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EAN : 9782204094122
2079 pages
Le Cerf (18/11/2010)
4.45/5   86 notes
Résumé :
Traduction oecuménique de la Bible : comprenant l'ancien et le nouveau testament, traduits sur les textes originaux hébreu et grec, avec introductions, notes essentielles, glossaire
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Critiques, Analyses et Avis (6) Voir plus Ajouter une critique
Que penser de ce livre ? En tant que livre, j'entends, pas en tant que symbole. Est-il bien écrit ? cohérent ? agréable à lire ? crédible ? compréhensible ? logique ? clair ? facile à suivre ? intéressant ? captivant ? actuel ? factuel ? etc., etc. Vous voyez bien qu'on ne s'en sortira jamais comme ça, certains diront « oui, oui, tout à fait » et d'autres « non, non, absolument pas ». Donc, pour juger de la forme, c'est mort.

Alors, forte de cette constatation, si l'on excepte volontairement la forme et qu'on se replie uniquement sur le fond, que dit-il, exactement, ce livre ? quel est son message d'ensemble ? Là encore, on est foutu, on ne s'en sortira pas, il n'arrête pas d'affirmer une chose et son contraire, le meilleur y côtoie sans arrêt le pire, le juste, l'injuste, le sensé, l'insensé. Est-il tolérant ? positif ? ou exactement l'inverse ? Vous trouverez, sans avoir à chercher bien loin, de tenants de l'une ou de l'autre thèse, s'appuyant respectivement sur tel ou tel passages, lesquels passages se contre-disant entre eux allègrement.

Mais pourtant, si je ne m'abuse, un livre, quel qu'il soit, on doit bien pouvoir en établir une critique, s'en faire un avis, une opinion, l'exprimer librement et concevoir qu'il puisse y avoir des milliards d'autres opinions alternatives à son sujet, n'est-ce pas ? Donc, en bonne logique cartésienne, on doit pouvoir faire une critique littéraire de la Bible comme on le ferait de n'importe quel autre livre, non ?

Descartes ne dit pas autre chose, fractionner le problème en morceaux aussi petits que nécessaires pour pouvoir appréhender le problème dans son entier. Ici, le problème dans son entier, à l'échelle d'une population, est " Que doit-on penser de la Bible ? ", le petit morceau, c'est moi, un moi qui n'a rien d'universel ni de transposable, mais un individu suffisamment petit pour se faire une opinion individuelle, justement, à propos de la chose jugée et qui devient " Que dois-je, moi personnellement, penser de la Bible ? "

(Ce qui s'applique au lecteur lambda devrait, en toute logique cartésienne, aussi s'appliquer au livre lui-même, car, en tant qu'ensemble, on ne peut quasiment pas l'embrasser dans son entier, on ne peut normalement émettre une opinion que sur chacune des parties constitutives tellement elles sont différentes les unes des autres. L'ennui, c'est que la Bible est bien un ensemble, une sorte d'organisme à lui tout seul, et dire d'elle comme on dirait de quelqu'un : « J'aime bien ses yeux, mais je n'aime pas du tout ses reins ; la trachée, c'est pas mal, par contre, le foie, ça ne va pas du tout ! » est assez singulier, n'est-ce pas ? Donc, on n'a pas le choix, il faut dire ce qu'on pense de l'organisme en tant que tel et dans son entièreté, en sa qualité d'organisme, exactement comme on soupèserait les pour et les contre pour juger du fait que l'on doit ou non fréquenter assidument telle ou telle personne, malgré la complexité dont elle est faite. Il y a un moment où il faut trancher avec les personnes ; je fais de même avec les livres.)

Ce faisant, si je reprends mes catégories précédentes, qu'est-ce que j'en pense, individuellement, de la forme de ce machin, de ce bidule innommable, inqualifiable, imbuvable, ce salmigondis, cette mélasse textuelle ? (Je me souviens que j'avais écrit un peu la même chose après la lecture de l'Ulysse de Joyce, un livre qui, par sa lisibilité et sa cohérence est peut-être comparable, à la différence que, contrairement au livre qui m'occupe aujourd'hui, lui ne professe la soumission ou la haine de personne. D'où cette appréciation d'ensemble encore moins flatteuse ici que là-bas.)

