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Monsieur Jean tome 4 sur 8
EAN : 9782731612653
56 pages
Les Humanoïdes associés (14/01/1998)
3.87/5   64 notes
Résumé :
A peine la crise de le trentaine passée, de nouvelles échéances cruciales perturbent l'existence de Monsieur Jean.

Félix, qui squatte toujours chez Jean avec Eugène, le fils de son ex-copine, lui confie la garde de l'enfant pour mieux se consacrer à la recherche d'un boulot. Côté coeur, Jean n'arrive pas à s'engager sentimentalement avec cathy, son amour de jeunesse retrouvé par hasard en Bretagne.

Cathy lui donne alors un ultimatum de ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (8) Voir plus Ajouter une critique
Ah ouais, d'accord, le genre intello-branchouille !
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Ce tome fait suite à Monsieur Jean, tome 3 : Les femmes et les enfants d'abord (1994) qu'il vaut mieux avoir lu avant. Dans la réédition en intégrale, l'éditeur a inséré le tome hors-série Monsieur Jean - HS 2 : La théorie des gens seuls (2000) entre les tomes 3 et 4 dans la mesure ou les histoires correspondantes se déroulent entre les deux, même s'il est paru après le tome 4. La première édition du présent tome date de 1998. Les deux auteurs, Philippe Dupuy et Charles Berberian, ont écrit le scénario à quatre mains et dessiné les planches à quatre mains. La mise en couleurs a été réalisée par Isabelle Busschaert. L'album compte cinquante-quatre planches.

Dans l'appartement de Monsieur Jean, la fête bat son plein : la marmaille s'agite en tous sens, pour l'anniversaire d'Eugène, trois ou quatre ans, un vrai carnage. Jean regarde d'un air effaré les verres renversés par terre, les bibelots en train de chuter, un enfant aux doigts sales maculant son fauteuil, un autre jouant avec les allumettes pour allumer les bougies, deux autres en train de se battre pour un robot en plastique. Il intervient pour les séparer, confisque le jouet objet de discorde et le place sur une étagère en hauteur ce qui déclenche une crise de larmes chez les deux. Monsieur Jean leur tourne le dos et s'éloigne estimant l'affaire réglée. Cathy intervient prend le robot sur l'étagère et fait mine de parler à sa place pour s'adresser aux enfants. Faisant mine d'être Globultor, elle leur indique qu'il est le gardien des verres vides et des assiettes salles, qu'il voit que son trésor est éparpillé partout dans l'univers, et il leur demande de l'aider à le rassembler ici sur la table. du coin de l'oeil, Jean a vu des enfants jouer dans la pièce qui lui sert de bureau. Il découvre deux enfants en train de gribouiller sur les pages du manuscrit de son prochain livre. Il les sort de là et il se plaint à Cathy qui lui répond qu'il devrait plutôt travailler sur ordinateur et que les dessins sont plutôt pas mal.

Monsieur Jean s'isole dans son bureau et passe un coup de fil à son ami Clément qui lui propose de sortir le soir même. Pendant ce temps-là, Cathy prend en charge le déroulement de la fête d'anniversaire, toute seule. Elle va répondre au coup de sonnette : c'est Jacques qui débarque avec ses jumeaux. Il lui explique qu'il vient de se disputer avec son épouse Véronique, qu'ils ont besoin d'un peu de temps tout seuls, qu'il lui laisse les jumeaux. Elle accepte gentiment. Dans son bureau, Jean continue de papoter tranquille, pendant que la fête bat son plein dans le salon. Cathy entre dans le bureau avec air courroucé. Elle lui explique qu'elle en a assez, assez d'être la bonne poire qui rapplique quand on a besoin d'elle, tout ça parce que les enfants, monsieur, ça lui prend la tête. Parfois, elle a vraiment l'impression de le déranger. Ça fait un an qu''ils sont ensemble et elle a l'impression qu'il s'investit à reculons. La vérité, c'est que ça lui fait peur de s'impliquer, de remettre en question son petit confort de célibataire. Elle lui dit au revoir et le laisse avec les enfants.

