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Katana tome 2 sur 2
EAN : 9782842285104
366 pages
Le Pré aux Clercs (14/11/2013)
3.93/5   38 notes
Résumé :
Ichirô et les siens ont affronté de terribles épreuves. Après avoir entendu les révélations d'Hatanaka, les cinq décident de venger la mort de leurs parents en abattant le shogun. Mais le seigneur-dragon connaît sa puissance, et désire l'affrontement. Une seule arme peut vaincre le monstre : le katana du défunt Toshirô, dont la lame a été bénie des dieux. Où se trouve cette lame de légende ? Existe-t-elle seulement ? Qui peut se montrer digne de la manier ? Les cinq... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (21) Voir plus Ajouter une critique
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Pour moi l'aventure Katana a continué grâce à Babelio et Masse Critrique, mais aussi et surtout grâce à la sympathique mais défunte collection Pandore de Xavier Mauméjean (encore un éditeur incapable de laisser sa chance au produit, pire encore incapable de tenir ses engagements et ses promesses) et la passion de Jean-Luc Bizien pour son bébé.

Ce n'est toujours pas le grand roman de Katana & Sorcery que j'attendais et que j'attends encore. le ton résolument Young Adult n'est définitivement pas pour moi (« je suis trop vieux pour ces conneries » selon l'expression consacrée), mais avec cette fantasy entre chambara j'ai quand même passé un bon moment grâce à un esprit shonen de bon aloi.

Dès le départ on nous offre un long flashback qui rappelle tous les classiques du chambara avec le daimyô félon, le seigneur loyal bon, sa sublime épouse, son général de légende fidèle jusque dans la mort et les samouraïs déchus collabos ou résistants… Mais pour la suite des opérations impossible de m'enlever de la tête l'idée que cela avait le parfum du "Secret de Ji" de Pierre Grimbert, autre auteur spécialisé en jeunesse et en YA (et pour moi c'est un compliment, j'ai beaucoup d'affection pour ce cycle) : le passage dans le donjon de daimyô-sorcier, c'est celui du mausolée labyrinthique de Sombre, le passage surnaturel dans le charnier, c'est les héros dans l'infernal Jal'Karu…

J'ai apprécié l'orientation shonen consciente ou inconsciente de cette 2e partie : autour d'Ichirô se constitue un groupe de 5 héros de physiques et de caractères différents qui maitrisent des armes différentes.
D'ailleurs les personnages gagnent ici en consistance, même si Hatanaka nous fait un gros coup de déprime après sa confession et que comme le veut la tradition shonen le héros principal reste trop lisse. le duo formé par l'impétueux Ôno et le peureux Ryoichi fonctionne assez bien et attire la sympathie. J'ai eu un peu peur que le jovial Jôtaro fasse la 5e roue du carrosse, mais son binôme avec la froide Aiko fonctionne bien aussi. Et comme chacun semble représenter un élément, on se demande si on est dans un sentai, dans "Les Samouraïs de l'éternel" ou dans "Legend of the Five Ring"…
Mais le doute ne dure pas longtemps avec des tirades sur les attaques qui ne marchent pas deux fois sur le même samouraï, ou les techniques de combats qu'on ne peut pas reproduire en l'ayant seulement subie une fois dans vie et tutti quanti... Saint "Seiya forever" ! blink

Le cahier des charges est bien rempli : bagarre d'auberge, attaque de ninja, duels à mort, batailles, sièges, combat final contre le maître du mal. C'est dommage que le seigneur des ténèbres agisse comme un sous-Smaug car cela retire de la valeur aux exploits de notre groupe de héros, et c'est dommage que tout cela soit un peu précipité car j'aurais préféré qu'on développe davantage la phase de recrutement à la Robin des Bois puis la phase militaire contre le seigneur-dragon. Mais qu'importe puisqu'on a échappé à la sempiternelle trilogie exposition / transition / conclusion.
Le final d'ailleurs, c'était plus shonen antique tu meurs !


Car le héros, son mentor et ses compagnons n'ont été au final que les instruments presque allégoriques d'une justice immanente qui en remplissant leur mission divine sont entrés dans la légende. Et les légendes ne meurent jamais ! Tout est bien qui finit bien malgré l'amère fin… (je n'ose imaginer ce qu'un Mathieu Gaborit ou une Estelle Faye aurait fait d'une telle dramaturgie avec leur plume tragico-poétique)

On sent toujours pour le meilleur et pour le pire que tout cela était destiné à être une bande-dessinée et j'espère qu'un éditeur permettra un jour au rêve de Jean-Luc Bizien de prendre vie dans ce média, il le mérite bien ! de plus on aurait pu rassembler les 2 tomes en 1 seul de 600 pages, et remanier quelques trucs ici et là…
Pour résumé excellent pour les plus jeunes ou les plus néophytes, assez sympa car très rafraîchissant pour les easy readers, sans doute parfaitement dispensable pour ceux qui sont plus exigeants quant à leurs choix de lecture.
Lien : http://www.portesdumultivers..
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Livre lu dans le cadre de la Masse Critique du mois de novembre 2013.

