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EAN : 978B01JNZSXUQ
CN Draenle (03/08/2016)
4.6/5   5 notes
Résumé :
Camille, 14 ans, déménage dans une nouvelle ville suite à la séparation de ses parents. Un nouveau départ qui n'a rien de facile. Elle parvient malgré tout à se faire des amis? mais pour combien de temps ?

Un roman sur le harcèlement scolaire et cyber.
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
J'ai dans ma PAL la plupart des livres de l'auteure, mais c'est avec celui-ci que je la découvre. J'ai choisi
ce roman dans le cadre de mon challenge Babelio dans l'item est : « environnement hostile ». Ce livre
correspond tout à fait à ce que je recherchais. J'ai pourtant lu de nombreux ouvrages traitant de ce sujet très grave. À chaque fois, je n'en suis pas sortie indemne. Cette fois-ci, Christine Béchar aborde le thème d'une façon différente… C'est l'élément qui a fait que j'ai adoré ce récit. Il s'agit de Camille, sa soeur Chloé, ainsi que leur mère qui déménagent à la suite d'une séparation. Les filles vont se retrouver à Grenoble alors qu'elles habitaient Valenciennes.
Nous allons suivre à travers la plume de l'auteur le calvaire de Camille qui est souvent surnommée
poil de carotte, ou bien Daysie. C'est une adolescente timide qui a du mal à s'intégrer. Dans ce nouveau
collège, toutes les portes vont se fermer, sur cette dernière, les unes après les autres. Puis comme par miracle elle va finir par se faire une amie nommée Manon. Est-elle vraiment une amie d'ailleurs ? Disons qu'elle va l'aider à se sentir mieux durant un temps… Puis elle va connaître un jeune homme nommé Clément, il dit l'aimer, elle y croit mais se rend bien compte que dans l'enceinte du collège, il ignore. Peut-elle faire confiance à ces personnes qui se disent être ses amis ? Pratiquement à toutes les pages, je me suis poser la question : « Ce n'est pas normal, il va se passer quelque chose… » J'ai ressenti que Manon
et Clément risquaient d'être « une bombe à retardement ». Me trompais-je ? Je l'ai fortement espéré.
À travers son récit Christine Béchar nous entraîne aux côtés de Camille, nous souffrons avec elle, nous
percevons quelques lueurs d'espoir. Des petits détails finissent par ouvrir les yeux de notre héroïne, et si cela n'était qu'une chimère ? C'est alors, qu'elle trouve du réconfort auprès de Quentin, son seul et véritable ami. La mère de ce dernier est lesbienne, un soir où Camille se trouve avec Quentin, elle va découvrir l'inacceptable à ses yeux. Que va-t-elle décider ? Partir vivre avec son père ? Fuir pour oublier,
Ou simplement pour réfléchir ? Personne ne peut répondre à cette question… La plume de l'auteure est fluide et agréable, elle maîtrise son sujet d'une main de maître. J'ai lu ce livre en une journée, même pas. Une fois ouvert impossible de le refermer, elle fait passer à travers son histoire
un message fort, dérangeant et pourtant si souvent traité. À la seule différence, que cette fois-ci je me suis
identifier à Camille si attachante et si malmenée par la méchanceté gratuite d'individus sans pitié.
Jusqu'au bout j'ai espéré le meilleur pour elle, Avais-je raison d'y croire ? Ce récit est percutant, poignant
nous alternons entre espoir et désillusions. Lequel des deux sentiments sera le plus fort ? Je vous laisse le soin de le découvrir en lisant ce roman qui pour moi est une pépite. J'en suis sortie chamboulée, à différents moments mon coeur s'est serré, à d'autres je me suis dit qu'enfin quelqu'un lui tendait la main. Seulement est-ce que cette main était solide et sincère ?
Un grand bravo à l'auteure pour avoir su traiter ce sujet dramatique avec brio.
En conclusion, je dirai que ce roman est très intéressant, il fait naître en nous énormément d'émotions.
C'est un très beau coup de coeur pour ma part. Je ne peux que le conseiller vivement.

