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Odette Ferry (Traducteur)
EAN : 9782266029193
248 pages
Pocket (06/11/1998)
4.17/5   331 notes
Résumé :
Sa mère est folle. Norman le sait, mais il l'aime trop pour l'envoyer à l'asile. Alors, il se débarrasse des cadavres. Mary vient de dérober 40 000 dollars à son patron. Partie retrouver son fiancé, elle s'arrête pour la nuit dans un motel isolé. Le propriétaire, un grand garçon à l'air timide, finit, par accepter de lui donner une chambre. Epuisée par dix-huit heures de route, elle décide de s'accorder une douche bien méritée...
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Critiques, Analyses et Avis (57) Voir plus Ajouter une critique
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Norman, Norma, Normal,

Bienvenue dans l'univers « Robert Bloch » :

Notre ami des criminels, des sociopathes, des grands fous. Hou hou...

Bien-sûr qui ne connaissait pas le résumé global du roman, après avoir vu l'adaptation au combien réussie, (chef-d'oeuvre), de ce cher Hitchcock ? Tout le monde à en souvenirs, une petite scène de douche au combien Mythique! Cet hurlement qui nous reste en coin de mémoire.

Pour ceux qui malgré tout l'ignorent, l'histoire se tourne autour de Norman. Fils unique, vivant avec sa petite maman au bord d'une route et qui tente, bon gré mal gré, de faire vivre son motel. Bien-sûr depuis la construction de la grande route, celui-ci décline. Si seulement sa mère l'avait écouté, si seulement elle... qu'importe. Après tout, elle lui donne tout son AMOUR.

Vient ensuite, cette jolie petite femme (Mary) qui, au suite d'un bref séjour au Bates Motel, disparaît de la circulation. Que lui est-il vraiment arrivé ? Qui est vraiment Norman ? Quelle relation entretient-il avec sa maman aux tendances castratrices et à la fois couveuses ? C'est ce que la soeur de Mary va tenter de découvrir. Cherchant l'aide du fiancé de sa soeur, lui aussi sans nouvelle. Ironie du sort ? Mary est soupçonnée d'avoir volé 40 000 dollars à son patron.

A-t-elle quitté le pays?
A-t-elle seulement quitté le motel?

Si la réponse à cette dernière question nous ai vite révélée, le roman n'en perd aucune valeur. le rythme est constant, pas d'ennui, les pages se tournent. Histoire cohérente tournée sur la psychologie de l'antagoniste. Qui couvre qui, pourquoi, comment, jusqu'où?

Attention au CoUtO !
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Depuis le temps que je voulais lire ce livre, c'est enfin chose faite !
C'est en regardant la série Bates Motel que j'ai voulu en savoir plus sur l'histoire fictive du fameux Norman Bates.

La série est un prequel de ce roman de Robert Bloch puisqu'elle retrace le passé de Norman (en précisant cependant que la saison 5 est adaptée plus librement).
Dans le roman Psychose, nous retrouvons donc un Norman quadragénaire comme dans l'excellent film d'Hitchcock (qui reprend particulièrement bien ce roman).

Même si ce livre a été publié en 1959, je n'ai pas trouvé le style dépassé, bien au contraire.
D'un côté, nous suivons l'histoire de Mary Crane, une jeune femme en fuite qui va croiser la route du Bates Motel.
De l'autre côté, nous enquêtons sur la disparition de Mary avec sa soeur Lila, le futur époux de Mary, Sam Loomis et le détective Arbogast.