Est-ce que ça a un sens de regrouper dans un même ensemble des éléments si dissemblables ? de mon point de vue, non, pas du tout. Et si je me focalise sur la partie exclusivement chrétienne du paquet, personnellement, même en me motivant à fond, même quand j'ai passé une bonne nuit auparavant, avalé tout ce qu'il fallait de café au préalable pour tenir le choc et tout et tout, j'ai beau pousser la lumière au maximum, façon projecteur de stade, bloum ! je m'y ennuie au bout de quatre pages comme ce n'est pas imaginable, je bâille et, à la dixième page, soit je suis déjà endormie depuis trois pages, soit je me dis : « Qu'est-ce que je m'emmerde, nom de Dieu, qu'est-ce que je m'emmerde ! » Moralité : rien que sur la seule forme, c'est, de mon unique point de vue, d'une chienlit rédhibitoire.

Bon, ça n'est déjà pas glorieux, mais examinons quand même un peu le fond, histoire de ne pas mourir totalement idiote (bien qu'en ce qui me concerne, ça sera difficile). Alors je veux bien admettre que certains passages sont agréables, acceptables, recevables, mais imaginez mes pauvres amis, essayez ne serait-ce que d'imaginez la tête que je peux faire, la propension au bond de carpe qui m'anime quand je tombe, par exemple, sur des passages comme ceux-ci :

« La femme ne dispose pas de son corps, mais le mari. » Épîtres De Saint Paul, Première épître aux Corinthiens, II, 1, 7, verset 4.

« L'origine de la femme, c'est l'homme ; [...] Si donc une femme ne se couvre, alors, qu'elle se coupe les cheveux ! […] L'homme, lui, ne doit pas se couvrir la tête, parce qu'il est l'image de la gloire de Dieu ; quant à la femme, elle est la gloire de l'homme. Ce n'est pas l'homme en effet qui a été tiré de la femme, mais la femme de l'homme ; et ce n'est pas l'homme bien sûr, qui a été créé pour la femme, mais la femme pour l'homme. Voilà pourquoi la femme doit se coiffer convenablement. » Encore la Première épître de Paul aux Corinthiens, II, 3, 11, versets 3 à 10.

« Que les femmes se taisent dans les assemblées, car il ne leur est pas permis de prendre la parole ; qu'elles se tiennent dans la soumission, selon que la Loi même le dit. Si elles veulent s'instruire sur quelque point, qu'elles interrogent leur mari à la maison ; car il est inconvenant pour une femme de parler dans une assemblée. » Toujours la fameuse Première épître de Paul, décidément très en forme pour s'adresser aux Corinthiens II, 3, 14, versets 34 et 35.

« Ces gens-là [les Juifs] […] sont ennemis de tous les hommes » Épîtres De Saint Paul, Première épître aux Thessaloniciens, 2, verset 15.

Alors, vous vous dites peut-être que c'est parce que j'ai Paul dans le nez, que je ne puise qu'à sa source. Soit, c'est un argument recevable, alors allons voir chez Pierre :

« Vous les domestiques, soyez soumis à vos maîtres, avec une profonde crainte, non seulement aux bons et aux bienveillants, mais aussi aux difficiles. Car c'est une grâce que de supporter, par égard pour Dieu, des peines que l'on souffre injustement. Quelle gloire, en effet, à supporter les coups si vous avez commis une faute ? […] Pareillement, vous les femmes, soyez soumises à vos maris » Première épître De Saint Pierre, 2, versets 18 à 20 et 3, verset 1.

Chez Jacques :

« Qui veut donc être ami du monde, se rend ennemi de Dieu. » Épître de Saint Jacques, 4, verset 4.

Chez Jean :

« Celui qui ne croit pas en Dieu fait de lui un menteur » Première épître de Saint Jean, 5, verset 10.

Chez Jude :

« À la fin des temps, il y aura des moqueurs, marchant selon leurs convoitises impies. Ce sont eux qui créent des divisions, ces animaux, ces êtres " psychiques " qui n'ont pas d'esprit. » Épître de Saint Jude, versets 18 et 19.

Enfin, je ne résiste pas au plaisir de vous glisser celle qui est peut-être ma préférée d'entre toutes, et elle est l'oeuvre, à nouveau, de l'inimitable Paul, un très saint homme, assurément :

« Esclaves, obéissez en tout à vos maîtres d'ici-bas […] Quel que soit le travail, faites-le avec âme » Épître aux Colossiens, III, 3, versets 22 et 23.

Ça, c'est hors des évangiles, me rétorquerez-vous, et vous aurez raison. Que dire des évangiles ?… Ma foi, c'est là encore absolument délirant. Peut-être peut-on supposer que ce qui y est professé pouvait être plus croyable à l'époque, c'est-à-dire durant l'Antiquité, quand les savoirs et les réflexions avaient été moins poussés, or, si je m'en réfère à ce qui reste d'un écrit du philosophe grec Porphyre de Tyr datant d'environ 270 après ledit Jésus l'oint, et qui avait lu attentivement les évangiles (c'est-à-dire assez peu de temps après la rédaction des évangiles proprement dits, et à peu près au moment de la constitution du canon néo-testamentaire).

