Au moment de quitter le maître zen, le jeun novice, joignant les mains à hauteur de son front, s'incline trois fois selon l'usage :
- Tokuken, dit le maître, n'oublie pas d'être heureux !
- Oh ! maîtree, fait Tokuken, éperdu de reconnaissance. Vous êtes trop bons. Je ne suis au monastère que depuis deux mois ; il est vrai que c'est dur, parfois, et...
- Tokuken ! l'interrompt sèchement le maître. Je ne formule pas un souhait, je te donne une instruction !
- Ah bon..., fait le novice, désemparé.