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Je remercie l'auteur, Christine Béchar pour m'avoir proposé de lire cette nouvelle histoire. le sujet m'intéresse pour plusieurs raisons et même si la couverture n'est pas le style que j'apprécie, c'est ce qu'il y a à l'intérieur qui compte.

Camille est une adolescente de 13 ans qui voit sa vie changer en très peu de temps. Sa mère demande le divorce lorsqu'elle apprend que son mari a une maîtresse depuis des années. La séparation n'est pas si difficile car à cet âge l'ado comprend ce que son père a fait. La maison familiale devient un appartement à deux chambres à une bonne centaine de kilomètres, sa mère dormant dans le salon pour laisser de l'intimité à ses deux filles, Camille et Chloé sa soeur de quatre ans plus jeune. Changement d'école au passage qui n'est jamais facile pour personne surtout lorsqu'on se retrouve en dernière année de collège. Obligée de recommencer une nouvelle vie, d'avoir de nouveaux amis, Camille va être obligée de tout reprendre à zéro.

Même si je ne suis pas fan de la couverture elle représente parfaitement le mal-être d'une adolescente qui voit sa vie transformée en un clin d'oeil. L'histoire est prenante. le fait que ce soit à la première personne et qu'il s'agit de Camille qui nous montre ce qu'elle vit est touchant. Les émotions, les sentiments, sa vie est amenée par des mots simples et pourtant les situations sont de plus en plus compliquées. Un engrenage qui commence doucement, juste avec un surnom que personne n'aimerait entendre. Des amitiés de cet âge qui semblent sincères et qui le sont jusqu'à ce qu'un événement vienne perturber ces nouvelles relations encore fragiles. Tout s'accélère. Plus rien ne sera comme avant, mais avant quoi ? Avant le divorce ? Avant les relations amicales ? Avant les relations cachées ? Difficile de se dire que tout ira bien surtout lorsque les réseaux sociaux s'y mettent - enfin ceux qui utilisent les réseaux sociaux pour écraser un peu plus ceux qui sont différents. Car oui, Camille est rousse et nouvelle. Deux points très graves aux yeux de ces adolescents en mal de bouc émissaire. Sa soeur semble avoir plus de chance car même si elle est nouvelle, elle n'est pas rousse.

Au début, j'ai eu un recul par rapport au vocabulaire des personnages qui ont 14 ans en moyenne. le fait d'avoir été en colonie de vacances m'a rappelé justement que les gosses - désolée si je dis gosses, mais vu mon âge ils le sont - ont justement CE vocabulaire plus cru et les idées placées entre les jambes et pas dans la tête. Oserais-je dire que de mon temps - purée la vieille ! - ils ne pensaient qu'à jouer entre eux sans forcément déshabiller une fille ? le thème du harcèlement scolaire ET cyber est bien expliqué sans pour autant que nous soyons dans un cours. le mal-être que ressent Camille nous revient en pleine figure. C'est celui dont on ne veut pas entendre parler, on se dit que ce n'est pas possible, que cela n'arrivera pas à notre/nos enfant(s). Pourtant c'est souvent le cas. le harcèlement peut juste être un mot, un surnom, un petit "poil de carotte" ou encore un "petit gros". C'est pas bien méchant, c'est pour rire entre copains. Sauf qu'un mot, c'est ce qui reste le plus longtemps. Les coups font mal, les bleus se voient puis s'estompent. On oublie plus vite un coup qu'un mot, parce que ce dernier est ancré dans notre esprit.

