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Critique de Arthur409
Dès le début de ce roman on est happé par le style particulièrement vif et prenant utilisé par l'auteur : ‘est un peu du « roman-feuilleton » (avec coups de théâtre en fin de chapitre, et les chapitres se succèdent rapidement…), mâtiné de cinéma « caméra au poing ».
Au cours d'une presque banale agression dans le RER, Christian Kovak, médecin « issu des cités » dont le passé n'est pas totalement irréprochable, croit voir réapparaitre son épouse Djeen, laquelle a été assassinée 3 ans plus tôt, poussée sous le métro.
En même temps que Kovak remonte dans son passé à la recherche de la vérité, on suit en parallèle le parcours d'un personnage énigmatique, le Chien, tueur psychopathe qui se lance sur la même piste, et dont les motivations seront révélées au cours du récit.
Je laisse les lecteurs découvrir la suite, il me suffira de dire que ce roman ne nous laisse pas de répit. On passe très souvent d'un personnage à un autre, mais sans jamais perdre le fil de la narration. Les chapitres sont courts et s'enchaînent sans problème.
L'intrigue est bien imaginée, pas trop invraisemblable. le dénouement très « travaillé », rappelant un peu ceux des 2 livres de Michel Bussi que j'ai lus : c'est-à-dire que ce qui paraît évident est finalement balayé par de petits détails qui recadrent totalement la réalité.
Seuls les personnages principaux, Christian, Audrey et le Chien sont vus « de l'intérieur », pour les autres on ne sait d'eux que ce qu'ils livrent au cours de dialogues. Et pour Christian et le Chien tout n'est pas dit… jusqu'au dénouement ! Ce qui fait qu'après avoir terminé le livre, on a peut-être besoin de retourner lire certains passages !
Une remarque cependant : le psychopathe mystique vivant dans les égouts et les catacombes m'a beaucoup fait penser au personnage de « l'Homme Oiseau » rencontré dans Pandemia de Franck Thilliez, que j'avais lu juste avant…. Coïncidence… ou influence ?
En conclusion, c'est un thriller de très bonne facture que je recommande, et je vais sans doute m'intéresser prochainement aux autres romans de Patrick Bauwen.
Au cours d'une presque banale agression dans le RER, Christian Kovak, médecin « issu des cités » dont le passé n'est pas totalement irréprochable, croit voir réapparaitre son épouse Djeen, laquelle a été assassinée 3 ans plus tôt, poussée sous le métro.
En même temps que Kovak remonte dans son passé à la recherche de la vérité, on suit en parallèle le parcours d'un personnage énigmatique, le Chien, tueur psychopathe qui se lance sur la même piste, et dont les motivations seront révélées au cours du récit.
Je laisse les lecteurs découvrir la suite, il me suffira de dire que ce roman ne nous laisse pas de répit. On passe très souvent d'un personnage à un autre, mais sans jamais perdre le fil de la narration. Les chapitres sont courts et s'enchaînent sans problème.
L'intrigue est bien imaginée, pas trop invraisemblable. le dénouement très « travaillé », rappelant un peu ceux des 2 livres de Michel Bussi que j'ai lus : c'est-à-dire que ce qui paraît évident est finalement balayé par de petits détails qui recadrent totalement la réalité.
Seuls les personnages principaux, Christian, Audrey et le Chien sont vus « de l'intérieur », pour les autres on ne sait d'eux que ce qu'ils livrent au cours de dialogues. Et pour Christian et le Chien tout n'est pas dit… jusqu'au dénouement ! Ce qui fait qu'après avoir terminé le livre, on a peut-être besoin de retourner lire certains passages !
Une remarque cependant : le psychopathe mystique vivant dans les égouts et les catacombes m'a beaucoup fait penser au personnage de « l'Homme Oiseau » rencontré dans Pandemia de Franck Thilliez, que j'avais lu juste avant…. Coïncidence… ou influence ?
En conclusion, c'est un thriller de très bonne facture que je recommande, et je vais sans doute m'intéresser prochainement aux autres romans de Patrick Bauwen.
