Vador et sa petite princesse

…Je dédie cette « critique » à Choupette (honneur aux dames) et à Hugo.



Toujours en bleu ciel sur fond noir… »Il y a bien longtemps, dans une galaxie lointaine, très lointaine… »

Allons, je sais que ça vous dit quelque chose…

Toujours en lettres jaunes, défilant sur fond noir étoilé…le tout toujours avec orchestre symphonique et pilo érection…

« Episode Trois et demi :
DARK VADOR ET SA PETITE PRINCESSE
Dark Vador, Seigneur Sith, dirige l'Empire Galactique contre l'Alliance.
Mais avant de pouvoir détruire ses ennemis, il doit élever sa mignonne petite fille, Leia,
Qui se transforme peu à peu en adolescente rebelle… »

A ce stade, je vous convie à passer en vitesse lumière et aller voir les 5 points de la « critique » de DARK VADOR et FILS…ça m'évite de recopier, d'épargner mes doigts et mon clavier et ainsi de faire valoir cette autre « critique »…histoire de faire d'une pierre deux coups.

OK, en espérant que vous êtes revenus sans encombres et ne vous vous êtes pas perdus dans un champ d'astéroïdes.

Suivant le même principe, le même dessin, le même humour, le même référentiel, c'est donc les relations père fille qui sont brossées…et ça marche toujours aussi bien.

Où Leia se tape « la gêne » quand son papa Vador se trémousse sur la piste de danse du palais de Jabba, où Leia se tape toujours la honte quand le grand Seigneur Sith la dépose à l'école avec son AT-AT( le grand quadripode impérial au look de dromadaire), où Leia tricote un (joli ?) bonnet plein de trous d'un rouge criard et l'offre à son gentil papa, qui se fait un devoir de le poser sur son masque noir impassible, où Vador apprend à sa petiote le pilotage de son chasseur TIE customisé…

Et oui, le quotidien du père confronté à une étrange créature…sa fille, version Star Wars…mais qui reste universel.

Aussi jubilatoire que DARK VADOR et FILS

Et toujours cet air benêt sur mon visage…en imaginant, cette fois en plus, Dark Hugo avec mini Choupette ou mini Hugo…

Fred-Fichetoux-Beg mode Princess Leia's Theme activé

Après un tome consacré à Dark Vador, papa poule de Luke Skywalker, le voici dans le rôle du papa de la princesse Leïa, petite princesse et ado rebelle. Quelques bons gags où les relations père-fille s'immiscent dans les scènes de la saga Star Wars, mais ça tourne très vite en rond, pourtant c'est très court. C'est destiné uniquement aux fans de Star Wars, tous les gags font référence à un moment d'un des films de la série. L'humour est trop “private joke”. C'est sympathique, mais loin d'être indispensable.

Encore mieux que "Dark Vador et Fils". Bon ok ! J'ai jamais vraiment aimé Luke Skywalker contrairement à Leïa mais il faut dire que Dark Vador et sa fille c'est encore plus mignon !!!!

Cette fois, ce n'est pas simplement l'enfance de la princesse que l'on découvre imaginée par Jeffrey Brown mais aussi l'adolescence. Adolescence avec tout ce que cela comporte de phases rebelles.

Les dessins sont toujours aussibien et adéquation avec le thème, les idées sont là et font mouches. Donc, pas grand chose à redire si ce n'est qu'encore une fois c'est un petit peu court.

En tout cas, un petit libre sans prétention qui nous fait rire et sourire dans l'univers de Star Wars.

Dark Vador et sa petite princesse... Ou le livre qui sert pas à grand chose, sauf le jour de la fête des pères geek...

Un petit bouquin, plein d'illustrations rigolotes ou mignonnes. Qui se regarde plus qu'il ne se lit. Jeffrey Brown est papa, et puis il est fan de Star-war et il s'amuse... Un Vador un peu dépassé, et oui les ados c'est pas si simple...

Un livre mignon et tendre, et qui amène le sourire...

Après avoir fait une bd avec Vador et son fils, Jeffrey Brown fait la suite avec sa fille. Depuis son imagination se poursuit avec d'autres éléments de la saga. Les blagues en une seule ou deux pages sont efficaces surtout pour le fan de Star Wars qui va apprécier les absurdes détournements parodiques. le dessinateur propose un visuel assez naïf aux traits simples et au coloriage laissant apparaître les marques de crayons. Nous sommes loin de l'image de synthèse des dernières créations Disney. le décalage est assumé et apparemment le succès est au rendez-vous. Un cadeau idéal à offrir à un papa fan de « Je suis ton père » et qu'elle que soit son pays d'origine. Il finira toujours par trouver des situations qui lui rappelleront quelque chose même s'il n'a pas de robot sous la main.