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3,13

sur 135 notes
Deux jeunes hommes, apprentis détectives, vont être confrontés pour leur toute première enquête à un fantôme et ce, à la demande de la veuve de Sir Arthur Conan Doyle. Nos deux héros vont nous emmener dans un Londres assez dangereux puisque des tueurs machiavéliques semblent tuer chaque nuit d'innocentes victimes.

L'auteur est visiblement un amateur de Sherlock Holmes et il nous fait découvrir ou redécouvrir les grands romans classiques du siècle dernier : Dracula, l'homme invisible, Jack l'éventreur et bien d'autres font partie intégrante de cette histoire qui s'aventure dans le domaine du spiritisme.

Ca pourrait ressembler à un grand fourre-tout mêlant les sciences occultes et le goût de la littérature mais au final, l'ensemble fonctionne plutôt bien et j'ai adoré cette enquête peu commune et bien menée.
Je pense que je me laisserais tenter par d'autres aventures de ces deux détectives hors du commun, car c'était aussi agréable à lire que distrayant.
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Encore un livre très prometteur qui m'a beaucoup déçue ...

Cette lecture aurait pu être drôle, originale, mais que nenni !!
Les spectres des grands personnages de la littérature victorienne hantent les rues de Londres au début des années 1930 pour reproduire des crimes odieux nés dans l'imagination des écrivains du 19ème siècle.

Dracula, Dorian Gray, Sherlock Holmes, l'Homme Invisible, Sherlock Holmes et le Dr Watson, Mr Hyde, Jack l'Eventreur ... Quelle ambition ! Quelle belle affiche sur le papier !! Mais c'est tout ....
L'auteur s'est, à mon goût, contenté de mettre des esquisses d'idées bout à bout. Mais au final, rien n'y fait, ça ne marche pas ! C'est plat, plat encore et toujours plat ! Pas de grand rebondissement, pas de suspense qui attise la curiosité et fait qu'on ne veut pas lâcher le livre jusqu'à ce qu'on ai pu démêler chacun des fils ; même la chute est décevante et bâclée!

Pendant toute la lecture de ce roman, je me suis dit : "oui, et alors?..." Et alors? Je peux vous le dire maintenant : abstenez vous de ce roman si décevant et plongez-vous dans les oeuvres citées qui elles ont fait leurs preuves.
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Ce récit est une sorte de pastiche des aventures de Sherlock Holmes mais seulement quant au style et à l'écriture puisque Holmes n'est pas directement le héros de l'histoire. Pour ce faire, l'auteur fait parler son principal protagoniste, né probablement dans le dernier quart du 19e siecle et dont le modèle littéraire est justement Conan Doyle. le thème, assez classique, repose sur l'idée que l'écrivain a une pensée créatrice et que la créature peut parfois prendre son indépendance. En dehors de l'exercice de style fort bien réussi, on peut se questionner quant à l'intérêt de ce conte fantastique écrit "à la manière de". C'est distrayant, bien fait mais ça ne nous remue pas la petite cuillère...
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Ce roman avait au départ tout pour me plaire : ambiance un peu 19ème (même si l'intrigue prend place, en fait, au début du 20ème), surannée, à l'anglaise, sujet traitant à la fois de la littérature britannique et du spiritisme... Et j'avoue que j'en ai apprécié la lecture pendant une bonne centaine de pages, et ce d'autant plus que j'ai appris pas mal de choses sur Arthur Conan Doyle : si je connaissais en effet déjà ses positions sur le spiritisme et sa grande naïveté en la matière, je ne savais pas à quel point il était raide de la nuque, ni qu'il s'était mis à dos tous les cercles spirites, qui le considéraient comme trop peu sérieux en la matière...

Bref, l'ambiance est là, l'intrigue, concentrée sur la mort de Conan Doyle dans des circonstances très étranges, est un rien alléchante. Mais le mystère se révèle au final d'une totale pauvreté d'imagination. Dès que l'auteur commence à lever le voile sur le mystère dont il est question, ça devient du grand n'importe quoi et on part dans tous les sens, tout ça avec une explication terriblement décevante qui relève du fantastique le plus basique.

