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EAN : 9782820518118
480 pages
Castelmore (31/10/2014)
3.81/5   69 notes
Résumé :
Le marchand de sable est passé... Tous les adultes ont sombré, les uns après les autres, dans un mystérieux coma... Enfants et adolescents se retrouvent livrés à eux-mêmes. Dans une petite ville, Léo et Marie, deux lycéens de seize ans, rassemblent autour d'eux quelques amis pour vivre ensemble dans un vieil immeuble.
Mais d'autres adolescents, parmi les plus âgés, profitent de la situation, s'accaparent les réserves de nourriture et deviennent de plus en plu... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (27) Voir plus Ajouter une critique
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Dubitative dans les premières pages où la façon de parler ou penser me semblait assez enfantine, j'ai vite laissé passer cette impression pour m'immerger complètement dans l'histoire. La narration, tour à tour celle des deux principaux personnages, Léo et Marie, grands adolescents de 16 ans, amis depuis l'enfance, nous plonge dans le récit de la survie d'un groupe d'enfants laissé à l'abandon après le passage d'un virus qui a plongé dans le coma tous les adultes de la planète.
Les différences de comportements et la façon de penser filles-garçons sont bien représentés, nous avons un bel aperçu du point de vu des deux sexes. L'histoire est crédible et très certainement représentative de ce qui pourrait arriver dans une réalité similaire. Monde de violence, quel que soit l'âge, actions positives ou négatives suivant les personnalités, meneurs ou suiveurs, solitaires ou sociables, courageux ou fuyants, dangereux ou protecteurs...
Anarchie glaçante dans tous les cas de figure ou la société disparait et qu'il n'y a plus de garde fou pour maintenir les mauvais esprits dans le droit chemin et sauvegarder la moralité, la liberté et le libre arbitre de chacun.
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--- Une nouveauté à petit prix ---

Les éditions Castelmore (intégrées au groupe Bragelonne) profitent de leur nouvelle collection BigBang pour rééditer certains de leurs anciens titres en poche, et donc à moindre prix. Est-ce que j'en profite allègrement ? Absolument !

Je remercie donc la maison d'édition pour cet envoi. Honnêtement, je n'ai pas hésité longtemps avant de demander le jour où… en service de presse. D'abord, parce qu'il est écrit par Paul Beorn, auteur auquel je souhaitais m'essayer depuis longtemps. Ensuite, parce qu'il s'agit d'un roman d'anticipation faisant mention d'un étrange virus. En somme, ma came !

Je tiens toutefois à préciser que ce one-shot n'est pas à mettre entre toutes les mains. En effet, même s'il est catégorisé en young adult en raison de ses héros adolescents, il n'en demeure pas moins très violent. Meurtres, viols et tortures parsèment donc le récit, et ce n'est pas toujours beau à voir…

--- Les adolescents aux commandes ---

Ils ont 14, 15 ou 16 ans et n'ont plus le temps d'être des enfants. Plongés dans un profond coma, papa et maman ne veilleront plus sur leur bien-être, ne les aideront plus à grandir. Aujourd'hui, ils sont seuls et livrés à eux-mêmes…

Un tel scénario fait froid dans le dos, pas vrai ? C'est pourtant le postulat de départ exploité avec brio par Paul Beorn dans ce roman aux allures de fin du monde. La survie devient donc la priorité de chacun, et tous les coups sont permis !

Si la première partie du livre fut plaisante, la seconde m'a carrément prise aux tripes. Entre coups bas, représailles et manipulations, l'intrigue gagne progressivement en intensité jusqu'à faire exploser le coeur du lecteur. L'auteur n'épargne pas ses personnages, et tant mieux. En plus de créer de nombreux rebondissements, cela apporte du crédit au récit !

--- Des héros aux hormones survoltées… ---

Voilà qui les caractérise à merveille. Autant vous dire que ce ne fut pas toujours une partie de plaisir. Maintes fois, j'ai levé les yeux au ciel, tant leur attitude me paraissait exagérée. Regards lubriques, propositions indécentes et pulsions irrésistibles sont leur lot quotidien, alors que le monde s'écroule autour d'eux. Qu'à cela ne tienne, ils peuvent tout à fait s'organiser afin de survivre et, dans le même temps, songer à cette proximité qui les excite. Heureusement, cet aspect de l'histoire s'estompe quelque peu (mais pas totalement) face à l'urgence de la situation !

