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EAN : 9782290149737
412 pages
J'ai lu (23/08/2017)
3.92/5   315 notes
Résumé :
Paris n'est plus que ruines.
Et le prix de la cervelle fraîche s'envole.

Heureusement, il reste des punks.
Et des bières.
Et des acides.
Et un groupe électrogène pour jouer du Discharge.
Le club des punks va pouvoir survivre à l'Apocalypse. Enfin, si en plus des zombies, les gros cons n'étaient pas aussi de sortie...

Il est grand temps que l'anarchie remtte de l'ordre dans le chaos !
Que lire après Le club des punks contre l'apocalypse zombieVoir plus
Critiques, Analyses et Avis (101) Voir plus Ajouter une critique
3,92

sur 315 notes
Drôle mais space.


On est à Paris. L'apocalypse zombie est arrivée. Tout le monde s'entre-dévore dans les rues. Tous ? Non, un squat de punks résiste encore (un peu par hasard croyez-vous?) à l'envahisseur. Et en plus ils ont des visions qui leurs sauvent les miches et leurs donnent la marche à suivre.


Ça fuse. Tous les paragraphes, toutes les phrases voire tous les mots, le roman entier est construit sur le style, le langage décalé des kepons toxicos, fuck le système.
Ce qui avait un certain charme au début, on renouvelle indéniablement le genre, a fini par m'agacer franchement en milieu et fin de roman.
Avec le côté surnaturel (plus encore qu'un bon vieux zombie ? ), mystique, esprits frappeurs et plus si affinité, ça m'a achevé.
Attention, le tout est parfaitement raccord, dans le style décalé, encore qu'un bon client bouffeur de curé pourrait y trouver à redire, mais si je suis ok pour renouveler le genre zombie, je ne suis pas prêt à le dénaturer.


J'étais pas prêt, je ne suis pas prêt à trop sortir des codes.
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📖 « C’est un putain de conte de fées cette histoire de zombies ! »


Retrouver (aussi rapidement) la plume philosophe et argotique si plaisante de Karim Berrouka fût, en plus d'un plaisir certain, complètement désiré et assumé.
Ainsi, après « Fées, weed et guillotines » et « Pourquoi dans les grands bois aimé-je à m'égarer » (nouvelle issue du même univers, non critiquée pour ma part), et bien malgré la pile pléthorique de livres qui m'attend toujours, je voulais encore lire de ce style « écrit-parlé » bourré de verlan et de bons mots qui le caractérise tant.
Ça me manquait, tant ça se lit comme du p'tit lait ! ;-)

📖 « De toutes les matières, c'est la grise que j'préfère. »
[Bob Zombie]

Allez ! C'est r'parti pour un tour !
Pas de fées cette fois, encore moins de guillotines - ni de preux chevaliers (quoique...) de la table ronde -, rien de tel ici. Enfin si... peut-être un peu de weed, quand même ^^
En revanche - et vous l'aurez deviné sans trop de difficultés - ; des Punks, ça oui, à foison, et des zombis en veux-tu en voilà des pleines pelletées !


📖 « Dans la rue, des groupes de types en lambeaux errent en bavant. Pas d'évolution de ce côté-là, si ce n'est qu'ils ont arrêté de bouffer les passants.
Probablement parce qu'il n'y a plus de passants. »


C'est toujours aussi drôle et déjanté, barré, complètement fou... mais qu'est-ce que ça fait du bien ! Toujours autant. C'est vrai quoi, il faut rire ! - et on ne le fait plus aussi souvent qu'on devrait aujourd'hui... Heureusement, un bon bouquin comme celui-ci, ça peut aider ! - Bien qu'on ne le qualifiera peut-être pas de « feel-good » non plus =)
Après, j'avoue, l'humour en question n'atteindra peut-être pas tout le monde.
Et, une bonne connaissance de l'univers keupon des années 80 s'avèrera, sinon obligatoire, toujours la bienvenue -> Licence « No Future » préférable, mais pas indispensable.
(Pour rappel, Karim Berrouka n'est autre que le chanteur d'un groupe punk de cette décennie ; Ludwig von 88.)