Il se trouve que je ne suis pas hyper regardante sur les romans policiers historiques de 10/18, sachant que, souvent, c'est l'ambiance qui prime et que les enquêtes ne sont pas forcément en elles-mêmes passionnantes. Mais il y a des limites à tout. Ici, sur la base d'une idée sympathique, on obtient un roman carrément bâclé et un beau gâchis.
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Londres en 1932. Andrew Singleton et James Trelawney, deux amis récemment arrivés d'Amérique, ont décidé de se lancer dans le métier de détectives privés. Malheureusement pour eux, cela fait déjà trois mois qu'ils sont installés dans la capitale anglaise et aucune affaire ne s'est encore présentée.
Mais, le 24 juin, les choses semblent évoluer en faveur de nos deux compères. Une dame, qui n'est autre que lady Conan Doyle, la veuve de l'écrivain, se présente à leur porte et demande leur aide. Lady Jean a entendu parler de phénomènes étranges ayant lieu au 221 Baker Street, l'adresse que son époux avait attribuée à Sherlock Holmes dans ses célèbres romans. Il semblerait qu'un fantôme hante les lieux, pour le plus grand inconvénients du major Hipwood et de son épouse, les propriétaires des lieux.
Lady Jean est persuadée que cette manifestation surnaturelle présente un rapport avec la série de meurtre qui ensanglante tous les quartiers de la ville, de Whitechapel aux rues cossues du West End, en passant par Hampstead.
Singleton et Trelawney acceptent de venir en aide à lady Jean et vont bien vite se trouver emporter dans une aventure des plus surprenantes.

Ce court polar est un vrai régal pour qui aime la littérature victorienne, les romans gothiques et les histoires de fantômes.
Tous les héros des auteurs ou des faits divers de cette époque sont présents: Jack l'Eventreur, Dracula, Mr Hyde, Dorian Gray, sans oublier Sherlock Holmes et le Dr Watson. Et d'autres les rejoignent encore dans les dernières pages.

Une facette intéresante du récit réside dans la richesse des détails historiques réels. L'auteur s'est probablement penché sur la vie de Sir Arthur Conan Doyle pendant des années avant de se lancer dans l'écriture de son histoire, car les détails concernant cet auteur ne manquent pas tout au long du récit. Et en plus, ils sont véridiques, ce qui permet au lecteur d'en apprendre plus sur le personnage. Par exemple, saviez-vous que Conan Doyle avait été un partisan convaincu de la thèse spirite, qui croyait à la possibilité de communiquer avec les fantômes? Grâce aux informations ainsi récoltées sur Conan Doyle, l'on comprend mieux la véritable portée de ses oeuvres ne mettant pas en scène le célèbre Sherlock Holmes (comme "La Main Brune", par exemple).

Les différentes descriptions du Londres de cette époque sont également un régal. L'atmosphère très particulière de la capitale durant les années 30 renforce encore la sensation de mystère que l'auteur met en place grâce à son intrigue de base. le brouillard, la pauvreté des habitants de Whitechapel, la beauté effrayante du cimetière de Highgate,... tout cela contribue au côté gothique du récit.

J'ai néanmoins trouvé deux petits bémols au récit. Tout d'abord, je n'ai pas vraiment compris l'utilité de l'espèce de faux prologue de l'éditeur, au début du roman. Enfin, je n'ai pas trouvé les personnages de Singleton et Trelawney très crédibles dans leur rôle de détectives. Peut-être parce que leur personnalité n'est pas vraiment très fouillée par l'auteur...

A part cela, "Le fantôme de Baker Street" était une découverte sympa et une lecture divertissante.
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Un très bon thriller fantastique reposant sur une excellente idée et une atmosphère délicieusement intrigante et surannée.

Esprits cartésiens, fuyez ! Cet ouvrage n'est définitivement pas pour vous. Les autres, laissez-vous emporter par le talent de Fabrice Bourland.

Outre un cadre passionnant, des meurtres inspirés par de grandes oeuvres littéraires fantastiques de l'époque victorienne, il y a le talent de Fabrice Bourland à faire revivre le Londres des années trente, devant composer avec l'encombrant héritage des atrocités commises par Jack the Ripper, quarante années plus tôt. L'atmosphère intrigante vacille comme la flamme d'une bougie entre enquête policière et récit fantastique, entre réalité et fiction. L'intrigue nous emmène au coeur des cercles spirites des années 30 pour des scènes de séances de spiritisme très réussies.

La paire de détectives privés engagés presque malgré eux dans cette histoire à faire dresser les cheveux sur la tête, des doublures assumées de Holmes et Watson, est formidablement bien campée et fort sympathique. Ces messieurs m'ont beaucoup amusé avec leurs réparties moqueuses et leurs incessantes querelles dignes des vieux couples. Ils ont fait ma conquête. J'aurai plaisir à les retrouver dans d'autres aventures car il existe deux suites à ce coup d'essai qui se révèle un coup de maître.