Ceci étant dit, l'auteur s'appuie sur ces comportements libidineux pour démontrer les dérives sexuelles qui ne manqueraient pas de survenir en l'absence de règles et, surtout, de respect envers autrui. de jeunes femmes sont ainsi reléguées au rang de jouets sexuels, comme si elles ne valaient pas plus qu'une paire de vieilles chaussettes. Horrible, mais hautement probable…

Notez que la plume est adaptée aux héros, et donc au public. À la fois jeune et percutante, elle retranscrit parfaitement le langage utilisé par les personnages.

--- …mais terriblement attachants ! ---

Deux adolescents prêtent leur voix au roman de manière alternée. D'un côté, nous suivons Léo, un gamin de 16 ans qui n'est pas près de renoncer à ses valeurs. Si vous voulez mon avis, il joue un peu trop les héros, mais il n'est ni invincible, ni surdoué, ce qui lui confère une véritable substance.

En parallèle, des chapitres sont consacrés à Marie, l'une de ses meilleures amies et probablement sa soupirante la plus déterminée. Et comme pour Léo, cette première impression ne fut pas très positive. Pourtant, au fil des pages, Paul Beorn a su démontrer tout son talent afin de développer la psychologie de ses personnages. Certes, ceux-ci sont un tantinet trop obnubilés par le sexe mais, du reste, ils sont tous finement construits.

J'ai étrangement apprécié Joan en dépit de son attitude too much, car elle sonne terriblement vrai sous les couches d'artifices derrière lesquelles elle s'abrite. Mon seul bémol concerne Charly, qui tombe dans le cliché du prédateur en un claquement de doigts. Quel dommage !

--- J'ai retenu mon souffle jusqu'à la dernière page ---

Si, en milieu de roman, la tournure des événements m'avait déjà scotchée, ce fut l'escalade jusqu'au dénouement. Empruntant quelque peu au thriller, le jour où… s'achève de manière spectaculaire, malgré quelques facilités ici et là.

Je tiens d'ailleurs à remercier l'auteur pour avoir apporté des réponses au sujet du virus, car c'est souvent ce qui manque dans ce genre d'histoire. Je prends pour exemple la saga U4 qui, si mes souvenirs de Jules sont bons, fournissait très peu d'explications.

En bref, une belle réussite qui me donne envie de découvrir Paul Beorn en fantasy. Et, justement, le premier tome de Calame m'attend bien sagement dans ma PAL…
Lien : https://lesfantasydamanda.wo..
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J'aurai dû plus me méfier de cette couverture sombre qui laisse penser que tout peut arriver. Je suis encore sous le choc d'avoir poussé cette porte….Ce livre me laisse un sérieux goût amer en bouche. Terriblement dérangeant…..Un livre jeunesse, qui parle de jeunes enfants qui font du mal aux enfants, oui, pour une fois je comprends les réserves qui sont faites par la maison d'édition: « Pour lecteurs avertis, à partir de 15 ans »…Tu m'étonnes!!!!!Même 15 ans, je ne leur mettrais pas dans les mains……..

Un des points positifs qui m'a vraiment plu pour une fois, c'est cette histoire à deux voix. le côté fille/ garçon est assez prononcé. J'ai trouvé cela très intéressant, on a les testostérones en ébullition avec une place de chef admirable et les émotions bridées d'une jeune fille lucide. Voir ses deux ados , finalement très ordinaire, se battre pour rester du bon côté de la frontière entre Bien et Mal, est une jolie note d'espoir qui se dégage de cette expérience de lecture…

Sinon, le monde décrit dans ses pages est une horreur. Tant de violence qui suinte, tant d'humiliations et de scènes impossibles à imaginer, perpétrés par des enfants, ça m'a remué, j'en avais envie de vomir. Je ne peux pas croire que le Mal est à l'intérieur des enfants, c'est une idée qui m'est inconcevable, et pourtant, sans limites et cadres imposés par les adultes, ce monde pourrait bien devenir tellement réel…C'est plutôt glaçant !

Je pense donc que ce livre à une portée à polémiquer sur les dérives de la parentalité permissive, nous faire réfléchir sur l'éducation en elle même, et le monde qui pourrait devenir si sombre, sans expliquer à nos enfants les limites entre le Bien et le Mal…..Il ne tient qu'à nous de ne pas voir venir ce Marchand de Sable, mais encore plus de ne pas procréer les enfants de ce livre…..

En bref, un livre intéressant, c'est indéniable….Il a au moins l'avantage de faire réfléchir même après la fermeture du livre, et même s'il m'a fait ressentir un profond malaise du fait de cette violence à outrance, c'est un livre à découvrir (mais âme sensible s'abstenir! ) .

