« Être conscient que travailler là où je travaillais me faisait consciemment participer à l’absurdité et la misère du monde, et donc à la mienne, me bouffait un peu plus chaque jour. Me rongeait tripes et cerveau. Je ne voulais plus et n’en pouvais plus de prendre part à ce monde indigent. Je me demandais de quoi serait faite la prochaine révolution ; qu’elle ne soit pas matérielle, voilà ce que j’espérais : elle serait dérisoire, inutile ; qu’elle soit le regain de...
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