En plus de son excellente idée, alterner entre réalité et fiction jusqu'à offrir différents niveaux de narration, et de faire d'Arthur Conan Doyle et de son épouse des héros de roman à part entière, l'auteur met son érudition incontestable au service de ses lecteurs. En effet, le récit regorge de références littéraires pointues et notamment d'une somme importante d'informations biographiques sur Conan Doyle et les relations qu'il entretenait avec sa création la plus célèbre, Sherlock Holmes, pour les férus du détective, ce livre est un régal. Moi-même, j'y ai appris beaucoup de choses sur l'écrivain écossais et sur sa vie.

Et que dire de cette narration un brin surannée que j'affectionne tant de retrouver dans les romans de Doyle et de ses contemporains. « le Fantôme de Baker Street » est un roman d'atmosphère réussi, ça sent la fumée de cigare, le parfum du vieux cuir et des boiseries des cabinets de travail et les imperméables mouillés par le crachin londonien. Quel bonheur parfois de plonger dans une enquête aux méthodes d'investigations désuètes, recherches en bibliothèque et mise en branle des petites cellules grises comme dirait Hercule Poirot, sans l'intervention de la technologie moderne.

Globalement, le roman est très prenant, je ne me suis pas ennuyée une seconde, et se lit très bien. Vous l'aurez compris : j'ai adoré ce roman et si je n'en fait pas un coup de coeur, c'est que j'ai trouvé la fin un peu expéditive, et que je veux laisser une marge de progression à l'auteur pour les deux tomes suivants que j'espère pouvoir bientôt me procurer.

Une série à découvrir d'urgence !
Lien : http://ladelyrante.wordpress..
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Un polar historique, fantastique et ésotérique qui rend un bel hommage à la littérature victorienne. Aux écrivains de cette époque, à leur imagination, mais surtout à ces personnages qui sont devenus des piliers de notre imaginaire collectif jusqu'à aujourd'hui. Derrière le récit, on trouve la passion d'Arhur Conan Doyle pour le spiritisme et toutes les questions que cette activité peut engendrer.
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C'est drôle comme les « produits dérivés » de Sherlock Holmes sont limite plus intéressants et attirants que l'original. Sans doute est-ce dû au fait que ce personnage a tellement séduit ses lecteurs à son époque que les gens l'ont limite pris pour un véritable être de chair et d'os, un héros qui correspondait sans doute vraiment à son époque, à tel point que, quand Conan Doyle a décidé de le faire mourir aux chutes de Reichenbach, des milliers de fans ont protesté dans le monde entier et l'auteur a été obligé de le « ressusciter » dans une aventure précédant sa mort, le Chien des Baskerville.

Fabrice Bourland est sans conteste un admirateur de Sherlock Holmes, mais aussi de la littérature victorienne, du gothique anglais déployé notamment par Sheridan le Fanu, Mary Shelley et autres Bram Stoker. Il connaît très bien cette période de l'histoire londonienne et anglaise de la fin du 19e siècle, marquée par Jack l'Eventreur ; il s'est aussi sérieusement documenté sur toute la carrière de Sir Conan Doyle et sur son goût prononcé pour le spiritisme. Et sans doute croit-il dur comme fer à l'existence réelle de Sherlock puisque, dans la première aventure, en 1932, de son propre couple de détectives, James Trelawney et Andrew Singleton, la veuve de Conan Doyle fait appel à eux parce qu'un esprit malfaisant perturbe les occupants du 221b Baker Street et que ce « chambard » semble associé à une vague de meurtres qui touchent Londres, faisant à nouveau penser aux crimes de l'Eventreur. Malgré leurs réticences, nos deux compères s'adjoignent les services d'un médecin spirite et réussissent à entrer en communication avec le fantôme de Sherlock Holmes : c'est bien lui qui se manifeste dans son ancien appartement et qui, ce faisant, souhaite rester le plus vivant possible dans la mémoire de ses admirateurs (indécrottable égocentrisme de ce bon vieux Sherlock). Malheureusement, en se montrant ainsi, il a réveillé d'autres esprits, bien moins honnêtes que lui. Les vivants et les fantômes vont devoir unir toutes leurs forces pour éviter un carnage.

Evidemment, on peut rester de marbre devant une aventure qui fait ainsi la part belle au spiritisme et qui affirme même que des personnages de fiction peuvent revenir du royaume des morts pour agir dans le monde des vivants. Mais il faut avouer que l'auteur prend un malin plaisir à mettre en scène tous ces héros de la littérature anglaise, personnellement j'ai appris plein de choses grâce aux recherches et aux connaissances du narrateur Andrew Singleton, et puis la description des séances de spiritisme vaut son pesant de cacahuètes, à la fois très sérieuse et légèrement ironique, jugez-en plutôt : « …le Dr Hamilton avait réussi à photographier le visage de l'écrivain britannique, souriant et serein, dans une coulée d'ectoplasme s'échappant du nez du médium Mary Marshall. » (p. 238)

