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EAN : 9782020323222
122 pages
Seuil (30/08/1999)
4.38/5   52 notes
Résumé :
L'histoire de l'adolescence des frères Baudoin, Edmond et Piero. Un décor : Nice et sa région. Une jeunesse, ou plutôt deux, liées puis séparées.

Deux enfances pauvres et un même talent pour le dessin..
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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Seulement un an et demi sépare Edmond de son petit frère, Piero. Aussi, sont-ils inséparables et passent -ils leur temps toujours ensemble. Loin des autres. Tout gosses, ils s'amusaient avec les feuilles mortes des platanes. Ils en faisaient un énorme tas, jusqu'à ce qu'ils ne puissent plus avancer. Ensuite, l'un à côté de l'autre, ils dessinaient la plus belle des feuilles et comparaient leurs croquis. C'est grâce à Piero qu'Edmond a appris à dessiner. Aucun ne se rendant compte qu'il était doué. D'autant que, Piero atteint de coqueluche, les deux frères n'étaient pas scolarisés et ne fréquentaient pas les autres enfants de leur âge. le dessin leur permettait de s'évader...

Un petit village près de Nice. Deux frères, Pierre dit Piero et Edmond dit Momon. Une enfance rythmée par les jeux, les balades dans la campagne, l'imagination fertile et le dessin. Il flotte dans cet album autobiographique un doux parfum de nostalgie et l'on ressent un amour profond et sincère qui unit Edmond et Piero. Peu à peu, l'on s'éloigne de l'enfance pour retrouver deux adolescents mais, là encore, le dessin, perçu différemment, est omniprésent. Un album qui met en parallèle deux destinées. Edmond Baudouin nous offre un album plein de sensibilité et décrit, avec finesse, le rapport ténu avec son frère et l'amour du dessin. le noir et blanc ainsi que le trait, parfois hachuré, siéent à cette ambiance d'un autre temps...
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Et pourquoi trop s'appliquer, c'est tuer la vie ?
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Ce tome contient une histoire complète, indépendante de toute autre, dont la première édition date de 1998. Il a été réalisé par Edmond Baudoin, pour le scénario et les dessins. Il s'agit d'une bande dessinée en noir & blanc de cent-vingt pages.

Au temps présent, Edmond marche dans une rue en regardant les feuilles tomber à l'automne. Aujourd'hui, les feuilles qui tombent des platanes sont grises comme un ciel triste. Il lui semble qu'avant, elles étaient pleines de couleurs. Avant, quand avec Piero son frère, ils poussaient les feuilles mortes devant eux, jusqu'à ce que le tas amoncelé les empêche d'avancer. Ensuite ils sautaient dedans. Ensuite, ils choisissaient les deux plus belles pour les dessiner. C'est avec son petit frère Piero qu'il a appris à dessiner. Ils étaient toujours ensemble. À Nice où leur père travaillait, à Villars-sur-Var, le village de leur mère, leur village. Dans une étendue d'herbe, les deux enfants font des bateaux. Avec un Opinel, ils sculptent des écorces de pin, et dans un canal d'arrosage, ils leur font faire des courses. le premier s'appelle Geronimo, le second Sitting-Bull. Les deux enfants courent pour suivre les bateaux filant sur l'eau. Ils voient passer une soucoupe volante dans le ciel. La soucoupe s'écrase plus loin et une colonne de fumée s'élève dans le ciel. Ils courent pour aller voir. Ils arrivent au bord du cratère et se couchent dans l'herbe pour observer sans être vu. Piero se retient de tousser. Il y a un extraterrestre humanoïde à côté de la soucoupe. Piero décide d'aller voir.