Camille est jeune mais elle est mûre pour son âge. Réfléchit, la tête sur les épaules, elle ne veut pas perdre sa virginité comme si elle ouvrait une boite de kinder surprise : à la va-vite. de nature généreuse et très timide, elle ne fait pas partie de ceux qui pourrait faire du mal intentionnellement à des personnes qu'elle connaît ou non. Chaque personnage a une place particulière, Quentin, Clément, Manon, Marie, Hugo et bien d'autres. Peut-être que si chacun parlait un peu plus alors il y aurait moins de secrets et plus d'entraides, peut-être... La méchanceté gratuite est si facile et la compréhension si dure. Comment une adolescente qui a perdu le contexte familial peux continuer d'avancer si elle n'a pas de véritables amis ? J'ai juste trouvé dommage pour Chloé, on ne la voit pas, enfin presque pas. J'aurai aimé savoir comment elle n'a pas vu ce qui se passait dans la même école. Je sais qu'elles n'ont pas le même âge, mais les ragots s'infiltrent partout.

Pourquoi je laisse une pointe de rage, de dégout, d'un semblant de connaissance ? Parce que comme l'auteur dit bien à la fin de son livre : la vie n'est pas rose. le passif de chacun fait ce que nous sommes devenus, si nous arrivons jusqu'à l'âge adulte. J'ai réussi à passer outre les mots, les remarques blessantes grâce à ma mère qui même si elle travaillait énormément, a toujours su prendre du temps pour moi. Je fais exactement la même chose avec mon fils qui lui n'habite pas le même village que les autres de son école... Imaginez l'affaire que voila... Mais je suis là, je l'écoute et la directrice me connaît bien à force de la voir. Je ne lâche pas l'affaire et l'aide à avancer. Les enfants sont méchants entre eux. C'est à nous les adultes, de leur montrer les conséquences de leurs actes même s'ils sont petits.

En bref, le sujet est de nos jours, d'hier et de demain. Il peut toucher tout le monde sans distinction, sans restriction. L'auteur nous indique des pensées qui sont réalistes et cela fait peur. Des "conseils" sous-jacents sont intégrés dans le texte sans compter l'après récit. Un livre qui peut aider à ouvrir les yeux si ce n'est déjà fait et à comprendre ce qui peut bien se passer dans la tête de nos enfants. A découvrir à tout âge.

http://chroniqueslivresques.eklablog.com/poussee-a-bout-christine-bechar-a126559694
Lien : http://chroniqueslivresques...
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Le harcèlement scolaire, un fléau devenu à la mode de nos jours. Voilà à quoi nous confronte Christine Béchar dans son dernier roman "Poussée à bout". L'auteure utilise un style très jeune et fluide afin de nous faire comprendre la réalité vécue par la protagoniste, qui raconte elle-même son histoire. On a l'impression de vivre ses quelques joies, ses peurs, mais aussi ses souffrances. Camille voit sa vie bouleversée par la séparation de ses parents. Mais comment aurait-elle pu imaginer, une seconde, l'enfer qu'elle allait vivre en entrant dans ce nouveau lycée où elle ne connaissait personne ? Comment aurait-elle pu savoir qu'à 15 ans les jeunes peuvent être aussi cruels et sadiques ? Se rendent-ils compte du mal qu'ils infligent à leurs victimes? Oui, sans doute, puisque ça les amuse. Il serait grandement temps que certains comprennent qu'ils vont trop loin, en s'acharnant sur leurs boucs émissaires… que la situation pourrait dégénérer. Car OUI, les personnes qui subissent du harcèlement scolaire, si infime soit-il, sont des VICTIMES. Des êtres qui selon leur force de caractère resteront à jamais marqués par ces agressions.
Camille va vivre ainsi son calvaire, sans rien dire, sans se confier, pendant que sa mère la croit en sécurité au lycée, et que sa soeur se réjouit de sa nouvelle vie. Pas une seule fois elle ne se plaindra, ne montrera ses peurs et ses souffrances. Elle mettra un point d'honneur à cacher son mal-être pour ne pas inquiéter les siens, comme si quelques part elle se sentait responsable de ce qui lui arrivait. Un comble de constater que les victimes de harcèlement pensent être le déclencheur de ces inepties!!!
Confrontée à ce fléau en tant que maman, j'ai été très touchée par ce roman que j'ai lu avec grande attention. Pire, avec un poids sur le coeur, retrouvant ce que mon propre enfant a ressenti. A la veille de la rentrée scolaire, il est bon que les parents s'intéressent de plus près au harcèlement qui touche 1 enfant sur 10 de la maternelle aux classes supérieures, car NON, cela n'arrive pas qu'aux autres. le harcèlement scolaire brise des vies et détruit des enfants et des parents, alors que plus de prévention et de punitions pourraient nettement le diminuer. Malheureusement il ne sera jamais éradiqué, car on ne stoppera pas la bêtise humaine.
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Nous nous retrouvons dans le quotidien de Camille, 14 ans, qui, suite au divorce de ses parents, déménage avec sa mère et sa soeur cadette à une centaine de kilomètres de sa ville, de son école et de sa seule amie.
A son arrivée dans sa nouvelle école, en classe de troisième, les autres élèves la dévisagent, parlent d'elle sans arrêt et se moquent de son apparence. En effet Camille est rousse et elle ne suit pas vraiment la mode. Un exemple? Elle porte des pulls Mickey et je vous rappelle qu‘elle a 14 ans. Donc elle est la cible idéale pour les ragots du collège.