En lisant, j'avais toujours hâte d'arriver aux passages avec Norman au Bates Motel. Ce sont les moments du livre où il y a le plus de tension et de suspense.
Une atmosphère particulière s'échappe du lieu où est implanté le motel et la maison des Bates. Cet endroit isolé au bord d'une route peu fréquentée renforce le côté sinistre de l'histoire.
L'écriture est très fluide et sans longueurs.
Comme dans la série, l'emprise de la mère de Norman sur son fils est parfaitement développée.
L'intérêt de l'histoire porte surtout sur l'aspect psychiatrique du personnage de Norman. Son curieux portrait reste très complexe. Je n'étais pas étonnée d'apprendre que le personnage réel d'Ed Gein était la source d'inspiration de Robert Bloch pour le créer.
C'est une très bonne lecture dont je me souviendrai.
Je poursuivrai volontiers dans ma lancée avec Psychose 2, puis avec Psychose 13 pour en savoir plus sur ce protagoniste si énigmatique.
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Inspiré d'une histoire vraie, l'affaire Ed Gein, Robert Bloch signe ici un livre traumatisant où parfois la réalité dépasse la fiction.
Mary Crane, secrétaire sage commet un jour un larcin et quel larcin : elle dérobe à son patron la somme de 40 mille dollars puis prend la fuite pour rejoindre son fiancé, Sam, qui n'est au courant de rien. Après avoir changé plusieurs fois de voitures et roulé durant 18 heures d'affilée, elle s'arrête, épuisée, dans un motel. Son destin va se sceller ici car l'hôtel est tenu par un vieux garçon de 51 ans, Norman Bates, et sa mère folle.

Lorsqu'elle prend une douche, elle est massacrée à coups de couteau par la vieille femme. Horrifié, Norman entreprend de tout nettoyer et de faire disparaître le corps ainsi que toute trace du passage de la jeune femme afin de sauvegarder sa vieille mère de l'asile car apparemment, ce n'est pas la première fois que la vieille folle se conduit de la sorte.

La firme engage un détective privé pour retrouver l'argent dérobé tandis que Lila et Sam, respectivement soeur et fiancé de Mary se préoccupent de retrouver Mary qui depuis son vol n'a contacté personne et semble s'être volatilisée.

Un thriller à faire se dresser les cheveux sur la tête mais qui ne m'a pas stressée autant qu'il aurait du car j'avais vu le film réalisé par.A Hitchcock maintes et maintes fois. Ma lecture a donc été parasitée par les souvenirs des personnages, de la musique lancinante ainsi que par la magistrale interprétation d'Anthony Perkins. Et il faut bien avouer que le maître du suspense a su tirer le meilleur parti de cette histoire en extrayant tout le suc avec le talent qu'on lui connaît. le film est un tel chef-d'oeuvre qu'à mon sens, il éclipse les qualités indéniables du livre.
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Psychose m'a d'abord traumatisée en film (le chef d'oeuvre d'Hitchcock, bien sûr; pas le minable remake inutile), enfant. Moins la scène culte de la douche que la vision de la vraie Mme Bates.

Le roman de Robert Bloch m'a rattrapée quelques années plus tard et m'a apporté des éléments complémentaires au film. L'ambiance est claustrophobante à souhait et certains détails restent très dérangeants.
L'auteur a plus d'une horreur dans son chapeau et distille avec soin un suspense qui malmène les nerfs du lecteur. Pour son plus grand bonheur masochiste... sinon pourquoi lire ce genre d'ouvrages?

Inutile de revenir sur la sympathique personnalité de Norman Bates, qui ne le connaît pas? Robert Bloch s'est servi du cas de Ed Gein, tueur en série surnommé le Boucher de Plainfield et arrêté en 1957, pour construire son personnage.

Paru en 1959 aux États-Unis, le roman fait toujours effet quelques décennies plus tard. Et même si la liste des psychopathes - fictifs et, hélas, réels - s'est considérablement allongée depuis.
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« Psychose » :

_un court roman signé Robert Bloch (1957 en VO) : romancier, nouvelliste, scénariste pour Hollywood et la télévision US.

_un film signé Alfred Hitchcock (1960), cinéaste, celui de « La mort aux trousses » et de « La main au collet » pour ne citer que deux de ses nombreux longs métrages. J'ai revu « Psychose » dans la foulée du roman : l'adaptation est assez fidèle, seules des variations de détails les séparent.

