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L'Esprit de famille tome 4 sur 7
EAN : 9782253028666
221 pages
Le Livre de Poche (01/01/1982)
3.82/5   266 notes
Résumé :
Dix-neuf ans! Est-ce vraiment le bel âge ? N'est-ce pas plutôt celui de l'incertitude ? De l'inconfort ? « Que feras-tu plus tard ? » Combien de fois Pauline, s'est entendu poser cette question ! Et maintenant, bachelière, la voici obligée d'y apporter elle-même une réponse en choisissant sa voie.

Ni « jeune loup » ni « mouton », dans un monde où les places se disputent chèrement, Pauline ne sait qu'une chose : elle veut écrire ! Ses parents se mont... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (14) Voir plus Ajouter une critique
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Voici le quatrième tome de cette saga familiale.
La Marette, une maison et un verger où il fait bon vivre. Des parents à l'écoute et quatre soeurs qui prennent peu à peu leurs directions de vie. Claire l'ainée, insaisissable, a eu un enfant avec un amour de vacances (aux Etats Unis) mais a épousé Antoine, médecin, qui a reconnu Gabriel comme le sien. Bernadette, la cavalière s'est mariée avec Stéphane malgré des beaux parents très bourgeois et attend un enfant, Cécile la petite est une adolescente tournée vers le social et Pauline, qui relate à chaque volume l'histoire des siens, a entrepris une école de journalisme.Ce livre évoque son besoin d'écrire,ses peurs et ses doutes et son attirance pour Paul écrivain connu et reconnu qui la fait souffrir.Parrallèlement son amie Béa va mal.
Rien de mièvre dans les récits de Janine Boissard mais du vécu et des émotions.
Les éditeurs confient toujours à leurs auteurs que le lecteur doit s'identifier aux personnages de leurs livres. Et si j'avais, en priorité, un compliment à faire à Janine Boissard ce serait celui là. J'ai tellement bien vécu l'histoire de Pauline (virtuellement) que je suis partie à la découverte, il y a quelques années de l'ile de Bréhat où Pauline était allée se ressourcer.
Cette ile de Bréhat, où "il n'y a pas de routes, seulement des chemins courant entre des muretins de granit rose, où derrière ces muretins, sur les pelouses bien tenues s'élargissent des bouquets d'hortensiass, où l'on voit aussi des mimosas en fleurs et de longues tiges d'agapanthes qui en juillet teintent l'ile entière de mauve, où le vent sent le pin, où l'oeil qui s'évade ne rencontre que la mer et ses constellations".
Bon évidemment dans ce livre, il n'y a pas que des paysages, et à travers les mots du ressenti...il suffit d'un peu d'imagination pour...
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Quatrième volume et j'ai cru jusqu'à ce que je vienne sur ce site que c'était le dernier. puisqu'il finit sur le nom du roman.

Ce volume est beaucoup plus centré sur Pauline qui suit ses études de journaliste et qui est amoureuse de Paul.

De nouveaux rebondissements, des passages touchants, émouvants, de très belles tranches de vie qui met du baume au cœur à notre époque où tout doit aller très vite, trop vite.

Je viens de relire les 4 premiers volumes afin de pouvoir mieux apprécier la suite et les deux derniers volumes.

Je dois avouer que j'ai été déçue par la caractère de Pauline qui est très centrée sur sa petite personne, qui m'a paru beaucoup plus égoïste en l'ayant lue avec plus de maturité aussi. Plus d'une fois j'aurai aimé pouvoir la gifler pour lui montrer que le monde ne tourne pas autour d'elle et rien qu'elle. Qu'elle n'est pas la plus malheureuse sur terre et qu'il y a bien pire. Espérons que maintenant qu'elle a son Paul, qu'elle va un peu mieux se tourner vers les autres se seraient mieux en tant que journaliste
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Les interrogations classiques d'une jeune fille protégée au début de ses études supérieures et une histoire d'amour pas traditionnelle. C'est bien, très bien, même, de voir une jeune s'interroger de façon si profonde. Ca change des commentaires habituels de blogs de jeunes....Mais il faut dire que ce roman date de 1981...Ne soyons quand même pas trop nostalgiques !
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Ce qu'en dit la 4ème de couverture : Ce livre est une invitation. Parents et adolescents, et aussi tous ceux qui souffrent de la solitude, sont conviés à venir se chauffer au feu de cette famille, à partager ses problèmes, à rire beaucoup avec elle, à pleurer parfois, mais toujours à s'y sentir bien.