📖 « Nuit tranquille.
Dehors les morts-vivants font ce qu'ils font de mieux : ils errent comme des damnés. Vers une heure, coupure de jus. L'électricité a rendu l'âme dans le quartier. Il va falloir sortir les lampes de poche, puis se remettre aux bougies quand on aura épuisé les piles.
L'apocalypse, c'est d'un prévisible... »


L'équipage du Collectif 25 - petit collectif qui deviendra Grand... - se compose des inséparables Deuspi & Fonsdé, du duo de punk à chien ; Glandouille & Pustule (et c'est pas le nom des chiens hein, qui par ailleurs sont trois), de l'anarcho-punk et très cultivé Kropotkine, du freegan nommé Mange-Poubelle du fait qu'il ne conçoit pas trouver sa nourriture ailleurs (que dans les poubelles donc), et de sa fervente « opposante » avec qui il adore se prendre la tête ; la défenseuse patentée des droits de l'homme, de la femme, des enfants, des animaux, de l'amour, de la nature, de la liberté, de la vie, etc... bref, la militante écolo-punkette Eva (pourvue, accessoirement, de ses spikes jaune citron).

Cette joyeuse bande va surtout devoir survivre dans une atmosphère post-apocalypse, enfin libérée du carcan de la surconsommation et des autres dérives de l'humanité, au profit de l'anarchie - mais organisée, l'anarchie... ou à tout le moins ; autant que faire se peut - et où les « comme morts qui marchent » vont se révéler... comment dire ? On ne peut plus surprenants. Musicalement parlant en tous cas. Le tout, entre autres quête mystique, trips hallucinatoires et visions salvatrices...

Mais je n'en dirai pas davantage.


📖 « Quelle merde la fin du monde... »


À votre tour d'aller zoner chez les zombies, avec le collectif évidemment !
Zombiesque lecture à tous et toutes =))

📖 « Le monde n’est pas mal fait, il est juste parfait dans son cynisme. »
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Les morts se relèvent.
Avides de chair humaine.
Mais les punks vont faire face.
Et le drapeau noir flottera sur Paname.

---

Attention OVNI en or massif.

Punks VS zombies ? Simpliste ? Oh, non ma p'tite dame ! Parce que ces zombies-là, voyez-vous, ils ont l'oreille musicale... Et que ces punks-là, croyez-moi, c'est des anti-héros qui fcukent le Grand Capital à coups de rangeots !

J'ai adoré cette lecture. Irrévérencieuse, emplie de rage, d'humour, intelligente, jouissive, aux messages forts et au suspens haletant, pleine de violence et de fureur libératrice, pleine de trips et de références musicales, cinématographiques, politiques, culturelles, historiques (j'en passe). Elle casse les codes, elle les reprend, les libère, les éparpille.

Ah quel bonheur, quelle plume, quelle maîtrise scénaristique, quel catharsis !

Merci Hyelana pour cette pioche de Décembre 2017 :)
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Les personnages:

Rien qu'avec leurs Prénoms, vous avez déjà une idée de ce qui vous attend : Deuspi et Fonsdé, le duo inséparable, Eva Miss Antitout, Kropotkine et son anarchisme, Mange-Poubelle et son accoutrement très spécial, Glandouille et Pustule avec leurs trois clébards. Voici donc le club des punks, le Collectif 25…Joyeuse bande de « timbrés » qu'on se plaît à voir ainsi mettre en scène, et se battre contre les zombies. On s'attache à leurs personnalités, on se boirait bien un petit coup avec eux, tellement ils sont sympathiques. Il forment une bande improbable de héros malgré eux, et ce qui fait tout leur charme…

« -On est des punks, pas des héros. » p271.