Mon intérêt pour les deux hommes est fort. Depuis longtemps.

Robert Bloch, tout d'abord, pour ses nouvelles fantastiques teintées d'humour noir («Contes de terreur»), ses romans dont le magnifique «Crépuscule des stars» .

Alfred Hitchcock, ensuite, via ses films à suspense dont on ne se lasse pas malgré les multiples rediffusions TV. Fatalement, je devais les croiser, l'un et l'autre, conjointement, à la convergence de leurs talents respectifs, à la croisée de leur attirance pour Hollywood. Ce sera en compagnie de «Psychose».

Bienvenue en terre de « Mauvais genres » par excellence, en pays du thriller horrifique, au rayon des serial killers (Norman Bates, le héros de « Psychose », en est t'il le prototype romanesque ? Je laisse çà aux spécialistes). Bloch, en interview de préface, affirme s'être inspiré d'un fait divers US terrifiant de la fin des 50's qui donnera naissance, au-delà du personnage central de « Psychose », à celui de Buffalo Bill dans le « Silence des agneaux ». Je n'apprécie guère le genre, mais puisque que c'est Bloch, puisque c'est Hitchcock, pourquoi ne pas m'y aventurer ?

USA. Années 50's. Une nuit d'été. Un orage d'une violence extrême. Mary, seule sur la route, au volant depuis des heures. Ballet fébrile et inefficace des essuie-glaces. Phares au loin sabrant ceux d'en face. Longues lignes droites sur lesquelles dangereusement accélérer. Brusques virages à l'arrache. Panneaux routiers entre-aperçus. Paysages fantomatiques et incertains. 40000 dollars volés dans la boite à gants, Mary se fait la belle, se cherche une vie nouvelle, le plus loin possible. La fatigue, le sommeil qui guette. Un motel isolé, désert, une haute et sinistre maison en arrière-plan, une silhouette de femme aux aguets derrière les carreaux. Un garçon à l'accueil, timide mais sympathique. Une chambre. Mary se douche. Une ombre chinoise derrière le rideau. «… le visage d'une vieille folle. ». Un poignard brandi. Mary hurle. Un long cri dans la nuit. La mort … Tout (ou presque) dans la suggestion, peu de sang, à peine un mince filet filant vers la bonde …

… La suite appartient au récit. Place à Norman Bates et à sa psychopathologie terrifiante. Je vous aurai prévenu.

Vous qui entrez dans son motel, attendez-vous à tout, y compris au pire … le motel est ouvert. Norman Bates ne vous attendait pas, il est content de vous louer une chambre pour la nuit. Il en a tant de libres. Et sourire aux lèvres il vous montrera le chemin. « Comme on fait sa tombe, on se couche » P.48.

La douche : une des plus célèbres scènes de crime au cinéma … (à peine 45 secondes à l'écran, 70 plans ; une multitude de détails en making-of, d'anecdotes et de secrets par la suite révélés ; une éternité de commentaires élogieux, d'arrêts sur images disséqués au plus près, d'unanimités critique partagées. Je laisse çà aux cinéphiles) … pour un chef d'oeuvre du thriller horrifique sur grand écran. Cette scène est dans le roman, aux avant-postes, dès le presque début, en phrases choc, dans l'excellence de style de Robert Bloch. L'auteur y donne toutes ses griffes de métier.

«Mary se mit à crier. Les rideaux s'écartèrent et une main apparut, tenant … [un ] … couteau qui, l'instant d'après , coupa net son cri. Et sa tête. » P.66.

La BOF se fait l'écho sonore parfait de la tension à l'oeuvre : on imagine des craies griffant sèchement l'ardoise d'un tableau noir ; des riffs de violon, faisceau de crins tendus sur l'archet, raclant les cordes. Une musique en agace-nerfs, celle qui griffe, stridule, fait grincer des dents. Inoubliable.