Il en dit ceci : « Il est clair que cette fiction incohérente, ou bien représente plusieurs crucifiés, ou bien un seul, qui meurt si mal, qu'il ne donne à ceux qui sont là aucune idée nette de ce qu'il souffre. Mais si ces gens-là n'étaient pas capables de dire véridiquement de quelle façon il était mort et n'ont fait que de la littérature, c'est que sur tout le reste il n'ont rien raconté non plus qui mérite confiance. »

Bon, bref, dès l'Antiquité, voilà ce qu'on pouvait en penser, et, en ce qui me concerne, dans le fond, plus encore que la forme, c'est à vomir, archi-vomir. Mais j'adore pourtant ce livre : vous n'imaginez pas les services qu'il m'a déjà rendu en tant que cale-porte pour éviter que les courants d'air ne fassent trembler les murs, donc, je vous le conseille bien volontiers pour cet usage. Vous le trouverez pour sûrement beaucoup moins cher chez un bouquiniste que l'équivalent fonctionnel chez Leroy-Merlin ou Castorama, mais ça n'est, bien évidement, que mon avis, qui n'est pas parole d'évangile, c'est-à-dire, pas grand chose.

P. S. Vous noterez que ce dont j'ai parlé, ici, principalement, c'est du Nouveau Testament, qui est une dissidence par rapport à l'Ancien, c'est-à-dire la Torah. Encore une contradiction supplémentaire dans cet ensemble particulièrement hétéroclite qu'on nomme de façon fourre-tout " Bible ". J'aurais beaucoup de choses à dire également sur l'Ancien Testament, mais ça nous conduirait bien trop loin en terme de longueur d'avis. D'ailleurs, si j'écris un jour à propos de cet " Ancien Testament ", je ne le désignerai pas comme " Bible " mais comme Torah.

Et justement, il est bien là, tout le problème : cette " Bible " est un ensemble tellement décousu, tellement contradictoire, tellement intriqué qu'on peut lui faire dire " Vive l'amour " ou " À bas l'amour ! " ; " Aimez tout le monde " ou " N'aimez surtout pas ceux-là " ; " Battez-vous, ne vous laissez pas faire ! " ou " Laissez-vous faire, ne répondez surtout pas ". Si je prends l'exemple, ô combien crucial, pour le christianisme naissant de la mission auprès des non juifs, le livre Des Actes des Apôtres, partie II, chapitres 10 et 11, nous affirme que c'est Pierre qui est chargé de cette mission. Or, Paul, dans l'Épître aux Galates, partie I, chapitre 2, nous affirme au contraire que c'est lui qui a pour mission de prêcher l'Évangile de Jésus le christ parmi les païens et Pierre celle de prêcher parmi les circoncis (c'est-à-dire les Juifs). Alors, qui croire ? À quel saint se vouer, si les livres constitutifs de la Bible ne sont déjà pas capables de s'entendre sur un élément apparemment aussi factuel et pragmatique, normalement non sujet à controverse, qu'en sera-t-il du reste ?

C'est un peu comme si, dans un même ouvrage je collais Sade, Claudel, Céline, Proust, Gide, Hugo, Camus et Voltaire et que je vous disais : " Ça a été écrit à des époques différentes, mais c'est un tout, il faut le prendre comme tel. " Est-ce que ça aurait du sens ? Non, bien sûr, vous me diriez : " C'est débile de réunir des trucs aussi antinomiques ! " Or, pourtant, la Bible, c'est ça. Ça me rappelle les fameux plans de commentaires composés au lycée, les plans thèse, antithèse, synthèse, ceux que j'appelais à l'époque les plans " oui, non, zut ", les plans " Oui j'aime les fraises, non je n'aime pas les fraises, bon et puis, débrouillez vous. " En picorant ici ou là, on peut trouver tout et son contraire, on peut lui faire dire absolument ce qu'on veut, justifier tout et n'importe quoi : en gros c'est du Nostradamus. Voilà précisément ce que je déteste : le contraire de la franchise, le contraire d'une pensée profonde et cohérente, le contraire de ce qui éclaire et rend plus libre.
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Sonnet 47 de Shakespeare

Betwixt mine eye and heart a league is took,*
And each doth good turns now unto the other:
When that mine eye is famish'd for a look,
Or heart in love with sighs himself doth smother,
With my love's picture then my eye doth feast,
And to the painted banquet bids my heart;
Another time mine eye is my heart's guest,
And in his thoughts of love doth share a part:
So, either by thy picture or my love,
Thy self away, art present still with me;
For thou not farther than my thoughts canst move,
And I am still with them, and they with thee;
Or, if they sleep, thy picture in my sight
Awakes my heart, to heart's and eyes' delight.


