
Un exemple : Karine ,elle m'oblige à bouffer le bouillon cube aux vermicelles avec le bout de la cuillère. Le bout.Une gymnastique ingrate ,disons - Le,car le geste n'est pas naturel.Depuis mon plus jeune âge ,je me sers du côté de la cuillère. En fils du peuple.Quand on se caille une bisque d'homard aux plantes exotiques je comprends qu'on y aille du bout de la cuillère.Mais le bouillon cube vermicelles ,honnêtement ,ça ne demande pas autant de précautions. Surtout que je rajoute de la biscotte cassée et du camembert.Des fois même une bonne larme de vin rouge ,pour affiner le goût. Manger de la pâtée avec des lėgèretés de cerisier en fleur,non,merci.Je le fais pour Karine pour l'amour de Karine,pas par savoir-vivre.
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Le romantisme, le vrai, c'est une affaire de mecs à pognon. Faut les habits avec les dentelles. Faut le vocabulaire. Faut le sens des rimes. Faut savoir tousser, cracher le sang, se retenir de péter ou connaître les manières qui permettent de péter sans bruit et en dispersant l'odeur par des menuets improvisés. En plus, il faut savoir boire sans dire de conneries à partir du troisième verre. Ca, c'est pas facile.
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Réussir la gloire n'est pas mieux que de réussir l'anonymat. En tant qu'anonyme volontaire, n'ayant jamais cherché à me faire connaître, j'estime avoir réussi mon anonymat. Personne ne me connaît.
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[Karine] se contrarie facilement. Soit que je rentre tard et trop bourré pour la reconnaître quand je la croise dans le couloir. Soit que j'ai bu le pognon qu'elle avait prévu pour la bouffe. Vous savez, les femmes, c'est plutôt matérialiste. L'homme est rêveur. C'est pour ça qu'il boit. La femme, elle, elle mange. Le monde de la femme est solide. L'homme, il marche sur l'eau.
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