La vallée aux crânes, tome 1 : Gueule cousue

Un deuxième essai de la collection Pulp aux éditions La Bourdonnaye beaucoup plus concluant ! Je trouve la ligne de conduite de cette collection particulièrement intéressante et séduisante, du coup, j'avais assez hâte de me plonger dans ce premier tome qui ne fait qu'une dizaine de pages virtuelles.

J'ai bien aimé le ton de l'histoire que je trouve assez noir et sérieux. Étonnamment, il ne se passe pas grand chose dans cet épisode qui consiste surtout en la présentation des différents personnages et leur histoire personnelle. Bon, pour être honnête, ça ne m'a pas passionnée. Mais c'est bien mené, bien écrit et plutôt original : j'ai donc tout de même passé un bon moment.

Je trouve intéressant le fait que l'histoire soit en fait raconté par Image (le chien) à Wolfy (le chat). Au premier abord, ça ne me tentait pas du tout (les animaux, toussa toussa...) mais c'est bien raconté, assez humain finalement alors ça m'a plu. Ces deux là sont assez sympathiques et j'ai apprécié découvrir l'histoire de chacun en leur compagnie.

L'écriture de Françoise Benassis est agréable, fluide et assez teintée. J'aime bien le côté sombre qui se dégage de ses mots sans qu'on sache très bien d'où il peut bien venir... Bref, il y a beaucoup de caractère dans son style ! Je ne sais pas si l'occasion se présentera, mais je lirais la suite de cet épisode avec plaisir ;)
Un intérêt mitigé pour l'histoire bien que l'écriture soit très agréable.
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Merci aux éditions de la Bourdonnaye de m'avoir permis de donner une troisième et dernière chance à la collection Pulp.
Malheureusement, cette collection n'est vraiment pas faite pour moi. Les récits trop courts ne me permettent pas de m'attacher aux personnages et de bien rentrer dans l'histoire
Revenons-en quand même à la vallée aux crânes. Cette saga nous apporte un autre regard sur la seconde guerre mondiale. En effet, l'histoire se déroule dans les Alpes, je dirais près de la frontière italienne, quelques années après la fin de la guerre. Image, un chien, revient sur cette période grâce aux paroles qu'il entend de son maitre et des autres humains autour de lui. Il s'adresse à Wolffy, un chat que son maitre à récupérer après le décès d'un de ses amis.
C'est assez étrange d'imaginer que le narrateur est un chien, qu'il est persuadé de savoir parler, rire… mais que les humains ne l'entendent pas. En plus, il s'adresse à un chat mais en parlant dans sa tête. Ca ne vous parait pas très clair ? A moi non plus, donc forcément ce n'est pas évident de vous en parler.
Je ne vais pas dire que je me suis ennuyée pendant la lecture parce que c'était vraiment court mais j'étais très contente d'arriver à la fin du second épisode.
Pour conclure, une saga voire même une collection qui ne sont pas faites pour moi.
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Quand j'ai vu que cette nouvelle série de la Collection Pulp allait sortir, j'étais impatiente de la découvrir. Enfin, je pense que je ne vous apprend rien car, si vous me suivez régulièrement, vous avez du comprendre mon engouement pour les Editions de la Bourdonnaye ainsi que pour sa Collection Pulp.
Je n'ai pas pu résister très longtemps à ce titre et à cette quatrième de couverture très tentants. Peut-être, étais-je trop enthousiaste mais je ressors de ce premier épisode un peu mitigée et j'ai l'impression que mon avis est assez contradictoire.

J'ai un peu de mal à vous expliquer mon ressenti quant à l'histoire. Je me suis sentie perdue et j'ai eu l'impression qu'il y avait trop d'éléments donnés d'un coup.

A côté de ce petit point négatif, il y a un gros point positif à cette nouvelle série, c'est Image le personnage principal qui m'a beaucoup plu. J'ai énormément apprécié son côté mystérieux et le fait que l'histoire soit racontée de son point de vue.

En bref, ce premier épisode ne m'a pas fait le réel effet Pulp mais j'ai quand même enchaîné directement avec la suite et je peux vous dire que mon avis sur le second opus est déjà beaucoup plus positif.
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