Une famille avec un père docteur, une mère au foyer et quatre filles. Quatre soeurs, un peu à l'image des « Quatre filles du Dr March », qui s'aiment, se détestent, se trahissent mais qui sont aussi inséparables.

Janine Boissard nous raconte la banlieue parisienne des années 80. le passage à l'adolescence, à la vie adulte, les bonheurs, les doutes aussi, les difficultés et toujour...

Quand on lit cette série, on devient un membre à part entière de cette famille, que dis-je de cette tribu. On partage leurs joies commeleurs peines. On ressent un amour énorme, le plus important qu'il soit, le ciment d'une vie, l'amour familial...

Ici, on s'attarde sur Pauline, la narratrice, la plume de la famille
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Ce quatrième tome est à mes yeux le moins réussi d'une saga pourtant géniale, car Pauline n'est pas aussi attachante que ses trois soeurs.

Fragile, un peu perdue et souvent égoïste, la troisième fille du Dr Moreau révèle une personnalité complexe que sa relation avec Paul, son grand amour, va encore un peu plus abîmer.

Un roman en demi-teinte qui a tout de même beaucoup de charme.
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Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
Lettre à ceux qui n’ont plus confiance
VOUS, les parents, qui avez peur ! Qui regardez, impuissants, monter la violence et derrière les portes fermées de la crainte et de la tendresse retenez vos enfants et leur dites "Attendez" au lieu de leur crier "Allez !"
Vous qui redoutez notre échec et voudriez choisir nos directions; qui tremblez à l'avance des luttes que nous aurons à livrer et saignez des blessures dont nous souffrirons.
Vous qui, pour parler de votre jeunesse, employez des mots étrangers à la nôtre et réduisez le monde à la crainte que vous en avez.
Vous qui nous avez lu de si fantastiques histoires d'aventure et d'espérance et répondez "sécurité, sagesse, prudence" à notre fringale de vivre.
Vous, les parents, qui ne faites pas confiance à notre jeunesse.
Vous, les adultes à qui notre jeunesse fait peur ! Vous qui ne savez plus respirer, entendre, aimer. Vous qui amassez et ne savez pour quoi, courez et ne savez vers quoi. Vous qui nous montrez le passé au lieu de nous ouvrir l'avenir.
Vous, les modèles dont l'enfant s'efforce d'imiter les gestes; dont il a appris par cœur les exploits fantastiques, qui avez conquis l'univers, fait reculer la mort et su parfois choisir celle-ci plutôt que de trahir ce à quoi vous croyiez; vous qui préférez aujourd'hui sécurité à liberté, ignorance à risque, silence à échange.
Vous qui blindez vos portes, piégez vos jardins et vous préparez à l'apocalypse.
Toi, l'écrivain, à qui les mots font peur : ceux qu'on vit et qu'on pleure, les mots-chanson repris par tous, le mot "bonheur", le mot "amour". Toi qui prétends parler des êtres et méprises ce qui emplit leur cœur.
Toi qui te ris des mots-tambour, des mots-drapeau, pureté, constance ou idéal, et nous offres en échange des mots savants sans espoir ni musique, que tu t'ingénies à changer quand nous les répétons.
Toi qui te gardes des passions, interromps ton élan et prétends ainsi survoler la souffrance. Toi, jadis baladin ou poète, chantant démons et merveilles, acceptant de risquer ta vie pour faire éclater au visage de tous beauté et vérité. Toi, le jongleur de mots, témoin aux yeux bandés, éloigné de la source. Toi qui peux tant et ne veux rien.
Toi, l'écrivain qui refuses ta confiance à la vie.
Vous tous !
Puisque la lutte est inévitable, la violence à nos portes et celles-ci destinées à être forcées, laissez nous préparer nos armes : de l'attente et de la peur ne peuvent naître que la fuite ou la paralysie. La lutte nous stimulera; les coups nous feront progresser.
Acceptez que nous choisissions notre avenir; que dans un monde qui ne sait plus vers quoi il va et craint sa destruction, nos buts soient différents des vôtres. Et si ce qui pour vous s'appelle "réussir" était "rater" pour nous ? Le seul danger que nous courrions serait, entre quatre murs à toute épreuve, à épreuve de souffrance, de plaisir, de poésie et de folie, de nous endormir pour nous réveiller vaincus sans avoir lutté. Ce serait, par peur du risque, de ne rien risquer et nous laisser aller au fil d'une eau sans vie où bientôt nous nous ne distinguerions plus le reflet de notre visage, où ne passeraient plus le rêve, ni l'espoir, ni la nécessaire utopie.
Laissez-nous trouver nos bonheurs, et si, à la grand-route que vous voudriez nous tracer, nous préférons les chemins hasardeux, pleins d'embûches mais aussi de soleil : ce sont sans doute ceux de demain.
Relisez les livres que vous aimiez, enfants. Ils vous parlaient de vous et emplissaient vos poitrines d'univers possibles. Les histoires qu'ils racontaient vous faisaient accepter de jouer la partie de la vie, parce que, derrière le visage qui pleure, il y a le visage qui rit et tout ce qui fleurit superbement avant de disparaître pour resurgir plus loin, fort du visage de l'éternité.
Parlez-nous de ce qui ne finira pas : de Dieu, si vous pouvez, de la beauté, du don de soi, de l'amour, de ce que l'on éprouve lorsqu'on a progressé ne serait-ce que d'un pas, ne fût-ce que dans l'obscurité.
Dites à ma naïveté "tu peux". Dites à ma faiblesse "Vas-y" et à notre jeunesse que la lutte n'est pas perdue et la paix toujours à reconquérir. Donnez-nous des raisons d'espérer, de nous réjouir et d'aimer. Redevenez exemples. Permettez-nous de devenir à notre tour modèle et adulte en nous ouvrant l'espoir.
Et toi, Confiance, mot marée qui balaie les doutes et la peur, j'ai la tête levée, j'ai les yeux ouverts, je cherche autour de moi, prête à te recevoir.