Un accord est conclu entre mes yeux
et mon coeur,
Job répond à ses amis,
'J'avais conclu un pacte avec mes yeux'
c'est la dernière fois qu'il va parler,
avant Elihou.
et ils se font des grâces:
mes yeux piaffent, avides de te voir,
les soupirs étouffent mon coeur,
le portrait de mon amour est un régal pour mes yeux,
ils veulent que mon coeur y ait sa part;
Job a peur que ses yeux ne l'entraînent
- horreur! -
à désirer une vierge
ils sont ses hôtes une fois encore,
et c'est l'amour, comme se joue un duo.
'si mon coeur a été séduit par une femme'
c'est mon amour, ou ton portrait,
mais même loin, tu es en moi,
toujours dans mes pensées,
'ce serait une infamie'
je me perds en elles, elles sont toi;
elles s'assoupissent ? ton portrait réveille
mon coeur, plaisir du coeur et de l'oeil.

Job
Un homme voulait être entendu,
un scribe, deux, d'autres encore ont écrit
ces pages qui depuis des siècles sont lues;
chacun a rédigé une partie,
disant les heurs et malheurs de sa vie.
Ils étaient des poètes sans limites
et des moralisateurs qui imitent.

Cet homme ne comprend pas son destin:
lui, qui se tenait pour si généreux,
moqué par ces enfants, fils de rien,
de pères qu'il ne voulait pas au milieu
des chiens gardiens de ses troupeaux de boeufs !
‘tant de malheurs, et aussi ces risées,
mon Dieu, pourquoi m'as-tu abandonné ?'

Il pleure jour après jour sa déchéance
lui qui était le plus considérable
de tous les hommes de l'orient immense,
lui que tous estimaient honorable;
la perte de ses biens n'est pas supportable:
plus de serviteurs et plus de brebis,
ni d'enfants, morts dans le vent de l‘oubli.

Avant le temps des imitations
de Thomas a Kempis ou Lamennais,
de punition en rétribution,
ce malheureux voulait n'être né jamais,
et malheureusement il naquit, si niais
qu'il osa - oh pauvre innocent ! - convoquer
Dieu à la barre pour s'expliquer.

Le premier il va perdre son procès,
premier d'un long cortège de k,
à ce jour le seul jamais gratifié,
et pourtant il l'a aggravé son cas
avec tant de tracas et de fracas,
que ses amis Tsophar de Naama,
Eliphaz, Bildad ont mis le holà.

Élihou, le plus jeune de la chronique,
qui a laissé parler les plus âgés,
intervient et développe une logique
de problèmes en énigmes pour poser
la question, celle de toute l'éternité:
Dieu, qui lui a donc confié l'univers,
qui l'a chargé de gouverner la terre ?

Et voilà qu'après ces tristes sentencieux
vont apparaître des mots et des vers
qui feront de nous tous des envieux,
de ces lignes qui séduisent l'univers,
des cieux jusqu'aux plus lointains enfers;
des vers qui ont éloigné les ténèbres
en explorant les ombres funèbres.

Les ombres, il ne les connait jamais,
pour ne pas céder aux peccamineux,
ni aux vierges et à tous leurs attraits;
pour ne pas succomber, rester ennuyeux…
il avait fait un pacte avec ses yeux,
un accord, une convention, un souvenir
autour desquels a brodé Shakespeare.



Wislawa Szymborska a écrit Job;

Synopsis
Job, durement mis à l'épreuve dans sa chair et ses biens, maudit le destin de l'homme. C'est de la grande poésie. Ses amis arrivent, et, en déchirant leurs vêtements, ils dissèquent la culpabilité de Job envers le Seigneur. Job crie sa droiture de toujours. Job ne sait pas pourquoi le Seigneur le détruit. Job ne veut pas leur parler. Job veut parler au Seigneur. Dieu apparait dans un chariot de feu. Devant celui qui n'est plus que des os, Il célèbre le travail de Ses mains: les cieux, les mers, la terre et les animaux qui y sont. Surtout Béhémot et Léviathan, créatures dont la Divinité est - à juste titre - fière. C'est de la grande poésie. Job écoute: le Seigneur Dieu tourne autour du pot, car le Seigneur Dieu veut tourner autour du pot. Job se prosterne alors rapidement devant le Seigneur. Les événements se précipitent maintenant. Job récupère ses ânes et ses chameaux, ses boeufs et ses moutons, le tout en double. La peau repousse sur son squelette souriant. Et Job s'en accommode. Job est d'accord. Job ne veut pas détruire un chef d'oeuvre.