Mais après des débuts difficiles, elle réussit à ce faire quelques amies. Grâce à elles, Camille va réussir à un peu mieux s'intégrer. Elle va même changer de style vestimentaire et commencer à se maquiller. Nous assisterons à sa transformation physique, Camille va se mettre à suivre les codes de la mode afin de se faire accepter.

A travers son roman Christine Béchar met en avant plusieurs réalités des adolescents d'aujourd'hui : déjà la précocité de la sexualité. Ces jeunes, qui ont à peine 14 ans, pensent déjà à leur première fois ou alors ils ont déjà franchi le cap. Les filles se maquillent énormément et font tout pour paraître plus vieilles que leur âge. Sans oublier les réseaux sociaux où les informations, les rumeurs et les photos sont partagées à la vitesse grand V.

Plus je lisais le roman, plus j'appréhendais le moment où tout allait basculer car Camille s'épanouissait de plus en plus dans sa nouvelle vie et je me suis beaucoup attachée à cette jeune fille. J'avais donc peur de l'élément qui allait perturber sa vie.
Sur ce point je n'en dirai pas plus car sinon je risque de trop en dévoiler…..

Je dois juste avouer que la fin m'a assez perturbé, touché même…. L'auteure m'a fait réfléchir car, ayant une fille de 10 ans, et sachant que l'histoire que raconte Christine Béchar est la dure réalité, je me suis sentis concernée.

Encore une fois la plume de l'auteure m'a conquise. C'est toujours un plaisir de lire ses livres et je dois avouer que Christine Béchar maîtrise très bien le sujet du harcèlement scolaire. C'est vraiment très bien écrit et il n'y a pas d'exagération, l'histoire est totalement crédible.

Suite à l'épilogue on peut se demander si Christine Béchar envisage d'écrire une suite car la soeur de Camille nous dit que les responsables auront affaire aux démons de la famille…..

Lien : http://www.unbrindelecture.c..
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Un roman fort, déchirant.

Camille, 14 ans, vit mal le divorce de ses parents, le changement de ville, son intégration dans son nouveau collège.
Camille est timide. Dès les premiers jours, elle va subir les piques de ses camarades. Sa rencontre avec Manon va lui permettre d'avoir une amie.

Dès les premières lignes, on ressent le désarroi de Camille, sa détresse. Si Camille est timide, on sent aussi en elle la volonté d'être acceptée, de se faire des amis. Une certaine force se dégage d'elle mais les événements vont la faire vaciller, va-t-elle pouvoir faire face ?

