Geneviève Brisac doit avoir des comptes à rendre avec le monde médical et en particulier l'hôpital car elle est vraiment critique à la limite de la caricature dans "
Une année avec mon père". C'est peut-être son vécu mais ce n'est pas le mien alors j'ai eu du mal à entrer vraiment dans l'histoire.
Cela-dit, j'ai eu un pincement au coeur quand
Geneviève Brisac évoque (page 140)
Francette Lazard que j'ai connue pour avoir créé l'Institut de recherches marxistes dont elle a été la première directrice.
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