Ce que j'ai ressenti:…Un condensé d'humour et de tempo ravageur…

Encore une fois, c'est le mot Déjanté qui me vient à l'esprit après la lecture de ce livre! Décidemment, Karim Berrouka est un auteur à suivre pour ses délires!!!!J'aime sa folie, j'adhère à son style et je suis impatiente de lire son prochain livre, après les fées (cf Fées Weed et Guillotines), place aux créatures dégoulinantes et bouffeuses de cervelles….

Du coup, leur cervelle a largement dépassé la cote d'alerte toxicologique. Elle est habituée certes, mais ça ne l'empêche pas pour autant de se mettre en mode free party.

Paris, nouveau terrain de jeu des zombies, Paris mis à sac par une bande de dégénérés, Paris, ou la naissance hypothétique de l'Anarchie. Paris se voit endosser de nouvelles couleurs, de nouvelles odeurs, de nouveaux combats, de nouveaux hymnes. Autant vous dire, que l'Humour est de ses pages, qu'il est à prendre au second degré voire encore plus bas, (c'est combien déjà celui de la bière???!!!), qu'on est éclaté de rire à chaque réplique, qu'on se prend une belle dose de n'importe nawak délirante, acide mais salvatrice pour nos zygomatiques.

« Ligne de Speed, coke en stock, si je mens, je vais à Woodstock. »

Mais cette histoire c'est une révérence à la musique Punk. Il donne le ton et l'énergie aux pages qui défilent. Tout est dans la dynamique, les zombies se font dezinguer à tout va sous des airs inspirés, les anges ont des prénoms d'artistes populaires, les fleurs jaillissent des guitares sèches…Une sacrée ambiance, je vous le dis!!! Je ne connaissais aucune des chansons du répertoire keupon, mais l'auteur arrive à titiller notre curiosité, et si jamais un son inhabituel sortait de mes enceintes, il y serait sans doute pour quelque chose! J'ai beaucoup aimé cette touche musicale du roman, tout en rythme et en textes forts…

-Tu crois qu'ils kiffent le punk destroy?
-Ils avaient l'air…C'est bon à savoir.

Mais ce petit condensé d'humour et de tempo ravageur cache au détour des lignes, une belle métaphore de notre société actuelle. Derrière le côté complètement « barré », l'auteur nous met en garde avec intelligence et jeux de mots incisifs, des dangers de ce système capitaliste. C'est ce que j'ai aimé, cette histoire à double sens, derrière le divertissement, les petits clins d'oeil avisés, les dénonciations tout en humour et reparties hilarantes.

-Et ensuite, on libère Amour et Paix, enfermés dans cette boite depuis que Haine, Convoitise et Obscurantisme les y ont pris au piège?

En bref, une lecture estivale qui fait du bien au moral, un univers riche et affamé, une vision nimbée d'hallucinogènes, mais un très bon moment de lecture que je vous conseille!

Lien : https://fairystelphique.word..
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Marre des zombies ? Ras-le-bol de lire encore et encore la même histoire relatant le déferlement de hordes de morts-vivants et le combat des rares survivants ? Moi aussi, et pourtant je vous conseille vivement de vous laisser tenter par « Le club des punks contre l'apocalypse zombie », roman complètement déjanté récompensé lors des derniers Utopiales par le Prix Julia Verlanger. Bon, au niveau du pitch ça reste assez classique (l'apocalypse, les zombies, les survivants, tout ça tout ça...) mais du côté des personnages on a quand même du lourd ! Il y a d'abord Kropotkine (mon petit chouchou), un anarchiste convaincu et capable de vous réciter sans problème du Proudhon ou du Bakounine. Il y a aussi Eva, la grande révoltée du groupe multipliant les combats contre le sexisme, l'homophobie, l'expérimentation animale, le nucléaire... Et puis il y a les inséparables Deuspi et Fonsdé, toujours en train de planer, Glandouille et Pustule, les fameux « punks à chiens » du collectif, et enfin Mange-Poubelle, grand connaisseur de films d'horreur entretenant des rapports conflictuels avec le savon. C'est déjà un peu plus intriguant que d'habitude, n'est-ce pas ? Et bien dites-vous que l'intrigue est à l'image de ses personnages : c'est à dire que c'est le bordel. Seule ombre au tableau (mais qui prend de plus en plus d'ampleur au fil des chapitres), les visions complètement perchées qui assaillent nos héros et qui donnent lieu à une fin certes inattendue mais surtout très décevante.