Robert Bloch écrivit « Psychose » en 1957 (VO), Hitchcock l'adapta en 1960 pour le cinéma, en noir et blanc, sans gros moyens financiers, sans grand espoir de succès, presque pour s'amuser. L'histoire était à l'origine prévue pour être un épisode de sa série TV (depuis devenue culte), « Alfred Hitchcock presents », mais la petite trentaine de minutes imposée pour chaque épisode devint carcan étroit pour une adaptation satisfaisante à minima. Sur grand écran, en 1h49', Hitchcock fera de « Psychose », contre toute attente, un de ses plus grands succès, un chef-d'oeuvre reconnu du film de suspense, critique pro et estime populaire confondues.

Le roman, préexistant, est t'il à la hauteur de celui déguisé en 25 images/seconde ?

Lire ses 231 courtes pages, en n'ignorant rien du déroulé cinématographique, peut paraitre vain. On sait déjà tout : du pitch, des mises en abime successives, du twist final. Rien pour surprendre à nouveau, pour rééditer l'électro-choc du premier visionnage. le film est de la race de ceux dont on n'oublie rien, dont on fait ressurgir les séquences et les plans successifs aussi facilement que des octets tout frais de la mémoire vive d'un ordinateur. le suspense, principale jouissance de lecture, s'est évanoui, captif de souvenirs précis et indélébiles. Tout est tatoué d'un pitch percutant et simple. La mémoire fait spoil.

Alors quoi .. ? Qu'attendre du roman ? Pourquoi y revenir ? Si ce n'est, contre toute logique, pour renouer avec le frisson premier du noir et blanc sur l'écran ? Espoir …

Le texte se fait miracle de redécouverte (même si au final et dans son ensemble il me parait surestimé ou du moins de qualité inférieure au film). On y perce les secrets d'écriture de Bloch à l'oeuvre du thriller policier horrifique. Il y mène si professionnellement son lecteur en bateau que disséquer ses points de twist, dénouer ses ficelles en action, devient ludique. Son humour habituel, largement teinté de noir, à l'expérience sienne de l'art de la nouvelle (cf « Contes de terreur ») surgit systématiquement en clôture de chaque chapitre. Connaissant la suite, on le sent si bien venir. Instructive lecture donc, qu'en à la manière de s'y prendre, des tactiques stylistiques à adopter pour monter un thriller. Seul bémol : certains rares chapitres, ceux décentrés de Norman Bates et de sa psyché trouble et délabrée, ceux axés sur l'enquête elle-même, renvoient néanmoins quelque peu le son creux et vieillot des ficelles romanesques type du roman policier d'un autre temps, celui des 50's.

«Psychose» est un page-turner brassé au ventilateur. Bloch sait y faire pour alpaguer son lecteur, le chopper par la peur, se l'approprier par l'angoisse, l'inciter à aller toujours plus avant dans le suspense. Il sait capitaliser sur l'envie qu'il suscite d'enfin tout savoir. Sur le fil de chapitres brefs, d'une prose simple et aisée, il use d'une sobriété trompeuse quand, sous les mots, les pièges de style s'ouvrent peu à peu dans l'attente de mordre. le plus redoutable de ses chausse-trappes réside dans ce qu'il cache, passe sous silence, élude, n'écrit pas, tait.

Bloch manipule son monde en malicieux marionnettiste qu'il est. Il tire les ficelles du pantin venu le lire. Il conduit le bal des dupes en voilant la réalité, en multipliant les fausses pistes , en masquant la vérité. le lecteur est souvent à deux doigts de tout comprendre si ce n'est, qu'alors, de nouvelles bases suggérées n'induisent une réflexion erronée. le pire étant que, pourtant conscient du phénomène et des règles que l'auteur impose, le lecteur se laisse volontiers embobiner et conduire par le bout du nez. Equilibriste incertain entre mensonges et non-dits d'une part, et logique policière de l'autre, Bloch file bon an mal an vers le vertige final, celui qu'il espère non parasité par les doutes qu'il a pu essaimer tout le long de son travail d'auteur. Et la grande baffe attend, sure de son coup. Mais elle ne fonctionnera qu'une seule fois, à moins que le lecteur n'en redemande (on est quand même maso à aimer se faire filouter comme çà).

