Le week-end, j'allais chez mon oncle et chez mes grands-parents. J'avais un peu de mal à m'intégrer aux autres pensionnaires. J'étais resté parisien. "Parigot tête de veau", alors que quand j'étais à Paris, j'étais "breton tête de con".
Ma relation à la Bretagne est physique. Elle passe par le corps, par les odeurs. C'est comme une addiction, une drogue.
Nono et Paul Burel, Dialogues littéraires
http://www.librairiedialogues.fr/livre/6995913-les-colles-de-pont-aven-nono-paul-burel-dialogues-fr Nono et Paul Burel nous parlent de leur livre Les colles de Pont-Aven (éditions Dialogues),...