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"Lettre à ceux qui n’ont plus confiance" par Pauline Moreau
VOUS, les parents, qui avez peur ! Qui regardez, impuissants, monter la violence et derrière les portes fermées de la crainte et de la tendresse retenez vos enfants et leur dites "Attendez" au lieu de leur crier "Allez !".

Vous qui redoutez notre échec et voudriez choisir nos directions; qui tremblez à l'avance des luttes que nous aurons à livrer et saignez des blessures dont nous souffrirons.

Vous qui, pour parler de votre jeunesse, employez des mots étrangers à la nôtre et réduisez le monde à la crainte que vous en avez.

Vous qui nous avez lu de si fantastiques histoires d'aventure et d'espérance et répondez "sécurité, sagesse, prudence" à notre fringale de vivre.

Vous, les parents, qui ne faites pas confiance à notre jeunesse.

Vous, les modèles dont l'enfant s'efforce d'imiter les gestes; dont il a appris par cœur les exploits fantastiques, qui avez conquis l'univers, fait reculer la mort et su parfois choisir celle-ci plutôt que de trahir ce à quoi vous croyiez; vous qui préférez aujourd'hui sécurité à liberté, ignorance à risque, silence à échange.

Vous qui blindez vos portes, piégez vos jardins et vous préparez à l'apocalypse.

Toi, l'écrivain, à qui les mots font peur : ceux qu'on vit et qu'on pleure, les mots-chanson repris par tous, le mot "bonheur", le mot "amour". Toi qui prétends parler des êtres et méprises ce qui emplit leur cœur.

Toi qui te ris des mots-tambour, des mots-drapeau, pureté, constance ou idéal, et nous offres en échange des mots savants sans espoir ni musique, que tu t'ingénies à changer quand nous les répétons.

Toi qui te gardes des passions, interromps ton élan et prétends ainsi survoler la souffrance.
Toi, jadis baladin ou poète, chantant démons et merveilles, acceptant de risquer ta vie pour faire éclater au visage de tous beauté et vérité.
Toi, le jongleur de mots, témoin aux yeux bandés, éloigné de la source. Toi qui peux tant et ne veux rien.

Toi, l'écrivain qui refuse ta confiance à la vie.