Au fur et à mesure des album, monsieur Jean grandit lentement mais inexorablement, poussé vers les responsabilités, confronté à des adultes, à leurs choix, à ses propres non-choix qui finalement se révèlent en être. Comme Cathy lui fait observer, il ne souhaite pas remettre en cause son petit confort de célibataire, et elle en a marre d'attendre qu'il se décide. Elle décide de s'éloigner quelques temps, profitant d'un voyage professionnel à New York : il aura ainsi tout le temps de réfléchir et de se décider, à moins que ce soit la vie qui le fasse pour lui. le début s'avère brutal : Monsieur Jean confronté à la sauvagerie déchaînée de petits enfants hors de contrôle. le chaos est libéré dans son petit appartement parisien, et il ne dispose d'aucun moyen pour le maîtriser, ni même pour l'endiguer. Les artistes s'amusent bien à faire s'alterner une case avec ces petits enfants sans retenue aucune, et la tête de Monsieur Jean abasourdi par ce qu'il contemple. Par comparaison, les gestes de Cathy sont calmes et posés, ses postures sont assurées et calment les enfants, en totale opposition avec le dégoût qui habite Jean. Lorsque ce dernier se rend compte que Jacques a laissé ses jumeaux, il est encore plus atterré, ne comprenant même pas comment ces enfants ont pu arriver là, totalement désemparé face à Véronique qui vient les chercher. de son côté, elle semble résignée et même quelque peu accablée par les tensions entre elle et son époux, avec une larme coulant sur sa joue, et cherchant un peu de réconfort sur l'épaule de Jean. Avec des images toutes simples, les dessinateurs savent faire passer la détresse qui l'habite.

Avec cette approche esthétique qui n'appartient qu'à eux, Dupuy & Berberian simplifient les silhouettes tout en leur donnant une réelle élégance, donnent un appendice nasal appartenant au registre gros nez aux hommes, des nez très fins et un peu pointus aux femmes. Ils jouent également sur les simplifications et les exagérations des visages pour les rendre plus expressifs : les yeux en forme de billes de loto pour l'effarement de Monsieur Jean devant les enfants déchaînés, les bouches très grandes ouvertes des enfants jusqu'à en voir la luette quand ils braillent en s'époumonant, les traits secs pour les yeux et la bouche quand Cathy est de mauvaise humeur, la bouche en croissant de Félix pour souligner sa bonne humeur insouciante, le visage très aplati de Mme Poulbot et son air satisfait, la bouche en fer à cheval de Clément pour montrer son dégout, les yeux mi-clos de Pierre-Yves, etc. le langage corporel des personnages s'avère tout aussi parlant : Cathy qui claque une porte, Monsieur Jean étendu très détendu alors que la fête enfantine bat son plein de l'autre côté de la porte, Félix avec les épaules tombantes alors que Jean lui démontre l'inanité de son plan pour se refaire, Eugène se débattant dans la baignoire parce que du shampoing lui coule dans les yeux, Marion et ses postures attentives vis-à-vis de Jean, Pierre-Yves dans des postures pleines d'assurance pour mettre en valeur son corps bien découplé.

Les artistes ont également repris l'idée d'une métaphore visuelle, à l'instar de celle du château fort dans le tome précédent. Cette fois-ci, il s'agit d'une sirène représentée sur un tableau qui se trouve dans un restaurant japonais, spécialisé dans les teriyakis. le lecteur la découvre pour la première fois sur la couverture : une jeune sirène accorte dont la tête a les traits de Cathy, la jeune femme que Jean fréquente depuis un an, et, sur sa queue, un jeune enfant, celui que Félix a adopté, né du précédent de lit de sa compagne, et dont il laisse la charge à Jean. Au-delà des personnages de la série, le message semble être que la femme exerce son pouvoir de séduction dans le but de transformer le mâle en père pour avoir un enfant. Néanmoins cette métaphore visuelle se fait plus polysémique que celle du château. le lecteur comprend que Monsieur Jean est impressionné par le tableau du restaurant, et tout autant par l‘histoire que lui narre le propriétaire, à savoir un conte japonais… mais l'arrivée de Cathy l'interrompt et il ne finit pas son histoire. L'image de la sirène revient alors tarauder l'inconscient de Monsieur Jean, soit quand il se met à rêvasser, soit pendant son sommeil, s'incarnant avec le visage de femmes différentes, dans des circonstances en lien direct avec les expériences du jour du rêveur. Dans le même temps, cette silhouette de femme couchée aux jambes masquées revient sous une autre forme, dans une autre histoire relative à un autre tableau. Ainsi les dessinateurs tissent un lien entre ces différentes parties du récit, par le biais de variations d'un motif visuel.

