Nelson, tome 1 : Diablotin à domicile

J'ai découvert Nelson dans le journal de Spirou. Après avoir acheté récemment le dernier tome paru (le tome 15) que j'ai vraiment adoré, j'ai décidé de commencer l'intégrale de la série, mais dans l'ordre cette fois-ci.

L'humour est déjà très présent et le style graphique également même si l'on sent que l'auteur se cherche encore un peu. En tout cas, toutes les bases sont là, et j'ai pris beaucoup de plaisir à découvrir l'origine de Nelson et son intégration à la famille.

Dans le même genre que Garfield, mais un peu plus moderne tout de même, avec des dessins plus fins, puisque entièrement fait à la tablette graphique (lu dans une interview de l'auteur ).

C'est simple, comme du Garfield, comme du Kid Paddle ou du Game Over, chaque planche ou presque est drôle, et c'est tout ce qui importe dans ce type de BD.

L'origine de Nelson... le non-partage d'une chaîne via e-mail par sa future maîtresse... et le vol d'un rouleau de papier WC du bureau. Petit vol, petit démon...

Voilà les deux premiers "gags" du premier tome des aventures de Nelson.

Le reste met en place l'univers de Julie qui héberge malgré elle le diablotin Nelson. On a Floyd le labrador indolent et le bureau avec les collègues. Par rapport à d'autres tomes que j'ai pu survolé (soyons honnêtes, lire un tome de Nelson de A à Z est quasi impossible), on a davantage de gags quiu se font au détriment de Nelson. Et pas mal d'interaction avec Floyd, qui évoquent Garfield et son pote. Nelson découvre aussi le monde des humains et il se méprend souvent sur l'usage réel des objets ou des services. Cela fait sourire en amenant une réflexion sur les codes de notre monde.

Challenge Petits Plaisirs 2014/2015

Pour avoir volé du papier toilette au bureau, Julie doit désormais supporter Nelson, diablotin de son état. Accompagné de Floyd, le chien, ce trio concocte de strip en strip de nombreuses farces et scènes humoristiques.
C'est mignon, drôle et fais passer du bon temps que ce soit par une lecture complète telle une BD classique ou en piochant au hasard des pages et des envies. Personnellement, je préfère la seconde approche qui conserve intacte le charme de Nelson et évite la lassitude.

Nelson, petit diable à domicile, fait les quatre cents coups avec son ami Floyd, pour notre plus grand bonheur. Les gags sont vraiment très drôles et les personnages plus qu'attachants. Découvrez Nelson, vous passerez un très bon moment de lecture et de rigolade.

Parce qu'elle a dérobé un rouleau de papier toilette au bureau, Julie se retrouve affublée d'un drôle de diablotin orange. Prénommé Nelson, il va désormais faire partie de sa vie, pour le plus grand plaisir de nos muscles zygomatiques. En effet, cette bande dessinée est un vrai régal de bonne humeur, un délice d'humour, un bonheur dû aux enchaînements de gags en tous genres. Jusqu'alors, Julie vivait avec Floyd, son labrador un peu simplet qui deviendra rapidement la cible des bêtises de Nelson. Mais désormais, sa vie va prendre une toute autre tournure…

Cette bande dessinée ne se présente pas sous la forme d'une seule histoire, mais sous forme de strips. Il y a donc quatre petites histoires sur chaque page, ce qui offre deux possibilités de lecture : soit on adhère totalement à cet humour et on ne peut s'empêcher de tourner les pages les unes après les autres pendant 48 pages (et on attend avec impatience d'avoir le tome suivant dans la bibliothèque), soit on lit une histoire par-ci, par-là de temps en temps.

Pour ma part, je l'ai dévoré. Ce petit diablotin belge m'a totalement conquise. A la fin de chaque strip, je me disais : aller, encore un, puis un autre, et un encore autre… Et résultat, il ne m'a pas fallu longtemps pour devenir une adepte de Nelson.
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