Je remercie une nouvelle fois Babelio pour cette sélection ainsi que la collection « Pandore » des éditions « Pré aux clercs » pour l'envoi de ce tome dont j'avais découvert le premier tome lors d'une précédente Masse Critique. Par ailleurs, j'ai apprécié recevoir une attention de la maison d'éditions, à savoir des marque-pages faisant référence au livre muni du croquis d'un katana.

L'histoire reprend dans les minutes qui suivent la fin du tome 1, faisant suite au cliffhanger de celui-ci. Nous apprenons ainsi les détails de la fuite de Dame Kachiko en compagnie du samouraï d'élite Hatanaka, les explications avaient été plutôt succinctes dans le tome précédent. Par ailleurs, nous comprenons enfin la signification des titres des tomes. « Vent rouge » est le nom d'une tempête, de neige je pense, et « Dragon noir » vient du surnom donné au daimyo, « Dragon », du fait qu'il pratique la magie noire.

Par contre, j'ai repéré quelques incohérences dans le texte. À aucun moment, il n'est dit que Dame Kachiko n'a un ventre disproportionné du fait de sa grossesse et pourtant, elle va accoucher de plusieurs enfants, et non d'un seul au vu du texte. Il est également dit qu'Hatanaka donne un ordre à ses hommes puis un paragraphe plus loin, Hatanaka est le dernier défenseur de Dame Kachiko... J'ai été obligée de relire plusieurs fois le passage pour comprendre où l'auteur voulait en venir... Pas très pratique...

Chose rare chez cette maison d'éditions, j'ai trouvé des coquilles plutôt bizarres. Tout à coup, dans une phrase, je trouve une lettre seule à la place d'un prénom, plutôt curieux. La seconde coquille rencontrée vient de « voie » qui a été transformée en « voix » malgré le sens de la phrase.

Une grande partie de ce second tome est consacrée à Ichirô et aux siens, à leur apprentissage de soi et des autres ainsi qu'à apprendre à se compléter plutôt qu'à s'engueuler et à se marcher sur les pieds. Hatanaka ne s'en mêle pas trop et les laisse s'apprivoiser entre eux. Ils ont tous été élevés différemment et ont donc des perceptions différentes du monde qui les entoure, des armes et de la famille. Par la même occasion, nous apprenons à mieux les connaître avec leurs peurs et leurs doutes mais également avec leurs courages à toute épreuve dès que des combats sont en approche.

Par contre, j'aurais bien apprécié que Jean-Luc Bizien use un peu plus de notes de fin de pages, surtout pour tous les termes relatif au Japon médiéval et à ses multiples légendes. Je connais un peu les kamis et les tengus mais pas les ni-ô. du coup, ce n'est pas évident de suivre l'histoire quand il nous manque des éléments pour avancer... Dommage...

Ce tome est assez étendu dans le temps, contrairement au premier. Par contre, certains éléments auraient mérité, à mon goût, de plus amples informations plutôt qu'une avancée en accéléré. Je pense principalement au passage où Ichirô et les siens sont à la recherche d'une armée pour les aider dans leur vengeance et la page d'après, ils sont déjà en train de la former à l'art de la guerre. Un peu trop raccourci à mon sens, il manque quelques explications sur leur façon de parvenir à réunir cette armée...

La fin de ce diptyque me laisse plutôt dubitative mais sans que je réussisse à m'expliquer pourquoi. Certains éléments étaient tellement gros que j'ai pu prédire une partie de la fin mais en dehors de ça... Peut-être l'explication de fin qui semble être faite avec de trop grosses ficelles... Je ne sais... C'est bien dommage car la première partie de ce second tome était très agréable, on en apprenait plus sur Hatanaka et son passé, Ichirô et les siens ainsi que toute l'horreur entourant le daimyo adepte de magie noire. Mais la fin me semble tirer par les cheveux...

Comme vous l'aurez compris, mon avis est plutôt mitigé concernant ce tome et donc ce diptyque. le premier tome se terminait par un cliffhanger qui donnait envie de connaître la fin des aventures d'Ichirô et d'Hatanaka. Et la fin de ce second tome laisse un goût amer en bouche car il finit trop rapidement. Je conseille néanmoins ce diptyque sur fond de Japon médiéval où se mêle magie, mythologie japonaise et combats sanglants au katana. Pour ma part, je pense découvrir d'autres romans de cet auteur, dont j'apprécie quand même la plume, dès que ma PAL aura diminuée de moitié.

Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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J'avais beaucoup apprécié le premier tome de cette saga et je me languissais énormément de découvrir ce deuxième tome. Surtout, que le premier tome fini avec une révélation surprenante !

On reprend exactement là où on s'est arrêté au premier tome. Ichirô, Aiko, Ôno, Buta et Jotarô apprennent quelque chose qui les surprend mais pas qu'eux, nous lecteur aussi. Ichirô continu sa quête mais accompagné de ses camarades. Ils vont former une équipe avec un même objectif. Ils apprennent à se connaître les uns les autres mais vont aussi s'entre-aider pour s'améliorer.

Ichirô passe en second plan dans ce tome, dans le premier tome on le suivait énormément, mais là, tous les personnages prennent plus de places. On s'attache encore plus à eux et on les accompagne dans cette quête. On a beaucoup de révélations, de rebondissements dans ce tome, ce qui fait qu'on le lie très rapidement.
On apprend beaucoup de choses sur le passé des personnages, je me suis plus attachée à Aiko vu que c'est la seule fille du groupe et aussi qu'elle a eu une enfance assez difficile.
Dans le premier tome, j'avais adoré Hatanaka, là, dans ce second tome, j'avais envi de le secouer surtout à une scène où il s'apitoie sur son sort… Heureusement, que ça ne dure pas longtemps et que j'ai pu retrouver ce redoutable samouraï qui m'a fait tant rêver.

Le style de Jean-Luc Bizien est toujours autant simple et fluide. Katana se lit très facilement, on se laisse facilement emporter. Les chapitres sont courts et on n'a envie que d'une seule chose c'est de connaître le dénouement de cette histoire. Plus on avance, plus on a de questions, plus on veut des réponses. Les descriptions sont simples et les dialogues présents.
Je m'attendais à une grande bataille à la fin et je n'ai pas été déçue. On a le droit à un combat certes assez simple mais très intéressant. J'ai beaucoup aimé les obstacles qu'ils doivent passer avant d'arriver au dragon noir. Je me posais tout le long de la lecture qui allait tuer le dragon et même si je ne pensais pas à lui, je ne suis pas déçue au contraire, je trouve cette fin géniale.

Je ne veux pas trop en dire pour ne pas spoiler ce livre, mais j'ai vraiment bien apprécié les deux tomes. Je trouve que ça fait voyager au Japon. Les personnages sont intéressants et même si l'intrigue est simple je la trouve très prenante ! Dragon Noir est rempli d'action, pas de temps mort. Une saga que je conseille de découvrir ! D'ailleurs, j'aimerais beaucoup découvrir d'autres livres de Jean-Luc Bizien !
Lien : http://livres-films-series.b..
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Le premier tome de Katana : Vent rouge m'avait plu et j'étais curieuse de découvrir le dénouement de cette histoire. le début m'a intéressée mais plus on avançait, plus j'étais déçue. Finalement, même si mon avis reste plutôt positif, certains éléments m'ont dérangé et j'aurais aimé plus d'approfondissement...

L'auteur avait lâché une grosse bombe à la fin du premier tome en nous apprenant que nos cinq héros : Ichirô, Aiko, Buta, Jotarô et Ôno étaient en réalité tous... frères et soeurs! J'avais été surprise par cette révélation et j'attendais des explications précises et crédibles. le début de Katana tome 2 est riche en révélations puisque Hatanaka leur raconte la véritable histoire de leur naissance et de la mort de leurs parents. Ce récit tient la route mais je suis restée sur ma faim. Dans le premier volume, les personnages se rencontrent tous en très peu de temps et j'aurais aimé une explication plus solide sur ce grand hasard. Les cinq jeunes viennent de milieux extremement différents et l'idée du destin qui les rassemble m'a semblé un peu tirée par les cheveux (du moins c'est comme ça que je l'ai interprêté).
Dragon Noir ne manque pas d'action puisqu'une fois réunis, les frères et la soeur vont mettre leur vengeance en marche et unir leurs forces pour affronter le responsable de la mort de leur parents, celui que l'on surnomme, à juste titre, le dragon.