Le lecteur remarque également que pour la première fois ce tome n'est pas découpé chapitres, chacun avec leur titre, mais forme une unité. À une ou deux reprises, il éprouve une sensation de transition un peu maladroite, comme si les scénaristes avaient construit leur récit avec plusieurs développements emboîtés à posteriori. le lecteur oublie vite cette sensation, car la thématique de fond et le déroulement chronologique assurent une continuité narrative. Il s'agit à la fois de l'évolution de la relation entre Cathy et Monsieur Jean, à la fois de la manière dont le petit Eugène est pris en charge par des adultes, sans oublier les tensions dans le couple de Véronique & Jacques, ou encore de la tentative de séduction de Pierre-Yves, du mariage de Virginie & Laurent, et même de la solitude de madame Poulbot. le dispositif est simple et efficace : Monsieur Jean est le témoin direct des difficultés de couple. Véronique & Jacques font face à une frustration insidieuse parce qu'ils ne trouvent plus de temps ensemble parce qu'ils doivent s'occuper de leurs jumeaux qui deviennent donc une charge. Virginie & Laurent se marient ensemble pour la deuxième fois, mais des tensions subsistent à commencer par la jalousie de Laurent. Jean se retrouve à prendre en charge l'enfant Eugène, parce que Félix le délaisse, oubliant d'aller le chercher à l'école, n'étant pas là pour son anniversaire alors qu'il devait en animer la fête. Sans oublier Marion qui est mariée et qui essaye de de se retrouver dans les bras de Jean. Avec tout ça, l'histoire sur le trafic de tableaux devient quasiment superflue. Ainsi Monsieur Jean a tous les mauvais exemples devant lui, toutes les raisons de continuer à éviter de s'engager.

Le lecteur savoure le fait que la narration des auteurs se bonifient avec les albums qui passent. Peut-être que la narration visuelle progresse plus rapidement que la construction proprement dite du récit, avec une esthétique de plus en plus personnelle, de plus en plus élégante et expressive. Pour autant, le passage d'une succession de scénettes à un récit à la taille d'un album fonctionne majoritairement bien, ainsi que la métaphore visuelle de la sirène. le temps passe inexorablement pour tout le monde, y compris pour Monsieur Jean qui doit faire face au constat que prendre une décision ou ne pas le faire, c'est toujours choisir, et que le temps fuit.
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Tiens, au fait, comment va Jean ? Jean ? Ben, ça va pas trop mal, un peu débordé par Eugène, le gamin de Félix ; et son manuscrit piétine carrément. Toujours célibataire ? Là, pourrait y avoir du changement, et bien sûr Cathy est dans le coup ! Mais c'est quoi cette histoire de gourmette ?
Oups, excusez-nous, vous ne connaissez peut-être pas Jean, enfin Monsieur Jean ! C'est un type plutôt sympa, le genre trentenaire citadin qui se la joue pas trop. Plutôt doué pour la vie, alors il se la coule douce. D'ailleurs, je suis sûr que tout ce qui lui arrive et lui passe par la tête, c'est dans ses bouquins: le restau japonais, les sirènes, tout ça...
Un peu comme Philippe et Charles dans leurs BD. Qui ça? Ben... Dupuy et Berberian !?! Qu'est-ce qu'ils deviennent ces deux-là ?

Ça faisait quelques temps qu'ils nous avaient pas donné de nouvelles de Monsieur Jean, et là ils s'y sont remis. Mais cette fois c'est une grande histoire d'un seul tenant, pas des petits récits genre tranches-de-vie, et c'est peut-être moins sympa, moins touchant que d'habitude. le dessin aussi a changé, il est maintenant plus épais, les courbes sont moins tendues qu'avant, presque avachies. Les couleurs sont plus sombres aussi. Ils ont même redessiné la quatrième de couverture. du coup, on y retrouve pas vraiment la sublime élégance des recueils précédents.

Cela dit, pas de lézard, ni de lapin, ça reste très sympa. Comme pour nous tenir au courant de ce qu'ils ont fait pendant ces quatre ans, on retrouve en écho les Montparnos auxquels ils ont consacré une expo à la galerie Médicis intitulée "Nectar". Et puis ils ont voyagé. Ils nous offrent maintenant des vues de New York, comme dans leur carnet de croquis paru chez Cornelius.
Il y a toujours chez Dupuy et Berberian, comme chez leurs copains d'ailleurs, ce côté artiste et modèle qui les rend si attachants. On a presque l'impression de les connaître.
Mais on se demande encore pourquoi "La Table d'ébène" est introuvable en librairie.
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Jean, la trentaine, vit avec Cathy à Paris. Sans enfant, ils gardent parfois ceux des autres, notamment celui de Félix qui est séparé et habite chez eux le temps de se remettre sur pied et de trouver un emploi. L'ambiance n'est pas apaisée tous les jours, elle pèse parfois sur le jeune couple au point que Cathy remet leur relation en question et part quelques temps à l'étranger pour un voyage professionnel. Pendant ce temps, autour d'eux, des amis se marient, évoluent, changent de caractère, de comportement. Jean parfois a du mal à supporter les hypocrisies…