(le texte de Szymborska, je l' ai traduit de l'anglais)
Lien : http://holophernes.over-blog..
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Une histoire mal ficelée, sans queue ni tête, complètement débridée. On n'y croit pas un seul instant. de plus, le livre est plutôt mal écrit, sans parler de la mise en page franchement catastrophique. Et que dire de la longueur du livre ? Était-ce vraiment la peine d'en écrire plus de 2000 pages ? Ça pouvait tenir sur 50 pages... Une étoile et demi quand même pour l'effort d'écrire un livre si long. Au vu du petit succès, j'imagine qu'Hollywood va y aller de son blockbuster. Ce sera sans moi.
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A emporter pour lire, ainsi que quelques autres, sur une ile deserte pour mourir plus vite :
- Ulysse de James Joyce,
- L'Etre et le Neant de Sartre
- le Petit livre Rouge de Mao
- En attendant Godot de Becket
- la Bible de qui vous savez
- le Koran de qui vous savez
- le Kamasoutra

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Le plus beau livre de la bibliothèque de mes parents. Une reproduction bien sur. J'ai tenu quelques chapitres.....j'y suis revenue, je l'ai laissé....j'y reviens. je suis contente qu'ils me l'ai donné pour ma bibliothèque personnelle.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
« Quelques jours avant la fête de Pâques, Jesus et ses disciples, approchant de Jérusalem, arrivèrent à Bethphage, sur les pentes du Mont des oliviers. Alors Jesus envoya deux disciples: « Allez au village qui est en face de vous: vous trouverez aussitôt une ânesse attachée et un petit âne avec elle. Détachez-la et amenez-les moi.Et si l’on vous dit quelque chose, vous répondrez: le Seigneur en a besoin mais il les renverra aussitôt. » Cela s’est passé pour accomplir la parole transmise par le prophète: « Dites à la fille de Sion: voici ton roi qui vient vers toi, humble, monté sur une ânesse et un petit âne, le petit d’une bête de somme. » (selon Matthieu)
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Ils parlent de paix à leur prochain, et ils ont la méchanceté dans leur coeur.

Psaume 28.
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Mitigé on voit pas trop là où veut en venir l'auteur surtout à la moitié du bouquin il change complètement d'arc narratif c'est aberrant...
Mais bon on note le travail sur les protagonistes de l'histoire et toutes les refs à aujourd'hui genre les croix et tout. Pas mal je pense un peu long surtout la scène du désert où je suis resté sur ma faim.
Bref pas trop mal bon potentiel mais trop long malheureusement on se croirait dans un mauvais Jean Luc Godard
Des bisous je mets un superlike pour tout le taf derrière on voit que le mec s'est pris la tête avec le scenar
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On maintenait le roi debout sur son char, face aux Araméens. Et le soir, il mourut. Le sang de sa blessure coulait au fond du char. (...)
Le roi étant mort, il fut ramené à Samarie, et c'est à Samarie que fut enseveli le roi.
On lava le char à grande eau à l'étang de Samarie. Les chiens léchèrent le sang et les prostitués s'y baignérent conformement à la parole que le Seigneur avait dite.
Le reste des actions d'Achab, tout ce qu'il a fait, la maison d'ivoire qu'il a édifiée et toutes les villes qu'il a construites, cela n'est-il pas écrit dans le livre des Annales des rois d'Israël?
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A la sueur de ton visage tu mangeras du pain jusqu'à ce que tu retournes au sol car c'est de lui que tu as été pris.
Genèse 3, 19
phrase reprise par Fabrice Midal dans son livre "Devenez Narcissique et sauvez votre peau".
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Vidéo de La Bible
Émission « L'autre scène ou les vivants et les dieux », par Claude Mettra, diffusée le 15 mars 1976 sur France Culture. Un débat mené par Claude Mettra entre l'écrivain exégète André Chouraqui, poète et traducteur de la Bible, le Révérend Père Fontaine, professeur d'hébreu au Centre d'études Istina, et l'historien Philippe NEMO, au sujet du ‘Cantique des cantiques’. Sont abordés les différentes interprétations possibles du "Cantique des Cantiques", les problèmes de traduction, l'explication de certains mots, les différents thèmes de ce poème et les allusions à l'histoire d'Israël.
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