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Histoires d'amour de l'histoire ... tome 3 sur 12
EAN : SIE12072_3018
Pocket (30/11/-1)
4/5   16 notes
Résumé :
Richelieu, qui connaissait bien les -femmes pour les avoir pratiquées plus qu'il ne l'aurait dû, écrit dans ses Mémoires :
« II faut avouer que comme une femme a perdu le monde, rien n'est plus capable de nuire aux États que ce sexe, lorsque prenant pied sur ceux qui les gouvernent il les fait souvent mouvoir comme bon lui semble, et mal, par conséquent. »
Ce qui est méchant, mais bien observé; car nos charmantes compagnes ont toujours eu une influence... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (1) Ajouter une critique
Quelle déception ce Henri IV ! Et dire que c'était mon idole de roi ! J'ai même été à Pau pour voir la carapace de tortue qui l'a accueilli bébé. Ce bon roi avec sa poule au pot, celui qui grâce à Sully dote la France de deux mamelles, labourage et pâturage. En fait il ne pensait qu'à courir le guilledou et rien qu'à ça ! Non il aimait bien faire la guerre et il était bon avec son panache blanc. Mais il détestait une chose chez ses nombreuses maîtresses : qu'elles tombent enceintes. Il en a abandonné beaucoup pour ça ou pour d'autres peccadilles. Mais Il était capable de faire la guerre pour se payer une nouvelle maîtresse ou ruiner la France pour la même raison. J'arrête sur ce triste sire. Heureusement il savait choisir ses hommes, je parle de Sully.
Son successeur et fils Louis XIII c'est autre chose : c'est l'anti-Henri pour les maîtresses mais assez intelligent pour promouvoir Richelieu. Suis le petit Louis XIV et heureusement Mazarin. Tiens puisqu'on parle du XVI est-il le fils du XIII ? On peut en douter. le père on ne sait pas trop qui il est. Pour le frère puiné on suppute que ce soit Mazarin himself. On dit même dans ce tome que le masque de fer serait un parent du médecin qui autopsia Louis XIII et attesta qu'il ne pouvait avoir d'enfant ! Oups ! Gênant pas le XIV !
Un bon ouvrage que ce tome III à bientôt le quatrième.

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Citations et extraits (14) Voir plus Ajouter une citation
L’amour était devenu l’affaire la plus sérieuse de tous les courtisans ; et le mélange des deux cours, qui ne cédaient en rien l’une à l’autre du côté de la galanterie[43], produisit l’effet qu’on en devait attendre : on se livra aux plaisirs, aux festins et fêtes galantes.
Naturellement, une telle atmosphère influait beaucoup sur le langage. Toutes les plaisanteries, même les plus gaillardes, étaient admises.
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Par un amusant signe du destin, on donnait ainsi à cette petite fille qui allait devenir la plus grande séductrice de notre histoire précisément le nom de la fleur dont se servent les amoureux pour mesurer leurs sentiments.
« Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie… »
Elle, c’est à la folie qu’elle devait aimer l’amour durant toute son existence.
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Naturellement, tout Paris suivait avec curiosité les phases de cette atroce agonie. De porte en porte, les bonnes gens se transmettaient les nouvelles que colportaient les domestiques de la duchesse, et y ajoutaient le plus souvent des commentaires peu charitables. En effet, les conversations se terminaient généralement par : — Elle va donc enfin crever, cette putain-là ! Ce qui ne peut être tenu pour une gentillesse…
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Il s’agissait, d’un petit engin pour brider la nature des femmes qui était fait de fer et ceinturait comme une ceinture et venait à prendre par le bas et se fermer à clef ; si subtilement fait qu’il n’était pas possible que la femme, en étant bridée une fois, s’en pût jamais prévaloir pour ce doux plaisir, n’ayant que quelques petits trous menus pour servir à pisser .
Les maris avaient quelques raisons de faire porter cet instrument barbare à leurs épouses, car les femmes étaient alors véritablement « possédées par un démon de luxure qui les poussait, nous dit-on, à commettre mille extravagances propres à faire naître de coupables désirs à leur endroit ». C’est ainsi qu’elles se promenaient dans des robes aux décolletés audacieux qui laissaient voir leur poitrine entièrement nue…
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Naturellement, il était tombé amoureux d’elle, bien que l’éclair de son regard l’eût un peu effrayé. Le soir, pensif, il s’était confié à des amis :
— Sa beauté est plus divine qu’humaine, mais elle était plus faite pour damner les hommes que pour les sauver…
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Video de Guy Breton (3) Voir plusAjouter une vidéo

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