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Critique de Sabinerose
Voilà bien vingt ans que je n'avais plus lu de roman fantastique/urban fantasy (choisissez votre camp) écrit par un homme. Un pur hasard, c'est juré.
Curieusement, Harry Dresden me fait penser à une version masculine de Bridget Jones qui se serait égarée dans un monde parallèle. Loser magnifique, il rate à peu près tout ce qu'il entreprend et ne semble rien comprendre à sa vie. C'est tantôt drôle, tantôt pathétique, mais le rythme endiablé de l'action ne laisse pas le temps au lecteur de s'apesantir, ni au héros le temps de dormir et de manger (c'est pour les faibles).
Un roman sympa, dynamique, qui ne révolutionne pas le genre, mais permet de passer un bon moment tout de même. Assez pour me donner envie de continuer avec un deuxième tome.
Curieusement, Harry Dresden me fait penser à une version masculine de Bridget Jones qui se serait égarée dans un monde parallèle. Loser magnifique, il rate à peu près tout ce qu'il entreprend et ne semble rien comprendre à sa vie. C'est tantôt drôle, tantôt pathétique, mais le rythme endiablé de l'action ne laisse pas le temps au lecteur de s'apesantir, ni au héros le temps de dormir et de manger (c'est pour les faibles).
Un roman sympa, dynamique, qui ne révolutionne pas le genre, mais permet de passer un bon moment tout de même. Assez pour me donner envie de continuer avec un deuxième tome.
