Le mariage n’est tolérable qu’entre égaux. Et même alors il n’est pas toujours tolérable.
(p. 41)
[Le] bonheur de Ruth était nécessaire à son propre bonheur, et comme elle ne se plaignait jamais, il était arrivé à percevoir le plus léger changement dans son expression ou le son de sa voix. Lorsqu’il revenait à elle, il la voulait contente. Le contentement de Ruth était indispensable à l’âme de William.
(p.87)
Il y avait longtemps qu'il avait découvert qu'il était plus heureux dans la solitude, parce que plus libre.
Aucune parole n'était nécessaire à présent. Les mots encombrent et ralentissent.