L'extraterrestre reste assis et l'accueille amicalement. Il lui explique la situation, en lui parlant par transmission de pensée. L'essence des soucoupes volantes, c'est le rêve et sa soucoupe est en panne de rêve. Depuis tout à l'heure, il essaye de rêver, mais il n'y arrive pas. Mais Piero est un enfant, et l'extraterrestre est sûr qu'il est plein de rêves. L'enfant essaye de rêver et le plein de la soucoupe est ainsi fait. Mais avant de partir, l'extraterrestre doit supprimer de la mémoire de l'enfant ce qu'il vient de voir. Il règle son pistolet anti-mémoire et… Piero se réveille sans souvenir de ce qu'il s'est passé. Edmond le retrouve, lui parle de la soucoupe et lui montre les dessins dans le cahier. Piero aimait dessiner les voitures ; Edmond aimait mieux les chevaux. Quand Piero a eu cinq ans, il en avait six et demi. Ils ne savaient pas que la télévision avait été inventée, que certains l'avaient déjà, et ils n'avaient pas connu la maternelle. Ils ne savaient pas encore qu'ils dessinaient mieux que les autres enfants de leur âge. Ils ne les connaissaient pas, ils étaient toujours les deux ensemble. Ils ne savaient pas que c'était à cause d'une coqueluche qu'ils dessinaient bien. Piero avait eu une coqueluche, mais il toussait toujours. Et il était souvent malade. Ils étaient beaucoup, dans une maison qui avait peu de place. Ce qui fait qu'avec Piero, ils dormaient dans le même lit. Aujourd'hui, on peut penser que dormir avec son frère, ce n'est pas très bien. Pour eux c'était merveilleux.

Plonger dans un récit de Baudoin constitue une aventure imprévisible, que le lecteur soit familier de son oeuvre ou non. Si c'est le cas, il connaît déjà la qualité fusionnelle de la relation entre lui et son petit frère, sinon il le comprend rapidement. Dans le premier cas, il sait qu'Edmond a voué une admiration intense à Piero, sinon il suppose qu'il va découvrir un récit intimiste et biographique sur ce thème. Dans les deux cas, les surprises abondent. Pour commencer, les dessins ne sont pas réalisés au pinceau comme la plupart des bandes dessinées de l'auteur, mais à la plume et à l'encre. Cela donne une impression un peu griffée, plus enfantine qu'abrasive ou âpre. La première séquence conforte le lecteur dans cette impression : elle s'avère très linéaire, avec un événement survenant après l'autre, comme dans l'esprit d'un enfant, et une imagination assez naïve avec cette soucoupe volante. le lecteur se dit que la narration s'avère un brin basique et se demande si la suite va être du même acabit. La rencontre avec l'extraterrestre reste dans un registre un peu naïf avec ce moteur qui carbure aux rêves.

Puis l'auteur passe à une autre facette de sa relation avec son petit frère Piero : la maladie de celui-ci qui avait contracté une coqueluche et qui souffrait encore de problèmes respiratoires. Les dessins sont alors un peu plus chargés en encre, à la fois parce que cette séquence se déroule en intérieur, à la fois parce que l'alitement de Piero rend l'ambiance un peu triste, comme toute maladie. Les dessins redeviennent beaucoup plus aérés alors que les deux frères sont couchés dans le même lit, qu'ils dorment en partageant le même rêve, celui de voler ensemble au-dessus de la Terre. le lecteur éprouve la sensation de se retrouver devant la séquence animée servant d'ouverture et de fermeture d'antenne pour la chaîne Antenne 2, diffusé entre 1975 et 1983, réalisé par Jean-Michel Folon (1934-2005), avec cette même qualité onirique, le temps des pages trente-cinq à trente-sept. Les souvenirs continuent avec la pratique du dessin par les deux frères, en particulier leur jeu préféré : prendre une grande feuille de papier et chacun dessine un château fort avec un drapeau, l'un à gauche, l'autre à droite. Un pont relie les deux forteresses et sous le pont une rivière infestée de requis ou de crocodiles suivant les jours. Puis chaque frère dessine des soldats du côté de sa page, en train de tirer à l'arc, ou d'être atteint par une flèche, en en rajoutant tant et plus, jusqu'à ce que tout devienne ratures et traits informes, les obligeant à arrêter.

Cette séquence de bataille sur une grande feuille en format paysage se déroule sur trois doubles pages (p. 40 à 45), chacune avec un unique dessin en double page dessiné de manière enfantine. Sur la deuxième, l'auteur précise qu'ils ne se servaient pas de gommes, qu'ils ne se sont jamais beaucoup servi de gommes. le lecteur se rend compte qu'il vient d'assister incidemment à la formation d'une des caractéristiques de dessin d'Edmond Baudoin. La même chose se reproduit quelques pages plus loin : Edmond évoque le fait que son frère et lui recopiait également les photos des calendriers de la poste, et celles en noir & blanc des journaux. Ils fixent longuement ces photographies et finissent par distinguer qu'elles sont plein de petits points et que quand ces points se collent, ça devient noir. Il teste alors de simplifier les photos de plus en plus pour voir à quel moments ses gribouillis noirs ne sont plus que des gribouillis. Il vient ainsi d'expliquer, avec deux dessins, le processus complexe de représentation par des traits et des taches, mettant en jeu le processus de reconnaissance et d'identification par l'esprit du lecteur. Un peu plus loin, Edmond voit des dessins d'Alberto Giacometti (1901-1966). Il comprend qu'il y a un homme qui ne se posait pas seulement la question de ce l'oeil voit, mais aussi de ce qu'il y a derrière les yeux. Il devient évident pour lui que toute une vie ne suffirait pas pour comprendre. le lecteur assiste ainsi donc en toute simplicité à sa démarche artistique pour apprendre et faire l'apprentissage de la représentation, ni plus ni moins qu'un commentaire sur sa façon de concevoir ses dessins. À quel moment des traits, des taches, des hachures ne sont plus de l'herbe, des pierres, un arbre, des branches… Et pourquoi trop s'appliquer, c'est tuer la vie ?

