c’est un bonheur infini que de tourner les pages de ce livre à l’écriture raffinée, brillante, éblouissante, où chaque mot vient éclairer subtilement un personnage, une rue, des escaliers plongés dans le noir, des sentiments. Il faut lire Marie Billetdoux comme on lit Annie Ernaux. Leurs œuvres, que tout semble opposer, se complètent et se croisent en une terre qui s’appelle littérature.
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Femme prenant plaisir à ses fureurs