Ces légers bémols mis à part, il faut avouer qu'on passe un bon moment en compagnie de ces punks bien décidés à instaurer un nouveau fonctionnement et à faire flotter le drapeau anarchiste sur Paris. Après tout, puisque la société était déjà pourrie avant l'apocalypse, pourquoi ne pas profiter de l'occasion pour se débarrasser des chaînes qui entravent l'humanité ? le patronat, la consommation à l'excès, l'abrutissement de la population par les médias... : Karim Berrouka tape sans vergogne sur tout ce qui constitue l'essence de notre belle société capitaliste... et ça fait plaisir ! « Deuspi et Fonsdé jubilent. C'est l'anarchie. Ce à quoi Kropotkine répond que non, ce n'est pas l'anarchie, c'est le chaos. Ils confondent tout, encore et encore, n'ont aucune conscience des réalités de la lutte sociale, l'anarchie ce n'est pas péter des rotules de CRS et brûler des commissariats, aussi plaisant que ça puisse être. » On sent que l'auteur a vraiment pris son pied à écrire son roman et son enthousiasme ne tarde pas à se communiquer au lecteur. Un lecteur qui assiste à certaines scènes d'anthologie particulièrement jouissives, à l'image de celle assez surréaliste où Fonsdé s'attaque à une Christine Boutin zombifiée. Sans oublier le passage où nos amis les anciens maîtres de la capitale se retrouvent obligés de détaler la queue entre les jambes en abandonnant leur place forte. Ou encore celui (ou plutôt ceux, parce qu'il y en a pas mal) où les forces de l'ordre en prennent pour leur grade.

Pas sûr que vous soyez susceptible à ce genre d'humour si vous comptez parmi les membres du MEDEF (quoique, on ne sait jamais...), en tout cas pour les lecteurs qui sont sur la même longueur d'onde, c'est un régal. Mais il ne s'agit pas du seul intérêt que possède le roman qui, comme on l'a déjà mentionné un peu plus tôt, fait preuve d'une sacré originalité, Berrouka n'hésitant pas à bousculer un peu la routine de l'histoire de zombie traditionnelle. le décor, d'abord, n'est pas tout à fait le même puisque l'action prend place dans Paris et met en scène certains de ses monuments emblématiques (qui résistent plus ou moins bien à la fin du monde). Au delà de l'aspect touristique, il est également intéressant de voir l'action se passer dans un pays où les armes à feu ne courent pas les rues : ça pousse les personnages à plus d'inventivité ! Et puis a-t-on déjà abordé dans un roman de ce type les difficultés posées par l'électronisation désormais presque systématique de tout ce qui nous entoure ? Non parce que les voitures à carte et les halls d'immeuble protégés par des portes à badges c'est bien, mais quand le courant finit par tomber en rade ça complique considérablement la vie des survivants. Autre nouveauté, et non des moindres : les zombies sont sensibles à la musique et sont capables d'adopter un comportement totalement différent selon qu'on leur jour du punk, de la musique classique, du rock ou du reggae. Voilà qui ouvre pas mal de perspectives, non ?