Dans un décor réaliste que j'attribue au 10e arrondissement de Paris (j'ai cru reconnaître les ponts au dessus des rails près des gares du Nord et de l'Est, les quais de Valmy/Jemmapes…), les auteurs nous font suivre les aventures de Monsieur Jean déjà croisé dans La théorie des gens seuls. Notre héros évolue et s'apprête, avec beaucoup d'hésitations et d'appréhensions, à passer un cap important de sa vie.
Entre humour, réflexions, poésie, l'histoire mêle réalisme et rêve avec ce tableau très particulier qui sera un cadeau de mariage incompris…
Lien : http://chezlorraine.blogspot..
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Je viens de découvrir l'univers de "Monsieur Jean" dans leur édition intégrale, et c'est un coup de foudre. Un anti-héros attachant et très singulier, que l'on suit dans son quotidien de joies et d'angoisses. L'acariâtre concierge est comme un fil rouge qui relie les différentes époques de sa vie, de la jeunesse à la maturité. Il faut prêter attention à la somme incroyable de détails qui permettent à Monsieur Jean de s'incarner vraiment dans une époque, en gros la fin des années 80 et le tournant de l'an 2000. C'est éblouissant !
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Dans ce tome, nous suivons une histoire entière de Monsieur Jean, qui ne sait pas tout à fait ce qu'il veut, coincé entre un confort qu'il ne veut pas abandonner et pourtant déjà sapé par la présence de son ami félix et son presque fils, Eugène, et l'amour qu'il porte à Cathy qui souhaite un engagement plus concret. Voilà, c'est aussi compliqué dans la tête de Jean que la phrase ci-dessus. L'histoire passe par les topoï du mariage des amis (et du retard), de l'amie célibataire et du voyage au loin pour reconquérir l'être aimé. Cependant, tout ceci est mené avec humour et légèreté, ce qui fait de cette BD un moment agréable à passer.
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Ça se passe évidemment il y a très longtemps. Un jeune paysan vivant seul ramène chez lui un magnifique poisson qu’il vient de pécher, et le met dans un bocal. Une semaine plus tard, en rentrant des champs, il trouve sur son lit une fleur de lotus d’un rouge flamboyant. Le lendemain soir, une nouvelle fleur l’attend encore plus belle et plus éclatante que la précédente. Devant cette brûlante déclaration d’amour désormais répétée chaque soir, le paysan se demande qui des jeunes filles qu’il croise au village peut bien l’aimer si ardemment. Un jour, il a une idée : il fait semblant d’aller aux champs et revient sur ses pas. Il observe en cachette et voit le poisson sortir de son bocal, puis se transformer en une très belle jeune femme qui… Je raconterai la fin de l’histoire un autre jour. […] Alors la suite. Donc, ils se marièrent. Le temps passe. À présent, tous les soirs, en rentrant des champs, le paysan trouve un bon diner. Il est content mais ne manifeste plus que de l’indifférence à l’égard de sa femme. Elle est malheureuse. Un jour, elle se dirige vers la mer. Son mari la suit. Elle lui dit : je m’en vais. Eh bien vas !, répond le paysan, et elle s’enfonce dans les flots. Au début, il se met à regretter les bons plats qu’il lui préparait. Mais au bout d’un certain temps, il se met à regretter les fleurs qu’elle lui adressait, sa sensibilité, sa délicieuse beauté. Et il comprend son erreur. En conclusion, Kagoshima dit : Il nous faut penser quelques fois aux autres au lieu de penser uniquement à nous-mêmes.
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Si j’en ai assez ? Eh bien oui, figure-toi, j’en ai assez… Assez d’être la bonne poire qui rapplique quand on a besoin d’elle, tout ça parce que les enfants, monsieur, ça lui prend la tête. Parfois, j’ai vraiment l’impression de te déranger, Jean. Ça fait un an qu’on est ensemble et on dirait que tu t’investis à reculons. La vérité, c’est que ça te fait peur de t’impliquer, de remettre en question ton petit confort de célibataire. Moi, j’en ai marre d’être en visite ici. J’ai 32 ans et je n’ai pas envie d’attendre des années que tu te décides. Alors, ne t’inquiète pas, je ne vais pas te déranger plus longtemps. Amuse-toi bien !
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C’est moi, Globultor, je veux vous confier une mission, ok ? Je suis le gardien des verres vides et des assiettes sales. Je vois que mon trésor est éparpillé partout dans l’univers. Voulez-vous m’aider à le rassembler ici ?
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Ah ouais, d’accord, le genre intello-branchouille ! Parfait, je vois déjà l’adaptation cinéma label Qualité-France, avec Vincent Casse-Couille et Sophie Marcel. Gros succès critique !
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Je veux dire que de nous tous, Jean est le seul à continuer à faire ce qui lui plaît et probablement le seul à ne pas avoir renié ses rêves d’adolescent.
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