À d'autres moments, la composante biographique, présente tout du long, reprend sa place au premier plan. Toutefois, le lecteur a bien saisi qu'elle est indissociable de son apprentissage artistique, qu'il s'agit d'une partie intégrante. Il assiste ainsi à l'arrivée de l'adolescence, à la prise d'importance des femmes dans la vie des deux frères. S'il est déjà familier des oeuvres de l'auteur, le lecteur sourit car il sait que c'est une composante essentielle dans sa vie et dans ses bandes dessinées. Il se demande dans quel sens va évoluer la relation fusionnelle des deux frères, si elle va survivre aux copines, à l'éloignement des études dans des lieux distants. Il sait peut-être déjà que Piero finira par abandonner sa carrière artistique. Il en découvre ici la raison. Il assiste également à un terrible accident de la route, avec des blessures graves. En voyant le corps du jeune sur le capot de la voiture, il pense également à cette interrogation chez Baudoin : comment est-il possible qu'en s'éteignant, la vie emporte avec elle toute la personnalité d'un être humain ? Pourquoi le corps inanimé n'en contient plus rien ?

En découvrant le titre, la quatrième de couverture, éventuellement un résumé, le lecteur ne peut pas s'empêcher de se faire un film de se faire une idée a priori du contenu de la bande dessinée. Pour chaque ouvrage d'Edmond Baudoin, il a à la fois entièrement raison sur sa nature, et en même temps il ne peut pas imaginer ce qu'il va découvrir. Pour celui-ci, cela commence avec le mode de représentation choisi : d'un côté il y a bien ces dessins pas forcément jolis mais toujours facilement lisibles et vivants, de l'autre côté l'artiste n'utilise pas le pinceau mais la plume et il varie à deux ou trois reprises la tonalité globale de ses représentations. Sans surprise, la narration développe des éléments biographiques, très personnels, même s'ils peuvent être un peu enjolivés ou modifiés pour donner une histoire plus cohérente. de manière inattendue, le créateur rend hommage à d'autres artistes et il explique le cheminement artistique qui fut le sien, sa façon d'envisager la représentation de ce qu'il voit. Comme d'habitude, la lecture de cette oeuvre de Baudoin apporte ce que le lecteur attend, mais aussi beaucoup plus, dans un récit qui donne l'impression d'avoir été réalisé au fil du vagabondage de sa pensée, mais qui offre une cohérence globale d'une rigueur insoupçonnable. Indispensable, ne serait-ce que parce que l'auteur tient son pari de parvenir à continuer l'enfance.
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C'est un récit en noir et blanc, au graphisme brut, directement au crayon, les nuances sont traitées en hachurées. Cela raconte la complicité entre deux frères dans les années 50, doués pour le dessin, et c'est le dessin qui forge cette duplicité, tout en les éloignant des autres. C'est un témoignage autobiographique, très fort et très touchant, et aussi un éloge de la pratique du dessin. C'est seulement ma deuxième incursion dans l'univers de Baudouin et je suis encore très enthousiaste, je ne compte pas m'arrêter là.
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Piero c'est l'histoire de l'enfance de l'auteur avec son frère. Une autre époque mais surtout une superbe complicité entre ces deux là dont la passion c'est le dessin depuis leur plus jeune âge. C'est Piero qui fera les études pour être dessinateur et c'est Baudoin ( Edmond dit momon ) qui en fera son métier.
Intéressant de se replonger dans ces années là - il est né en 1942 - et de découvrir le cheminement de ces 2 gamins, pas doués pour grand chose mais animés d'une passion.
Une bande dessinée en noir et blanc ( comme souvent) touchante et sincère.
Un beau portrait que ce Piero. J'ai vraiment aimé.
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Dans la famille Baudouin, je demande le frère cadet, Pierre dit Piero.
Le frère ainé d'un an et demi, Edmond dit Momon.
Prenez ces deux personnages dans les années 1950, dans un petit village près de Nice, et donnez leur le don du dessin ...
Tous les deux atteints d'une coqueluche, ils n'iront pas en école maternelle, auront quelques difficultés en primaire, jusqu'à l'entrée du lycée. Mais ils ont découvert le pouvoir du dessin sur leurs camarades … L'un entraînant l'autre, l'autre remplaçant l'un ...