En fait, dans son style et ses thèmes, Fabrice Bourland rend un fervent hommage à ses héros et à une époque. Quatre autres aventures de Singleton et Trelawney sont parues, ancrées dans les années 1930 à Londres et dans des références plus anciennes de la culture anglaise, il n'est pas interdit de penser que je m'y intéresserai sans doute plus tard…
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Communiquer avec l'au-delà est l'objectif de la communauté Spirite qui expérimente, de 1923 à 1927, des séances de psychographies et des téléplasmes photographiques. Médiums, médecins, scientifiques, membres, veulent rentrer en contact avec des auteurs célèbres, des astronomes et autres personnages connus par l'intermédiaire d'un guide psychique, l'esprit d'un mort.

Londres, juin 1932

A Montague Street, Andrew Singleton et James Trelawney, des amis de la faculté de Boston, ont traversé l'océan pour regagner le vieux continent afin d'y monter un cabinet de détectives privés. Agés de vingt-trois ans tous les deux, ils sont complémentaires et ont l'énergie bouillonnante. Si l'un est attiré par la philosophie, la poésie et la littérature, l'autre a un esprit cartésien, terrien, pratique et se montre plus actif.
Alors que l'ennui commence à les menacer, le travail faisant défaut, un jour, ils reçoivent la visite de Lady Jean Conan Doyle. Cette femme est la veuve de Sir Arthur Conan Doyle, écrivain et père de Sherlock Holmes. Elle souhaite les recruter pour mener une investigation sur une étrange histoire qui la laisse craintive et incrédule…
Au 221, Baker Street, adresse de l'illustre Sherlock Holmes, personnage fictif, des phénomènes surnaturels se manifestent et dérangent les habitants des lieux, le major Hipwood et sa femme. Raclements de chaises, bruits insolites, murmures… tout laisse à supposer que l'étage de la maison est hanté.
Pour la mémoire de son mari et le repos de son âme, elle demande alors qu'une enquête discrète soit faite.

"… Une veuve éplorée est venue confier ses peurs et ses angoisses à deux hommes qui lui étaient des inconnus il y a encore une heure à peine. J'espère qu'elle n'aura pas à regretter de vous avoir fait confiance."

L'enquête est acceptée. James se réjouit du caractère curieux de l'affaire et Andrew reste dubitatif, refusant l'aspect fantastique qui lui rappelle son père, grand adepte de spiritisme.
En lisant le Daily Gazette, ils prennent connaissance de meurtres commis qui évoquent ceux de Jack l'éventreur, Dracula, Mr Hyde et Dorian Gray. Même scènes, mêmes lieux… les coïncidences sont troublantes. Et, en se rendant au 221 de Baker Street, ils ont les pensées toutes imprégnées de ces synchronismes.
Accueillis par le major et son neveu le docteur Dryden, James et Andrew pénètrent dans un univers "qu'ils ne sont pas près d'oublier".
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… Et moi aussi ! Ce roman est une histoire surprenante et intéressante. Elle s'axe plus sur le thème des esprits, des fantômes, des productions d'ectoplasmes, des tables tournantes, des entités qui se réveillent, que sur la rationalité. J'ai donc été étonnée par ce livre qui garde du début à la fin un caractère surnaturel. Il est précisé en quatrième de couverture "Un hymne enflammé à la littérature victorienne et à ses monstres sacrés"… en effet, l'auteur a eu l'idée folle de rassembler les crimes des pires assassins du 19ème siècle et de les projeter dans le Londres des années 30. Ce fait déroute les deux amis détectives, friands de cette époque, qui devront demander l'assistance particulière d'un illustre enquêteur.
Si parfois ce livre fait sourire, il se laisse lire sans déplaisir, réclamant une curiosité faite de perplexité et de candeur.
Je ne sais pas si nous lirons la suite avec Manu, en tous cas pas dans l'immédiat. Mais si elle le désire, je serais partante pour dans quelques mois.

A conseiller ? Oui, pourquoi pas ! Mais avant… lire la série des Sherlock Holmes !!!
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Quelle idée originale de faire revivre sous forme de fantômes des personnages de romans et d'en faire des meurtriers ! Au début du roman, j'étais septique sur le postulat de départ...mais j'ai été vite séduit par la tournure que prenait cette enquête fantastique. C'est "cliché" côté ambiance et concernant les scènes de spiritisme, mais c'est justement ça qui fonctionne et donne toute la saveur au roman. Ca m'a donné envie de replonger dans les enquêtes de Sherlock Holmes et dans l'oeuvre de Bram Stoker !
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