Lien : https://fairystelphique.word..
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Tous les adultes sont mystérieusement tombés dans le coma.

Les enfants tentent de s'organiser pour survivre.

Deux clans s'affrontent, ceux de la "Cantine" qui ont un chef qu'ils ont désignés et qui tentent de venir en aide à tous les jeunes qui viennent vers eux et "Les cracheurs", des garçons plus violents qui ont la main mise sur le supermarché de la ville.

Léo décide malgré tout de tenter une percée afin de récupérer du lait en poudre pour les bébés de la crèche. Cette excursion ne sera pas sans danger...

Un roman qui met en scène des enfants qui essayent de mettre en place un monde meilleur, une société plus juste et qui sont confrontés rapidement à la violence, et à l'incompréhension des autres gangs.

Malheureusement, la démocratie participative et l'intégration que prône le héros fait aussi de ce monde un édifice fragile. Trahison, corruption, jalousie... vont très vite rendre leur situation intenable.

C'est donc une guerre entre les valeurs communautaires et celles individualistes que met en scène le récit.

Nous suivons les "gentils", un groupe relativement solidaire et uni mais qui comporte aussi des individus très différents. le récit alterne la voix de Léo et de Marie pour nous faire partager leurs doutes, leurs sentiments et leurs idéaux. Intéressant !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..
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Ce roman avait tout pour me plaire : la couverture que j'adore, le résumé super prometteur, un auteur français au talent remarqué.

Promesse tenue : j'ai passé un excellent moment de lecture.

Le récit nous est raconté par deux adolescents : Léo et Marie. Ils se connaissent depuis qu'ils sont petits, se font confiance et donc tout naturellement, quand les adultes se sont endormis, laissant le monde dans les mains d'enfants et d'ados, ils se sont serrés les coudes pour affronter ce qui n'allait pas tarder à arriver.
Léo va se retrouver propulsé dans la peau d'un chef, et bien qu'il prenne ce rôle très à coeur, il n'hésite pas à nous dévoiler ses peurs, ses doutes, ses faiblesses. Il ne se sent pas capable d'agir comme il le devrait dans certaines situations, il doute de sa force et plus que tout, il a peur de franchir une ligne, peur de ne plus jamais pouvoir revenir en arrière. Pour lui, les adultes vont forcément se réveiller, et remettre de l'ordre. Il faut juste attendre en survivant du mieux possible. Et surtout en restant droit, en protégeant les plus faibles, en nourrissant les enfants, en s'occupant des bébés, et en veillant sur les adultes endormis.
Mais Marie, elle, a bien compris que plus rien ne sera jamais comme avant. Elle a bien compris que pour pouvoir survivre, il va falloir se salir les mains. Que cette ligne que Léo a si peur de franchir, il faudra forcément la dépasser un jour ou l'autre.
J'ai aimé avoir les pensées de ces deux jeunes, si proches et si différents dans leur façon d'être et d'agir. Marie est une fervente croyante et c'est pourtant elle qui va franchir cette ligne et en accepter les conséquences. Elle a une force presque à toutes épreuves, un courage exemplaire.
Léo, son courage, sa force, il va la puiser en Marie, son amie de toujours.

Comme à chaque fois lors de "fin du monde", c'est souvent le pire de chez l'homme qui ressort. Dans les histoires de zombies, ce sont finalement toujours les hommes qui se révèlent être les pires monstres de ces récits.
Mais ici, il n'y a plus d'hommes, tout ceux qui ont plus de 17/18 ans se sont endormis, alors on pourrait penser que les choses devraient mieux se passer.
Mais c'était sans compter sur certains petits délinquants qui voient là l'occasion rêver de faire enfin ce qu'ils veulent sans représailles.
Et ils vont aller loin, ils vont franchir cette ligne dont parle Léo, obligeant ce dernier à prendre les armes.

Mais très vite, on va comprendre que la menace est partout, et qu'elle peut avoir différents visages.

C'est une lecture conseillée à partir de 15 ans, ce que je conseille aussi. C'est dur, c'est violent, et d'autant plus dérangeant car les atrocités dont on va être témoin, sont perpétrées par des enfants, sur des enfants.
C'est déstabilisant de voir comme un enfant peut passer du simple jeu de ballon, de rires, d'innocence, au viol alors qu'il ne devrait même pas avoir l'âge de penser au sexe. C'est écoeurant de voir que les femmes sont encore une fois reléguées au rang d'esclave sexuelle. C'est révoltant de voir des gamins avec des armes.
Certaines scènes ne sont pas faciles à lire, surtout quand on comprend l'inévitable. On sait que ça va arriver et on ne peut rien contre ça.
L'auteur aura réussi à me faire pleurer, ce qui n'était pas arrivé depuis un moment dans un livre.
Heureusement, il y a des moments tendres et drôles, des moments émouvants. J'ai particulièrement aimé Joan, l'américaine et son accent et sa manière de penser. J'aurai souri plus d'une fois grâce à elle.