Hitchcock, au final, sonne à l'unisson de Bloch, les deux hommes mots et images croisées pour le plus bout des rendus papier et pellicule ; les deux, main dans la main, pour un piège dans lequel tomberont encore nombre de générations, même si dans le genre d'autres filous qu'eux ont fait et feront toujours plus terrifiant, même si à ce jeu morbide Norman Bates apparait bien gentillet au regard des serial killers romanesques qui suivront.

Je ne me souviens plus du caméo d'Alfred Hitchcock dans « Psychose ». Je l'ai loupé au re-visionnage du film. Dommage.. !
Lien : https://laconvergenceparalle..
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Citations et extraits (43) Voir plus Ajouter une citation

- Si je ne t'aimais pas, sais-tu où tu serais aujourd'hui ?
Il n'avait pas voulu le dire, mais il ne put s'en empêcher :
- Tu serais à l'asile d'aliénés, dans l'aile des fous criminels. C'est là que tu serais.
Il coupa la lumière, tout en se demandant si elle l'avait entendu, et si elle l'avait compris.
Apparemment, oui. Car, lorsqu'il eut refermé la porte, elle lui répondit. Sa voix était d'une douceur trompeuse dans les ténèbres, mais pourtant les mots s'enfoncèrent dans sa chair plus profondément que le rasoir dans la gorge de M. Arbogast.
- Oui, Norman, tu as sans doute raison. C'est là que je serais, probablement. Mais je ne serais pas toute seule.
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Je sais ce que tu penses, Norman, je sais tout de toi, mon petit. Plus que tu ne le crois, car je sais même ce que tu imagines. Tu penses que tu voudrais bien me tuer, n’est-ce pas, Norman ? Mais tu ne peux pas me tuer. La force, c’est moi qui l’ai. Je l’ai toujours eue. J’en ai eu pour nous deux. C’est pourquoi tu ne te débarrasseras jamais de moi, même si tu le voulais vraiment. Bien sûr, en ton for intérieur, tu n’en as pas véritablement le désir. Tu as besoin de moi, mon petit. C’est ça, la vérité, n’est-ce pas ?
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"Mère avait raison. Ce sont des chiennes. Mais qu'y faire? Surtout quand une chienne est aussi adorable que celle-ci et qu'on sait qu'on ne la reverra jamais."
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C’est curieux, se disait Sam, on est toujours persuadé de tout savoir de la vie de quelqu’un d’autre simplement parce qu’on voit cette personne fréquemment ou parce qu’on lui est sentimentalement attaché.
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- Je me demande dans quel trou nous sommes, murmura-t-elle. On cambriole une banque et le shérif est à l’église. Qu’est-ce qu’il fait ? Il prie pour que quelqu’un attrape les bandits à sa place ?
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Vidéo de Robert Bloch
Chronique consacrée aux grands noms de la littérature policière, et animée, depuis octobre 2018, par Patrick Vast, dans le cadre de l'émission La Vie des Livres (Radio Plus - Douvrin). Pour la 25ème chronique, le 07 novembre 2018, Patrick présente Robert Bloch. Patrick Vast est aussi auteur, notamment de polars. N'hésitez pas à vous rendre sur son site : http://patricksvast.hautetfort.com/ Il a également une activité d'éditeur. À voir ici : https://lechatmoireeditions.wordpress.com/ La page Facebook de l'émission La Vie des Livres : https://www.facebook.com/laviedeslivres62/
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