Dans la même veine que Fabien Clavel qui relatait dans « L'évangile cannibale » les aventures d'un groupe de seniors piégés dans un Paris envahi par les zombies, Karim Berrouka signe un roman qui sort largement des sentiers battus... pour le plus grand plaisir du lecteur qui passe un bon moment à se poiler devant les aventures rocambolesques de cet attachant groupe de punks.
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Citations et extraits (116) Voir plus Ajouter une citation
Notre vieux monde vient de se faire ramasser. Adieu divine consommation, adieu confort et mansuétude étatique et patronale. L'avenir est à nous.
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Non d'un Punk à chien franc-maçon !
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La lumière revient, et avec, le bruit, la fureur. Le chaos.
Le cercle des bras tendus n'est plus qu'à trois mètres de lui. Il y a urgence. C'est probablement idiot mais il va faire comme Jean Matthieu lui a dit dans sa vision. Pas spécialement convaincu par son discours, mais le flic voulait du punk. Pas question d'obéir à ce connard. Il va se faire mal pour se faire plaisir. Un dernier baroud d'honneur, une ultime provocation.
Ça ne va pas être simple. Cela va contre ses principes.
Il esquisse un petit sourire rebelle et se met à chanter... une chanson de hippies.
Si on lui avait dit un jour qu'il tirerait sa révérence sur un air pour adorateurs de mandalas et de vestes à franges...

Salut noirceur ma vieille pote
J'viens t'parler d'un truc qui dépote
Parce qu'une vision d'un ange sous trip
M'a dit de chanter des trucs de gland
Et la vision, pleine de benjoin et d'encens, reste encore
Au fond du son, du silence...

Bordel que c'est faux. Et les accords, on dirait Pierre Boulez essayant de jouer du Einstürzende Neubauten sur un cymbalum. Mais dans l'idée, c'est bien baba. Bien trop pour Deuspi qui se dit qu'il va mourir d'une overdose de Peace & Love avant même qu'une main crochue lui arrache la gorge.
Aussitôt, les zombies autour de lui s'immobilisent. Puis, ils se mettent à se dandiner, remuant la tête avec un air béat, comme s'ils avaient avalé des neuroleptiques ou étaient entrés en communion avec le dieu de la guimauve. Il savait que la musique de babs avaient un effet nocif sur l'organisme et la psyché. Il ne pensait pas que c'était aussi intense.
Il continue son chemin, machinalement, direction le centre de la place. Il n'a pas trop le temps de réfléchir, il doit se focaliser sur la chanson, parce que, naturellement, il a juste envie d'accélérer le tempo, de frapper plus fort les cordes, de hurler «Hotel California über alles !». Il se retient, il se concentre. Il doit être plus cool qu'un flower child de San Francisco, il doit réveiller le hippie qui n'a jamais été tapi au fond de lui, que les divinités du psychédélisme et de l'amour lui accordent le pouvoir de l'amour. Il peut le faire, il peut le faire !
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Ne sortez pas de chez vous, barricadez-vous, n’ouvrez à personne, surtout pas à vos voisins, nous avons la situation en main, l’armée rétablit l’ordre, le président est en lieu sûr, les chiffres du chômage sont encourageants, la reprise succédera à l’austérité, l’État français ne se laissera pas intimider par des actes commis par un groupe de terroristes sanguinaires, l’avenir est radieux…
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Quand l’homme ne sait pas ou ne sait plus, il se tourne vers Dieu… Qui n’en sait pas plus que lui, qui ne répond jamais, mais c’est toujours rassurant de savoir qu’il existe un être supérieur, sourd, muet et complètement désintéressé de ses ouailles, dans les mains duquel on peut mettre son destin.
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Vidéo de Karim Berrouka
Parfois notre psyché ne résiste pas aux pressions qu'elle subit, ou bien notre corps à la naissance ou à un accident ultérieur… de Jekyll & Hyde à Miles Vorkosigan en passant par Hulk, petit traité de la pathologie mentale ou physique en science-fiction.
Avec : Killoffer, Jean Baret, Claire Duvivier, Karim Berrouka Modération : Olivier Gechter
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