Vous tous !

Puisque la lutte est inévitable, la violence à nos portes et celles-ci destinées à être forcées, laissez nous préparer nos armes : de l'attente et de la peur ne peuvent naître que la fuite ou la paralysie. La lutte nous stimulera; les coups nous feront progresser.

Acceptez que nous choisissions notre avenir; que dans un monde qui ne sait plus vers quoi il va et craint sa destruction, nos buts soient différents des vôtres. Et si ce qui pour vous s'appelle "réussir" était "rater" pour nous ? Le seul danger que nous courrions serait, entre quatre murs à toute épreuve, à épreuve de souffrance, de plaisir, de poésie et de folie, de nous endormir pour nous réveiller vaincus sans avoir lutté. Ce serait, par peur du risque, de ne rien risquer et nous laisser aller au fil d'une eau sans vie où bientôt nous nous ne distinguerions plus le reflet de notre visage, où ne passeraient plus le rêve, ni l'espoir, ni la nécessaire utopie.

Laissez-nous trouver nos bonheurs, et si, à la grand-route que vous voudriez nous tracer, nous préférons les chemins hasardeux, pleins d'embûches mais aussi de soleil : ce sont sans doute ceux de demain.

Relisez les livres que vous aimiez, enfants. Ils vous parlaient de vous et emplissaient vos poitrines d'univers possibles. Les histoires qu'ils racontaient vous faisaient accepter de jouer la partie de la vie, parce que, derrière le visage qui pleure, il y a le visage qui rit et tout ce qui fleurit superbement avant de disparaître pour resurgir plus loin, fort du visage de l'éternité.

Parlez-nous de ce qui ne finira pas : de Dieu, si vous pouvez, de la beauté, du don de soi, de l'amour, de ce que l'on éprouve lorsqu'on a progressé ne serait-ce que d'un pas, ne fût-ce que dans l'obscurité.

Dites à ma naïveté "tu peux". Dites à ma faiblesse "Vas-y" et à notre jeunesse que la lutte n'est pas perdue et la paix toujours à reconquérir. Donnez-nous des raisons d'espérer, de nous réjouir et d'aimer. Redevenez exemples. Permettez-nous de devenir à notre tour modèle et adulte en nous ouvrant l'espoir.

Et toi, Confiance, mot marée qui balaie les doutes et la peur, j'ai la tête levée, j'ai les yeux ouverts, je cherche autour de moi, prête à te recevoir.
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Tu dois n'avoir besoin de personne pour te payer ton pain, ton toit et ta robe, reprend-elle. Inutile de viser un trop grand toit, ou plus de pain que tu ne pourras en manger, mais, d'une façon ou d'une autre, tu dois pouvoir tirer de tes mains ou de ton cerveau ce qu'il te faut pour vivre. Le jour où tu sauras que tu en es capable, que tu possèdes les armes de ton autonomie, alors seulement tu pourras choisir de te reposer sur un homme, de rester au foyer pour élever vos enfants et construire cet univers qui procure à certains de la chaleur pour tout leur vie: une "maison". Et cet homme saura, et tes enfants aussi, et toi surtout, que ta présence est un don que tu leur fais volontairement et non parce que tu n'aurais pas su faire autre chose. Tu donneras "quelqu'un".
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Un écrivain peut finir par devenir un simple jongleur de mots plus ou moins adroit. Il peut en arriver à oublier l'essentiel : cette source qui coule au fond de nous et qui est le véritable lieu de rencontre des êtres.
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J'adore les sagas familiales , j'ai donc naturellement dévoré les 4 premiers tomes et je un fois cette critique postée , j'entamerai la cinquième .
Les personnages sont magnifiques , l'histoire est super mais il y a des maladresses de la part de Janine Boissard comme l'âge de la grand mère qui est de quatre vingt ans alors qu'elle a eu Nicole à 22 ans ( 23 au max , c'est mentionné dans "Claire et le bonheur" ) et Nicole dans le roman à tout juste 46 ans ?
J'ai trouvé quelques fautes de frappe mais ce n'est pas la faute à l'auteure dans ce cas .
Bref , cette saga mérite d'être lue , vous allez adorer Pauline , mais aussi tous les autres personnages .
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Vidéo de Janine Boissard
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