Les personnages sont fidèles à eux-même mais contrairement au premier tome où j'avais trouvé Buta trop caricaturé, le personnage devient ici plus intéressant. Grâce à sa famille, le paysan peureux va devenir lui aussi un guerrier. J'aurais aimé que les relations fraternelles soient davantage exploitées, qu'un véritable lien se créé mais malheureusement, nous restons sur la surface. Ôno et Buta se rapprochent mais les trois autres m'ont semblé moins présents.
Katana se lit très facilement, le style est fluide, la description bien présente mais sans excès et les scènes de combats sont simples à imaginer (dans ma tête, j'ai de nouveau vu un anime shônen!). Malheureusement, cela n'a pas suffit. Même si j'ai globalement passé un bon moment, j'ai été déçue par une fin trop rapide et prévisible. J'avais besoin d'être surprise et ça n'a pas été le cas.

Pour conclure, un roman d'aventure intéressant que je ne regrette pas d'avoir lu. Même si tout n'est pas positif, Katana m'a dépaysé grâce à son univers et la jolie plume de son auteur. Je remercie les éditions du Pré aux clercs et Babelio pour l'organisation de ce Masse Critique.
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J'attendais cette suite avec une très grande impatience. le tome 1 fut une superbe lecture et j'avais hâte de connaître la suite des aventures de notre groupe hors du commun. L'auteur poursuit dans la lignée des grandes épopées de samouraïs pour le plus grand plaisir des fans du genre. Tout y est, du genre aux attitudes en passant par les réactions et les analyses. Il est franchement difficile d'admettre que nous devons quitter cet univers tellement nous sommes pris d'affection pour ce récit et ses protagonistes.

Ichirô et ses compagnons ont enfin découvert une vérité à laquelle ils ne s'attendaient pas du tout: ils sont frères et soeurs! Se rendant compte qu'ils ont désormais une quête commune, ils sont plus que jamais décidés à venger la mort de leurs parents et à mettre fin au règne de terreur du daimyo. Mais cette quête est loin d'être de tout repos et de terribles épreuves les attendent encore...

Arriver au bout d'une série est toujours un peu angoissant car une fin peu autant clore en apothéose une histoire que la gâcher. Sans trop en révéler, je peux vous dire que j'ai aimé ce final. Oui ce n'est peut-être pas d'une originalité sans faille, mais je souhaitais, j'attendais une telle fin et j'en suis comblée. L'auteur a poursuivi sa ligne de conduite jusqu'à la dernière ligne et nous offre une histoire qui marque, qui plaît, qui se dévore.

Ici l'action est très présente, les combats violents, le rythme effréné. Autant dire que ce tome est fini à peine commencé tellement il est bon. Nos personnages sont d'autant plus attachants qu'ils se révèlent, se découvrent, s'apprivoisent, se complètent. Les révélations pleuvent et nous permettent de mieux comprendre ce qui s'est passé à l'époque et le rôle joué par Hatanaka. de quoi nous faire frémir et nous donner envie d'en apprendre toujours plus, surtout que la machine de mort est en marche et ne peut plus être arrêtée...

En bref, en grande fan du Japon et des romans de samouraïs, j'ai dévoré cette série que je ne peux que vous conseiller chaudement si vous aimez ce genre d'univers. L'auteur a su trouver les mots pour nous plonger dans cette époque et nous servir une quête passionnante à suivre, de quoi en redemander et quitter cette série à regrets!
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Citations et extraits (12) Voir plus Ajouter une citation
Tous les hommes qui combattaient dans l'armée du daimyo avaient ressenti au moins une fois cette crainte superstitieuse : le daimyo usait de magie noire, il pouvait apparaître n'importe où, n'importe quand. Il se matérialisait soudain, sans prévenir. Il toisait l'impudent... et sa fureur était dévastatrice.
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- Senseï ? répéta Ichirô. Curieux nom pour un... chien !
Le vieillard sourit de plus belle.
- C'est un titre respecté chez les humains, et le nom idéal pour ce chien : il m'apprend chaque jour à mieux voir et sentir les choses autour de moi.

(dixit un aveugle)
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Il posait sur eux ses yeux blancs et semblait lire en eux comme à livre ouvert.
- Tu es impétueux, Ôno, déclara-t-il au samouraï. Mais tu es loyal et juste. Accepte que les autres t'approchent, si tu veux trouver la sérénité : il ne suffit pas de s'isoler à l'abri d'une muraille pour avoir la paix...
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Les troupes se déployèrent en éventail au pied de la muraille – ainsi, les soldats pouvaient rendre les honneurs à un invité de marque... ou fondre sur un ennemi assez fou pour venir provoquer le seigneur des lieux en sa demeure.
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Alors Nakadai Toshirô s'abandonna à la rage, à la douleur.
Ravagé par la torture physique et mentale qu'on lui infligeait depuis des lustres, il émit une plainte de fureur, d'agonie, d'impuissance. Tout à sa souffrance, il ne vit pas le corps serpentin qui dansait autour de lui, se délectant de son supplice.
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