Au cours de ma lecture, je me suis dit : bon sang, l'auteur a une image des ados assez dure, quand même, assez radicale, et il ne leur fait pas beaucoup confiance. Et puis je me suis dit que oui, finalement, il avait peut-être raison. L'enfant, l'ado, est vulnérable et surtout influençable, et l'effet de groupe peut être dévastateur, bien pire que quand il s'agit d'adultes. Ils ne réalisent pas les conséquences de leurs actes, ne comprennent pas toujours ce qu'ils font. Ils sont projetés dans un monde où ce qui représentait les règles n'est plus là.
Il n'y plus rien, plus personne pour leur poser des limites.
Et quand c'est un monstre qui va leur montrer le chemin, ils vont suivre, tout naturellement.

En bref, un livre sombre, dur et violent et surtout réaliste. C'est efficace et ça prend aux tripes.
Lien : http://www.inmybookworld.com..
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critiques presse (1)
HistoiresSansFin
25 novembre 2015
Un récit à deux voix palpitant. Le jour où est un roman unique à l'écriture efficace.
Lire la critique sur le site : HistoiresSansFin
Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
Il faut dire que depuis le Marchand de sable et la panne d’électricité, il y a eu un grand changement.
Des changements, il y en a eu beaucoup, mais celui-là est un des plus spectaculaires et des plus effrayants : la nuit noire. Pas seulement sombre, pas jaune ou rose sous la lumière des lampadaires ou des enseignes lumineuses. Non, elle est noire, opaque, de l’encre. Avant de l’avoir vécue, on ne sait pas ce que c’est que l’obscurité. Dans le monde d’avant, ça n’existait pas.
L’obscurité, c’est comme les yeux fermés. Pire : c’est comme les yeux bandés. On ne voit vraiment rien de rien, les yeux ; c’est comme si on en avait pas. Pour peu que le ciel soit couvert, on ne voit même pas ses propres mains devant soi.
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Les enfants par-ci, les enfants par-là, ils ne parlaient que de ça, l'enfant roi, l'enfant sacré... Tu parles, en fait, ils n'en avaient rien à secouer de nous autres. Les gosses, ils les faisaient pour eux, parce qu'il fallait en faire, parce que ça les amusait, parce que ça remplissait le vide qu'ils avaient dans le coeur. Ils ne les faisaient pas pour leur donner une vraie vie, sinon, ils n'auraient pas été là, à bourrer notre planète de poisons tous les jours et à nous préparer un avenir de merde. Leurs gosses, ils s'en foutaient pas mal. Au fond, ils ne pensaient qu'à eux, ils ont oublié la grande loi de la nature, ils ont brisé la chaîne millénaire de la solidarité entre les générations.
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J'ai vraiment adoré ce livre !
Mais je n'ai pas trop aimé la fin car on ne sait pas trop comment sa fini
Es-ce-que Marie meurt à la fin ?
Avec qui sort Léo finalement? Johan ou Marie?
Comment il font pour réveiller tous les adultes de la terre?
Bon voilà je me pose plusieurs questions sur la fin je pense vraiment que se livre mérite un tome 2.
Pouvez-vous me dire si il y aurait un tome 2? MERCI !
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Combien de temps tu crois qu'on va tenir, à voler dans les cuisines des restaurants et à boire l'eau du caniveau ? Combien de temps tu crois qu'il faudra aux gangs pour flamber tout ce qui reste et nous faire crever de faim ? Tu sais comment on plante du blé, toi ? Tu sais comment on fait de la farine et du pain ? Moi, tout ce que j'ai appris, c'est à mettre le micro-ondes en marche et à me dépêcher-parce-qu'on-va-être-en-retard !
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on a fait le tour de la ville, on est allés dans tous les quartiers et même dans les communes de la périphérie : on n'a rien trouvé qui ressemblait de près ou de loin à votre petite Cantine, à ces idées bizarres, comme de faire venir chez vous tous ceux qui le voulaient bien, sans lien de famille, de race ou de religion. Sans uniforme, sans règle précise, juste une vague idée d'universalité... Nous, on ne comprenait pas.
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