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Critique de iris29


Ne jamais refuser une" Austennerie ", quand elle est gentiment proposée , mais cela implique d'avoir lu , ( voir relu et même re-relu et re-revu ) Orgueil et Préjugés .
Oui , il faut bien connaitre cette oeuvre pour apprécier , savourer et se délecter des références, de l'inspiration de l'auteur qui se coltinera le challenge . Cet exercice est comme un jeu entre le lecteur ( connaisseur de l'oeuvre de Jane Austen) et l'auteur .
Pour cette adaptation, il faut savoir que Caroline Bingley est une vraie peste ou le pur produit de son éducation . Souvenez-vous , elle a tout fait pour éloigner son frère de la divine Jane Bennet parce qu'elle était sans le sous . Et de plus , elle détestait Elizabeth Bennet qui lui a ravi Darcy , l'homme ( le titre et le domaine ...) .
Résultat la voilà bannie de Londres et de la propriété de son frère, lequel n'attend que des excuses pour tout oublier. Mais voilà, la Caro, elle est fière (et un peu peste aussi , je l'ai dit...) et il n'en est pas question .
Accompagnée par une dame de compagnie pour laquelle , elle n'a que mépris , Caroline va essayer de se sortir de cette situation par le seul moyen dont dispose une femme de cette époque : le mariage . Et si possible avec un homme titré .
De sorte qu'elle ne voit pas ce qui pourtant crève les yeux : l'associé de son beau-père est un fort bel homme . Oui, mais ce n'est qu'un vulgaire commerçant .
Le salut de Caroline viendra sous la forme d'une petite introspection en accéléré qui lui fera ouvrir les yeux .
Comme avec Jane Austen, tout finira bien et Caroline sera ♫"Libérée, délivrée". ♫
Et moi j'ai été charmée ...
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