A travers ce récit, Christine Béchar nous parle de harcèlement à l'école. Elle donne le ton juste. On voit que de petites choses peuvent prendre des proportions inimaginables au fil des malentendus, des ragots, des rumeurs, des mensonges des uns des autres.

En tant que parent, j'ai été très touchée par ce récit. Ici, l'auteur ne parle pas du rôle des adultes mais elle laisse entrevoir la difficulté de l'enfant à se confier à un adulte et savoir comment réagir sans envenimer les choses.
On a ici le point de vue de Camille qui ne demande pas d'aide et se confie juste à Quentin . On découvre ici comment il est difficile pour un jeune adolescent de réagir face aux brimades de ses camarades et de se protéger.

Un récit fort, douloureux, bouleversant, nous montrant comment ce fléau du harcèlement est difficile à gérer pour un jeune
Lien : http://viou03etsesdrolesdeli..
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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Surtout de la part des filles. La plupart ne m’avaient jusque-là, jamais adressé la parole. Je n’y comprenais rien. Ne pouvaient-elles se montrer solidaires ? Cela aurait pu arriver à n’importe quelle fille. Qu’elles ne me soutiennent pas envers et contre tous, encore, je pouvais le concevoir, mais qu’elles prennent un malin plaisir à remuer le couteau dans la plaie. Non vraiment, j’avais du mal à comprendre cette agressivité et cette méchanceté...

... Les garçons n’étaient pas mieux, ils ne me lançaient aucune injure à la figure, mais ils ne se privaient pas pour autant de se gausser de moi à mon passage.
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Moi, Camille, treize ans, je me baissai à sa hauteur pour la prendre dans mes bras, de façon plutôt gauche, je dois bien le reconnaître. Jamais je n’avais consolé ma mère. J’en avais les larmes aux yeux sans même savoir pourquoi. Seule une catastrophe pouvait mettre cette femme stoïque dans un tel état. Jamais je n’aurais imaginé à quel point j’étais dans le vrai avec mes suppositions. Pour notre famille, ce fut le début de la fin.

— Dis... qu’est-ce qui t’arrive ?
— Ton père et moi allons divorcer.
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— C’est toi ?

Pas de bonjour, ni rien, juste un « c’est toi ».

— Bien sûr que c’est moi, qui veux-tu que ce soit.
— Pas au téléphone, banane, sur la photo ?
— Qu’est-ce que vous avez tous à me parler sous forme
de rébus, ce matin ? m’énervai-je. Quelle photo ?
— « ANGE ou DÉMON ? ». C’est toi ?
— Oh merde !

Merce, merde, merde, merde, merde ! Illico, j’imaginai le
pire. Il ne pouvait s’agir de la photo prise par Thomas,
intitulée « ange ET démon », mais bien d’une seconde
inédite qui montrait l’inscription « ange OU démon ».
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N’empêche qu’ils commençaient sérieusement à me
gonfler, tous autant qu’ils étaient, avec leur surnoms.
Certes, je préférais Angie à Daisy qui ne m’avait toujours
pas complètement lâchée, mais pourquoi ne pouvaient-ils
pas dire Camille, tout simplement ? Mais qu’est-ce que
j’avais aussi à m’énerver, et à leur montrer à tous, à quel
point ils me touchaient ? Était-il si difficile de faire
l’indifférente ? S’ils croyaient que je m’en tape, ils
finiraient bien par se lasser, non ?
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La jupe remontée en ma taille, laisser une vue imprenable sur mon pubis, sur lequel avait été marqué au
feutre indélébile : «ANGE OU DÉMON ? »
– C'est quoi ça ? Qu'est-ce que vous m'avez fait ? Dis-je en remontant le top et en baissant la minijupe.
– C'est à moi que tu le demandes ? Non mais, je rêve ! Fallait pas boire autant ! Ce n'est quand même pas de
ma faute si tu ne supportes pas l'alcool. Rentre chez toi et n'oublie pas ton slip. Celui-ci traînait par terre.
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