Bienvenue dans une lecture autobiographique très tendre. le récit de deux frères, une relation étroite, la passion commune pour le dessin.

Lecture petit format pour un grand moment de sensibilité. le noir et blanc de Baudoin est talentueux, expressif et touchant.

Avec Piero, c'est entrer dans le parcours, leur histoire, la connaissance de l'auteur, respectueusement, tel un apprentissage d'une autre vie, je partage !

Retour sur son enfance, grandir, faire face aux autres, avec ses différences ... dessiner et ainsi donner libre cours à son imagination, pour une vie presque ordinaire.

Un lien fraternel, le goût du rêve, un banc d'école, le prof de sport, les premiers amours, l'accident de voiture, les choix professionnels, le temps qui passe, tout est là, dans ce temps de lecture avec Piero ... tout pour se retrouver !

Une ballade où deux frères grandissent et dont le dessin sert de refrain. C'est chouette !

Lien : http://alamagie-des-yeux-dol..
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critiques presse (2)
BulledEncre
12 décembre 2011
La réédition d’un album qui surprend par sa fraîcheur et son originalité. Une vraie leçon d’amour fraternel.
Lire la critique sur le site : BulledEncre
BoDoi
11 octobre 2011
A l’encre de Chine, d’un trait mouvant et vivant, savamment brouillon, Baudoin mélange admirablement des scènes réelles et imaginaires. Il parvient à captiver avec un récit très personnel, sensible et émouvant. Livrant ainsi une très belle chronique de l’art et de la fratrie.
Lire la critique sur le site : BoDoi
Citations et extraits (17) Voir plus Ajouter une citation
Aujourd'hui les feuilles qui tombent des platanes sont grises comme un ciel triste.
Il me semble qu'avant elles étaient pleines de couleurs.
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Dans la classe, ce qui m’intéressait le plus, c’était la fenêtre. Et surtout ce qui se passait de l’autre côté. Grâce à l’école, je suis devenu un grand spécialiste dans l’étude comparative du vol des pigeons, des moineaux des mouettes, ainsi que dans le mystère de la formation et de la disparition des nuages. Et quand le printemps revenait, toute mon attention se reportait sur les hirondelles et, surtout, les martinets, ces écrivains du ciel.
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Approche petit d’homme. N’aie pas peur. Tu vois, je te parle par transmission de pensée. Et toi, peut-être, petit d’homme, tu vas pouvoir m’aider ? L’essence des soucoupes volantes, c’est le rêve, et ma soucoupe est en panne de rêve. Depuis tout à l’heure, j’essaie de rêver, mais je n’y arrive pas. Mais toi, tu es un enfant ; je suis sûr que tu es plein de rêve. Tu veux bien essayer ?
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Dans la classe ce qui m’intéressait le plus c'était la fenêtre...
... et surtout ce qui se passait de l'autre côté.
Grâce à l'école, je suis devenu un grand spécialiste dans l'étude comparative du vol des pigeons, des moineaux, des mouettes.
... Ainsi que dans le mystère de la formation et de la disparition des nuages.
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Et tous les jours, on dessinait. Notre jeu préféré était de prendre une grande feuille de papier. Sur cette feuille, on dessinait chacun de notre côté, un château fort avec un drapeau. Un pont reliait les deux forteresses et sous le pont une rivière infestée de requins, ou de crocodiles suivant les jours. Quand après avoir tiré la langue et mâché nos crayons, les châteaux étaient terminés, la guerre pouvait commencer. On ne se servait pas de gommes. On ne s’est jamais servi beaucoup de gommes. Et les morts s’additionnaient aux morts. À la fin, tout devenait ratures et traits informes, on était obligés d’arrêter.
Commenter  J’apprécie          30

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